Hypercapnie

lèvres, survient qd le sang capillaire contient plus de 5 g/dL d’Hb désaturée ■ Tachycardie, troubles du rythme, aggravation d’une myocardiopathie ischémique ■ Rétention sodée ■ Troubles neurologiques : céphalées, somnolence, convulsions HYPERCAPNIE ■ Céphalées ■ DTS, troubles de la vigilance ■ Astérixis ■ HTA ■ Hypersudation, hypersécrétion bronchique ■ Yeux larmoyants ■ Vasodilatation cutanée 

soinPortera sur:Le débit et la durée (selon la PM)La perméabilité des voies aériennesL’étanchéité du systèmeNiveau d’eau dans le nébulisateur( à changer quand il est vide)État cutané (ailes du nez, ..)Signes cliniques d’hypoxie (cyanose, somnolence) ou hypercapnie (sueurs)Surveillance (suite et fin)Signes de surdosage: euphorie, agitation, céphaléesSurveiller que la personne conserve son O2Changer la sonde et les lunettes chaque jourLaver le masque à l’eau et au savon chaque jour dans la chambre (mettre des

avec une dose d’entretien la plus faible possible). Céphalées secondaires Les céphalées secondaires peuvent être dues à: – La fièvre: c’est la cause la plus fréquente des céphalées secondaires. – Des désordres métaboliques (hypoglycémie, hypercapnie, hypoxie, etc.). – Des affections ORL: parmi elles les sinusites représentent environ 15% des céphalées secondaires. Les céphalées sont plutôt localisées en cas de sinusite frontale ou maxillaire, plus profondes avec irradiation orbitaire

cardio-pulmonaire qui montre une polypnée avec frein expiratoire, il existe des marbrures des lombes, des fesses mais pas des membres inférieurs ; la patiente est en sueurs. L’examen neurologique retrouve une patiente en état de coma réactif sur probable hypercapnie (taux excessif de dioxyde de carbone dans le sang, dû à une diminution de l’échange de gaz entre l’air et le sang au niveau des poumons). Un électrocardiogramme est effectué et présente une fibrillation auriculaire (troubles du rythme cardiaque)

ou psychiatriques? PERTURBATION AIGUE: Eliminer une urgence toxique, métabolique, infectieuse, processus expansif intracérébral. Les causes : - Infectieux: fièvre ==> méningoencéphalite, abcès - Métaboliques: Glycémie +++, Natrémie, Calcémie, hypercapnie, encéphalopathie hépatique - Toxique: médicaments, drogues, CO, alcool +++ - Comitialité - Processus intracranien occupant de l'espace: tumeur, hématome, infarctus - L'alcoolique : Danger +++ Une cause psychiatrique ne sera envisagée qu'après avoir

obtenir des paramètres correspondant aux critères d'extubation (celui qui n'est pas encore atteint est le fait qu'elle a encore une cible sas=3) Altération des échanges gazeux Se manifestant par une acidose respiratoire (pH=7 31) Liée à une hypercapnie à 48,5, une FR=10 c/min But du ttt : corriger l'hypercapnie en obtenant une FR dans les normes, pour cela la patiente doit retrouver un état de conscience permettant une ventilation spontanée efficace Troubles de l'élimination rénale Se manifestant

les PEC absents n’ont aucune valeur pronostique. Leur interprétation tient compte de la sédaation et de l’influence possible de facteurs non primitivement cérébraux tels que les ACSOS (Hyper/hypoTA, anémie, Hyper/hypoglycémie, hyponatrémie, Hypercapnie, hypoxie, Hyperthermie)

calcium Ca2+ : calcémie (hypocalcémie, hypercalcémie) ; potassium K+ : kaliémie (hypokaliémie, hyperkaliémie) ; en sucre : glycémie (hypoglycémie, hyperglycémie) ; l'acidité, le pH, et notamment la quantité de gaz carbonique ou capnie (hypocapnie, hypercapnie) ; l'osmolarité ; la circulation sanguine ; la température (hypothermie, hyperthermie) : homéothermie. Cette régulation se fait entre autres par 1. le rythme cardiaque et le rythme ventilatoire, qui régulent la diffusion du dioxygène, des ions

BILAN entretien âge, taille/poids, profession, loisirs tabagisme date et début des crises, fréquence, intensité, facteurs déclenchants, traitement bilan morphostatique ceinture scapulaire élevée bilan respiratoire GDS : hypoxémie, petite hypercapnie (puis normale après la crise) radio : distension DEP : 150 L/mn (à prendre avant et après la séance) augmentation fréquence respiratoire (puis normale après la crise) dyspnée : EVA ventilation abdominodiaphragmatique sibilants à l'expiration

urinaire ; ou fistule digestive, obligeant à une ré intervention ; * thrombose veineuse profonde (phlébite) et embolie pulmonaire ; * hypercapnie ; * embolie1. Ces risques sont limités (le risque de complication grave est moins d’un cas sur 500, et la mortalité est moins d’un cas sur 10 000). 9-surveillance spécifique : EtCO2 : -hypercapnie : augmentation du volume minute (fréquence respiratoire et volume courant) -hypocapnie : éliminer une emploie gazeuse Pression d’insufflation :