Humanité Et Animalité

l’annihilation de la violence humaine ? En effet, en entrant dans la cité, l’homme annihile son animalité et la violence qui la caractérise. Ainsi, hors de la cité, l’homme, soumis à ses instincts, ses désirs, ses passions, ne se soumettrait qu’à la loi du plus fort et cet état naturel serait un véritable enfer où la violence se déchaînerait, (Hobbes, Léviathan). A contrario, la vie en société favoriserait son humanité. En effet, dans la cité, l’homme vit entouré de ses semblables et il peut, grâce à la parole

l’état de sauvage. Grâce à la société, l’Homme peut accéder à son humanité et devenir un « animal politique », un vivant « doué de raison », à l’écart des autres espèces sur la planète. 1e idée secondaire : A sa naissance, l’Homme est un être culturellement démuni, avec ses pulsions, ses désirs, et ses « penchants égoïstes ». L’éducation, une institution importante apportée par la société, détache l’être humain de son animalité et le conduit à devenir un être raisonnable et responsable. - Exemple

passionnelle + raisonnable ) * De « Ainsi, par exemple » « assez peu » : Un ordre et une régularité d’ensemble dans le déroulement des actions humaines qui leur échappent. * De «  étant donné que les Hommes » FIN : L’Homme est écartelé entre son animalité et sa vocation morale. Son histoire : régulière ou ses actions ont un sens ou désordre et devenir insensé ? MISSION DU PHILOSOPHE : Découvrir un «  dessein de la nature », une finalité cachée qui servirait de «  fil conducteur » pour redonner sens

la nécessité est naturellement fâcheuse ». Sans travail, pas d’espèce humaine (C’est parce que l’homme doit lutter contre la nature pour satisfaire ses besoins qu’il c’est développer physiquement, intellectuellement, et c’est éloigner de son animalité originaire. ( Le travail oblige le moi a sortir de lui même, et de se rapproché les uns des autres dans la poursuite d’un but commun. (cette conscience d’appartenance a une communauté et la participation a son développement constitue l’être générique

que Hannah Arendt appelle, dans La crise de la culture un « monde » par opposition aux choses données par la nature. Selon Hannah Arendt, la nature renvoie les hommes à leur animalité, leur appartenance à une espèce naturelle. Et toujours selon Hannah Arendt le monde, au contraire, comme la société, les renvoie à leur humanité. Le monde habité par l’homme est artificiel, c'est-à-dire un produit de l'art humain. Nous pouvons faire un autre constat, c’est que la nature a disparu en nous. En effet, l’auteur

travail théorisée au XIXème chez Hegel, puis Marx : le travail est perçu comme activité par laquelle l’homme maîtrise la nature et réalise son humanité. Le travail devient ici libérateur. Cf. Cours sur le travail : Hegel développe l’idée que l’homme prend conscience et réalise son humanité par un processus de transformation du donné naturel (monde extérieur, animalité en l’homme), une confrontation avec ce qui est autre (matière / esprit). Repris par Marx : essence du travail = médiation par laquelle l’homme

Technique et société 2 2001 découverte de l’outil, premiere chose que fait l’homme : tuer. La main est la première interface entre l’homme et les choses. Quand on tousse la main cache notre animalité Le langage est déjà une invention technique, plus on dépend de la technique moins on est autonome. GHELEN suggère que l’homme est un être faible et ne peut pas s’ouvrir sans technique (on ne peut pas sortir sans se couvrir car le froid nous tuerait et on doit se munir de la technique pour se

qui permettrai de passé de l'animalité à l'humanité. Comme par exemple, on ne peut pas apprendre aux enfants en les contraignant mais en les dirigeants. Selon Kant, la discipline serai le rôle essentiel pour pouvoir transformer l'animalité en humanité. En effet, il indique que l'animal est munit d'un instinct, il possède une conduite qui lui est donné dès la naissance. C'est donc cette "raison étrangère" qui permet à l'animal de vivre, sans ayant eu à leurs enseigner des règles de conduite. Kant

comment on peut articuler les deux points de vue contradictoires. Humain » demande à être précisé : si l’homme se transforme dans l’histoire, le travail tient-il un rôle dans cette transformation ? • Rendre « plus humain » implique-t-il qu’il y ait humanité sans ou avant le travail ? •« PIÈGES À ÉVITER • Ne pas se contenter d’énumérer des situations indiquant la déshumanisation par les conditions de travail : échantillonnage insignifiant. • Ne pas se contenter de rappeler que la notion

Moi est compris entre le Surmoi (ce que l’on aimerait être, les interdits, les lois morales) le ça (l’influence de l’extérieur). Isomorphisme: Plan social: la Lois – famille – conflit, violence. Plan de l’espèce: culture civilisation – Humanité – animalité.