Hume échanges Interessés

colonisation…. Les pays sont donc très intéressés par les hommes et l’argent…. Cette thèse économique est très contester, les intérêts des individus et de l’États de sont pas complémentaire… à tout moment il y des ressources limitées. Le fait que ce soit limité, si un agent économique exploite une ressource, il y a moins de disponible pour les autres…alors nécessairement qu’il y aura des conflits vis-à-vis les ressources alors les buts deviennent opposées (DAVID HUME) La Richesse * : Il va falloir

genres. Pour Platon, ils ne doivent pas s’occuper de richesse (or/argent) de pas de monnaie mais il y a quand même la monnaie dans la cité. La monnaies voulu de Platon est à une valeur intraséque. Seul la cité a des réserves pour régler les échanges avec d’autres cités. Platon ajoute que quand un citoyen part il peut emporter une partie de ses réserves mais contrôle à l’entrer & à la sortie. Le citoyen est le seul propriétaire foncier, mais ne cultive & ne s’occupe de l’entretien

la réflexion économique en Europe est principalement l'œuvre des théoriciens scolastiques. L'objectif est de trouver un système économique compatible avec les doctrines chrétiennes de piété et justice. Les réflexions portent principalement sur les échanges au niveau local entre individus. Inspirées d'Aristote et Platon,et fortement influencées par l'Église, les conceptions économiques d'alors dénoncent la chrématistique, l'accumulation des richesses et le prêt à intérêt. L'activité économique est considérée

solidarité organique. Quand les sociétés sont peu différenciées, il existe une solidarité mécanique parce que les individus sont très proches les uns des autres. Ils vivent tous de la même façon, selon les mêmes besoins. Ainsi tous les individus sont intéressés à ce que vont faire les autres. L’intégration se fait alors par des valeurs communes (les valeurs paysannes dans la société paysanne par exemple). Les règles sont fortes et fortement sanctionnées (exclusion du groupe par exemple pour non respects

géographique, culturelle, politique, économique... Nuance → il y a le développement des relations inter-individuelles, la mondialisation, universalisation des problèmes (technologie). Accroissement des échanges, solidarité, coopération.... Il y a une différence qui demeure → la GRANDE majorité des échanges dans le monde reste le fait des sociétés internes donc à l'intérieure d'une même frontière, d'un Etat. La société internationale est une société fragmentée (en entités). Fragmentation à deux aspects:

cette définition de l'ami et de l'amitié. (Amitié) Peut-on avoir un ami et ne rien exiger de lui ? Peut-on avoir un ami et ne rien exiger de lui ? "Ce que les hommes ont appelé amitié n'est qu'une société, un ménagement réciproque d'intérêts et qu'un échange de bons offices ,et enfin ce n'est q'un commerce ou l'amour propre a toujours quelque chose a gagner". De la Rochefoucault (Amitié) Dans son traité De l'amitié, Cicéron, écrit : "Entre parents, le lien qui existe, crée par la nature, est fragile.

théorie s’écrit MV = PT c'est-à-dire que la quantité de monnaie (M) multipliée par le nombre de fois où elle change de main au cours d’une période (V) est égal au volume des échanges (T) multiplié par le prix moyen des marchandises (P). B ) Le principe du rééquilibrage automatique de la balance commerciale (Hume) : HUME : hausse des prix intérieurs, hausse des salaires. Pays moins compétitif, si il ne vend plus à l’étranger n’arrive plus à récolter l’or. Lorsqu’on a trop d’or, l’or va s’éroder

tant que tel. Pour plusieurs historiens de la pensée économique, comme Joseph Schumpeter et Lars Magnusson3, le mercantilisme a pris corps en tant que système au XIXe siècle pour justifier la naissance de la théorie classique fondée sur le libre-échange, les rendements décroissants et l'équilibre général. La naissance d'un système théorique complet se conçoit mieux lorsqu'elle se trouve être en opposition avec une autre pensée supposée être tout aussi systématique. D'autres comme Georges Lefranc

conséquences de nos actes ? Bien souvent ces deux attitudes sont en contradiction. Imaginez que vous êtes fait prisonnier dans la jungle. Le chef de la tribu vous amène face à dix autres prisonniers, et vous demande d’en tuer un, n’importe lequel, en échange de votre libération et de celle des neuf autres captifs. Sinon, il les tuera tous. Que faut-il faire ? Selon la morale du devoir, il ne faut pas tuer. Il faut donc laisser les dix prisonniers se faire abattre. Selon la morale des conséquences, il

conséquences de nos actes ? Bien souvent ces deux attitudes sont en contradiction. Imaginez que vous êtes fait prisonnier dans la jungle. Le chef de la tribu vous amène face à dix autres prisonniers, et vous demande d’en tuer un, n’importe lequel, en échange de votre libération et de celle des neuf autres captifs. Sinon, il les tuera tous. Que faut-il faire ? Selon la morale du devoir, il ne faut pas tuer. Il faut donc laisser les dix prisonniers se faire abattre. Selon la morale des conséquences, il