Hume Et La Question De L

Hume, Traité de la nature humaine, I, IV, 6 Commentaire de l’extrait Le premier paragraphe de notre extrait est une attaque contre la thèse cartésienne de l’identité personnelle établie par l’activité de la pensée (ou ce que nous pourrions appeler, en termes anachroniques, la conscience réflexive). On en trouve la démonstration dans la Seconde Méditation, « De la nature de l’esprit humain ; et qu’il est plus aisé à connaître que le corps ». Ce que Hume a lu dans cette Méditation et qui a retenu

Philosophie De la conscience de soi à la rencontre d’autrui. ------------------------------------------------- Explication de texte : Hume. Appréciations : ------------------------------------------------- Tout d’abord Hume, dès les premières lignes, dénonce et met en doute les propos et la manière de penser de Descartes. Dès la première phrase, il nous montre son désaccord avec les philosophes qui pensent que nous sommes intimement conscients de ce que nous appelons notre moi, à chaque

Introduction Dans cet extrait polémique, Hume s’attaque au problème de l’existence du moi : y-a-t-il une unité, une identité derrière la diversité de nos perceptions ? Autrement dit, peut-on parler d’un sujet conçu comme un support commun à tous les événements de la vie psychique ? La question est donc celle du rapport entre la multiplicité de nos perceptions et de nos idées et, d’autre part, une possible unité, une éventuelle unification sous un moi frappé du sceau de l’identité. Descartes posait

Commentaire de texte, Hume, Abrégé du Traité de la nature Humaine. Dans cet extrait du « treatise of human nature », Hume nous propose une argumentation autour de la question de la causalité. Le texte interroge le bien fondé de nos raisonnements, et notre possibilité à fonder une connaissance sur les relations de cause à effets. Ici, hume vise à démontrer que les relations de causes à effets ne relèvent que d’une croyance, à savoir que le monde soit régit autour de lois régulières et immuables

que dans un profond renouvellement de la façon de poser la beauté. Avec l’esthétique du gout, la beauté cesse de s’être approprié comme une essence mais comme une qualité. L’esthétique est donc en liaison étroite avec la psychologie. Il n’est plus question de la nature des choses mais de la nature humaine. L’esthétique du gout en introduisant cette approche de la beauté, ce que nous ressentons telle, ce n’est plus une propriété objective d’une chose. Toute cette tradition philosophique qui privilégiait

Introduction Dans cet extrait polémique, Hume s’attaque au problème de l’existence du moi : y-a-t-il une unité, une identité derrière la diversité de nos perceptions. Autrement dit, peut-on parler d’un sujet conçu comme un support commun à tous les événements de la vie psychique ? La question est donc celle du rapport entre la multiplicité de nos perceptions et de nos idées et, d’autre part, une possible unité, une éventuelle unification sous un moi frappé du sceau de l’identité. Descartes posait

philosophe, nommé DAVID HUME, qui fera l’objet de notre étude. Ainsi, nos investigations consisterons à étudier de fond en comble et sur tous les aspects, ce prestigieux personnage qui a marqué l’histoire de la philosophie tant par sa personnalité que par son talent. Alors, dans le souci de mieux cerner notre philosophe, nous tenterons d’abord d’examiner sa personnalité en nous posant la question suivante : QUI EST DAVID HUME ? Une telle interrogation nous amène à poser les questions suivantes : QUELLE

texte étudié, Hume remet en question cette notion du « soi » qui est selon lui fictive. En effet, dans un premier temps, Hume évoque,avec une légère couche d'ironie, la thèse opposée à la sienne, qui soutient l'existence du « moi » en chacun de nous. Dans un second paragraphe, il démontre qu'il ne peut y' avoir de moi sans perception. Ainsi,Hume présente sa thèse sur la non-existence du « soi » mais plutôt sur l'existence chez chacun de nous d'une multiplicité de perceptions. La question est la suivante

introuvable : Hume (1711-1776) 1- L’empirisme de Hume et sa critique de Locke, TNH I, I ; EEH, chap. 27 2- Le moi est une fiction de l’imagination : TNH I, IV, 6 3- Conclusion : que reste t-il du sujet ? Hume est un auteur profondément original. Sa philosophie a réveillé Kant de son « sommeil dogmatique ». En effet, l’époque de Hume est celle du XVIII ème siècle, un siècle où l’on accorde toute notre confiance en la raison. Or, la critique de Hume va porter sur

Philosophie Dans cet extrait, David Hume cherche à définir le « moi », ou plutôt il chercher à démontrer qu’il n’est qu’une fiction et qu’il ne résulte que de la seule somme de nos perceptions et non d’une identité personnelle. Les questions posées par ce texte sont donc : « Qu’est-ce que le moi ? Sous quelle manière se manifeste t-il ? Et existe-t-il vraiment ? » On peut alors diviser ce texte en trois étapes de réflexion, en premier lieu Hume cite la théorie de ses adversaires qui perçoivent