Humanité Et Animalité

Le parcours d'Ulysse dans les chants V à VIII a tout d'une reconquête de son humanité. En effet il semble dans un 1er temps connaitre une mort symbolique puis renaitre en retrouvant son apparence humaine : Il se trouve à l'approche de la mort lors du naufrage qu'il connait avant d'arriver sur l'île des Phéaciens. "La mer avait eu raison de son coeur [...] haletant et sans plus de voix, il était étendu..." Il est ensuite comparé au lion des montagne, nu, et effraie Nausicaa et ses servantes qui le

cherche à s’éloigner de son animalité naturelle, l’homme va donc pour cela chercher à se différencier de l’animal en commençant par transformer le monde qui l’entoure. Il va donc par exemple se cultiver, c’est-à-dire prendre soin. Cela va modifier sa manière d’être et d’agir, son intelligence va être différente, voir même plus importante. Et encore, un travail intellectuel va permettre à l’homme de s’éloigne de son animalité d’une part, et aussi de gagner son humanité et de l’intelligence. Tous cela

L'éducation est l'action de développer un ensemble de connaissances et de valeurs morales, physiques, intellectuelles, scientifiques, etc. L’éducation permettrait donc de nous « conduire hors de » notre animalité, en nous « guidant » vers ce que Kant appelle, dans son Traité de pédagogie, « l’humanité ». L’éducation, pour Kant, c’est à la fois instruire (partie positive de l’éducation : accéder à la culture) et discipliner (partie négative : maîtriser le corps). Elle permet à l’homme d’atteindre

Problématique : le travail est-il une activité utile voire nécessaire dont on retirait un gain (notre vie ou notre humanité) ou au contraire une activité nuisible ou neutre dont on ne tire rien (on ne gagne rien à travailler) voire dont on sort perdant (entreprise de déshumanisation) I. On gagne sa vie à travailler. A. Le travail est l'activité nécessaire pour extraire de la nature les moyens nécessaires à notre subsistance. Le travail (comme transformation de la nature et comme emploi) est

Tourne autour de cette question, L'inhumain renvoie-t-il en nous à une animalité, à une sauvagerie primitives? Cette question en provoque une autre: qu'est-ce que l'homme ? Un état, une nature, une dignité ? Le statut d'homme est-il un acquis, ou une condition fragile ? Peut-on qualifier d’inhumaines certaines actions de l’homme ? [Introduction] C'est un lieu commun que de reconnaître que l'homme est capable du meilleur comme du pire. Mais nous ne ferions qu'effleurer notre sujet qui commence

contraignant mais en dirigeant leurs plaisirs, comme par le jeu par exemple ? La discipline est-elle essentielle à l’éducation ? L’auteur commence par exposer le rôle essentiel selon lui de la discipline, à savoir de transformer l’animalité en l’homme en humanité. Pour expliquer cela, il pose que l’animal est doté d’un instinct. Par là il entend ce qui permet à l’animal de se conduire et qui lui est donné à la naissance. D’où l’image d’une raison étrangère qui a tout fourni à l’animal pour qu’il vive. Autrement

lui, seulement de survivre Le travail aliéné contredit la nature du travail qui permet à l’homme de combattre son animalité. Tout cela réduit donc le travail à sa fonction de subvenir au besoin de l’homme. Cependant le travail n’est pas seulement un moyen pour l’homme de subvenir a ses besoins, de survivre. En effet, l’homme par le travail réalise son humanité, dépasse son animalité, l’homme ainsi ne produit pas que des biens consommable mais aussi des idées et des œuvres durables. On peut donc

refuse d'admettre la diversité de culture et on exclut l'autre de l'humanité. Y-a-t-il des hommes plus civilisés que d'autres ? Nous verrons que l'homme existe avant d'être cultivé mais que c'est grâce à la culture qu'il va pouvoir réaliser son humanité et satisfaire ses besoins. Extrait du document: Selon Kant, éduquer c'est éviter la sauvagerie. Il faut éduquer l'enfant pour lui apprendre des habitudes. L'enfant acquiert un savoir par l'instruction, les études. L'individu cultivé est celui qui

du sujet ! HUMANISER : rendre humain, trois distinctions : Humanité / animalité (critère distinctif entre le genre humain et les autres espèces vivantes) Etre disposé à la compassion, à la compréhension, à la pitié envers ses semblables (critère de distinction DANS le genre humain). (= être doté de conscience morale / opposition à l'inhumanité, la barbarie). Conditions concrètes qui permettent d'assumer pleinement son humanité. nous ne le sommes pas tout de suite : l'humanité (en nous) n'est

comprendre cette deuxième négation ? Enfin, dans un troisième temps l’auteur nous montre que ces deux négations sont liées «  Il est nécessaire […] animalité de l’homme ». En quoi consiste alors la vraie humanité de l’homme ? L’auteur annonce qu’il fonde son argumentation sur une observation. Il soutient que l’homme est un animal qui refuse son animalité. Il ne se définit que par la négation d’être tel que la nature l’a fait. L’auteur présente se fait comme « un fait peu contestable » ; ce qui veut