Humanité Et Animalité

périphrase dépréciative -> Animalité -> mouvement désordonné -> folie meurtrière des hommes *Ch.Lex de la violence : excès de rage forcené -> fanatisme « écraser ; assassins » *Opposition sur la syntaxe : accumulation d’exclamation, phrase -> connotent l’indignation de Micro-mégas *phrase avec des subordonnés B) La réfutation des hommes * elle répond à la réaction initiale, positive de Micro-mégas *dénégation : L7-8 « tous les philosophes secouèrent la tète » -> humanité *Ch.Lex de l’honnêteté

en latin qui désigne un instrument de torture.Depuis l'Antiquité il est souvent vu comme une malédiction car ce travail est pénible et il peut avoir des conséquences parfois négatives. Pour Aristote, l'homme qui philosophe accomplit bien plus son humanité que l'homme qui travaille, pour lui le travail était réservé aux esclaves. De plus, le travail est associé à la souffrance.Travailler c'était s'animaliser, car c'était répondre aux besoins fondamentaux et animaux, c'est-à-dire une corvée vitale et

autres. Il menait une vie monotone. Refus d'accepter son nouvel état, ne veut pas reconnaître qu'il est un insecte. Inquiétude de la soeur pour son frère => complicité. Gregor à une part d’humanité car il pense. Il y a une lutte constante entre animalité/humanité. Métamorphose progressive, changement d’apparence, sa voix évolue, il n’aime plus sa chambre (perception différente de l’environnement qui l’entoure, différents plaisirs => grimper aux murs. Il est sorti de sa chambre (=monde clos) pour aller

maux de l’homme. Elle sort l’homme de sa condition première, où il goutait à une satisfaction immédiate. En effet, la nature de l’homme se compose d’une animalité initiale où il aspire à des besoins fondamentaux (boire, manger, besoins sensuels et sexuels) donc des penchants animaux. Cette animalité est susceptible de se transformer en humanité qu’au prix de la discipline. La discipline étant l’éduction de sa volonté afin de civiliser son corps c'est-à-dire être capable de se présenter dans des attitudes

l'avidité de l'homme 4 Le passage La violence inscrite en l’homme ne peut être déracinée 1. L’homme, comme l’éléphant, est un animal 2. Sa violence, « inscrite dans les défenses de l’éléphant », fait partie de son animalité 3. Mais s’il dépasse l’animalité, en accédant à la sagesse et à la compassion, ne manifeste-il pas l’inutilité de la violence ? 4. C’est en tout cas ce que pense un homme envieux et avide mis en scène dans le conte 5. Il voudrait désarmer son

termes et des présupposés) Quand on parle d’inhumanité ça peut renvoyer à plusieurs choses, soit on envisage que l’inhumain c’est ce qui ne fait pas parti de l’espèce humaine mais le vocabulaire choisira plutôt de non humain, on est plutôt dans l ‘animalité : un « état » hors de la culture. Soit l’inhumain est constitutif de l’humain, il fait parti de l’espèce humain. Un état qui manque de raison (perte de raison), état de cruauté. L’inhumain revient au mépris de la personne humaine. L’inhumain qualifie

Mais, dans un 2ème temps, il est décisif d’approfondir la négation : n’être pas naturel, et de s’interroger sur le sens qu’elle reçoit. Qu’est-ce qui est nié à travers le terme de “nature” ? Est-ce la nature en général ou sa propre nature, son animalité ? Enfin, pour proposer une réponse, ne faudrait-il pas revenir au pouvoir de dire ? En effet, nous pouvons bien accepter que l’animal s’exprime et « parle », mais peut-être est-il réservé à l’homme de pouvoir dire quelque chose en lui donnant du

l’oppression – comme les prouvent les luttes historiques menées pour la liberté. Arendt – « Qu’est-ce que la liberté ? » (La crise de la culture) [il s’agit ici de la liberté dans le sens politique du terme]. C. Point de vue pratique : liberté et animalité. La liberté bien comprise – autonomie – est ainsi le contraire de l’esclavage et de l’animalité, ce qui fait de nous des hommes à proprement parler. Bergson – La pensée et le mouvant, la liberté, comme liberté créatrice, c’est bien ne subir absolument

manger se caractérise par son excès et abondance du terme le + neutre au + vulgaire Plrs expressions insistent sur la capacité à manger des perso (l5/6) (l19) (l38): déchainement Nb intensifs B. Cet excès fait ressortir leur animalité Semble perdre leur humanité (l8). Patronyme des perso les déshumanise. Activ est de manger: champ lexical de la nourriture : se jette sur la nourriture + mange avec leur doigts sans couverts + synecdogue(l49+-50) => impression que leur visage ne sont plus que

introduit ses propos par la première phrase du texte ou il pose sa thèse sur Radicale qui est la différence entre la conscience de l’animal , même le plus intelligent et la conscience humaine. C’est une ligne de rupture, une opposition entre humanité et animalité décrite dans cet extrait. Bergson relate en effet une séparation fondamentale entre l’homme et l’animal, une séparation absolue. Bergson inaugure son analyse par un premier argument au connecteur logique « : », ligne 4