Hyperthermie maligne

fluor, chlore … Ils se présentent sous forme de liquides volatils. Halothane : FLUOTHANE® ; Desflurane : SUPRANE® ; Sevoflurane : SEVORANE® : Isoflurane : FORENE® Utilisés en induction ou en entretien de l’AG EI : toxicité hépatique, hyperthermie maligne (donner DANTROLENE®), nausées et vomissements, irritations des voies aériennes supérieures b) AG administrés par voie intraveineuse Ce sont des médicaments surs et efficaces, ils ne contaminent par le périmètre opératoire donc, pas toxiques

exceptionnels cas d ’hépatites. urique, uraturie > 700 mg/j, salicylés. 7 CI : HS, goutte secondaire, lithiase Fasturtec Urate-oxydase, produite par génie génétique Réduire l’uricémie et l’uraturie en dégradant l’acide urique Hémopathie maligne avec masse tumorale élevée lors de l’initiation de la chimiothérapie EI : fievre, nausées, vomissement 8 

polynucléaires basophiles en présence d’un allergène donné. D’autres applications très spécialisées existent en immunologie (lymphocytes T régulateurs, activation des monocytes…). Applications en hématologie maligne L’immunophénotypage est un élément clé du diagnostic des hémopathies malignes, en particulier pour les syndromes lymphoprolifératifs et les leucémies aiguës. Il s’articule dans une démarche multi-disciplinaire avec la cytologie, la cytogénétique, la biologie moléculaire, l’anatomo-cyto-pathologie…

absence de matériel réa - Hyperthermie maligne. - Porphyrie. - hypersensibilité - ATCD hépatite - chimiothérapie - Insuffisant hépatique - grossesse < 6 mois - ttt par isoniazide - neurochir si gde lésion - Toux, laryngospasme - Nausées, vomissements - Frissons au réveil. - Arythmie - Hyperthermie maligne. - hépatite à l’halothane - Entretien adulte, enfant - Ambulatoire - Utilisation en neuro chir mieux que les autres halogénés - absence de matériel réa - Hyperthermie maligne. - Porphyrie. - hypersensibilité

relation sexuelle → recherche de la perversion Ce que l’on sent Odeurs : alcool, sueur, mauvaises odeurs… Les observations paracliniques La température est à surveiller dans le cas de prises de neuroleptiques : syndrome malin ou hyperthermie maligne. (Hyperthermie parfois mortelle sans signe infectieux due à des troubles de la régulation centrale). Dans le cas de l’anorexie mentale, on pèse les patients mais on ne donne pas le poids aux patients, on surveille l’aménorrhée chez les femmes Elimination

particulier si massage cardiaque). Chirurgie cardiaque. Crush syndrome et effort musculaire intense, hématomes. Injections intra musculaires répétées. Polymyosite, dermatomyosites. Dystrophies musculaires. Hypothyroïdies. Rhabdomyolyses. Hyperthermie maligne. Elévation ALAT > ASAT : causes hépatiques : Hépatites virales ou microbiennes. Hépatite toxique ou médicamenteuse, alcoolique. Insuffisance cardiaque et état de choc. Infiltrations hépatiques (tuberculose, sarcoïdose, lymphomes). Obstruction

transfusion de CGR (non déleucocyté), de plaquettes, de leucocytes ; Grossesse ; Greffe d’organe. Les anticorps anti-HLA peuvent être responsables (+++) d'inefficacité transfusionnelle pour les transfusions de plaquettes ; de réactions de type frissons-hyperthermie ; d’OAP. La recherche d'anticorps anti-HLA est recommandée : * Avant une première transfusion de plaquettes chez toute personne ayant été exposée à un risque d'allo-immunisation. * Après une première transfusion de plaquettes (J7, J30).

(globules rouges et blancs, plaquettes). Conséquences : anémie, risque infectieux élevé, thrombopénie. Myélome multiple : c’est une tumeur qui se développe dans la moelle osseuse et autour des os adjacents. Cela est le résultat d’une multiplication maligne des plasmocytes avec une production anormale d’anticorps. Monsieur G. est un patient qui est en bon état général, il ne présente aucun risque d’escarre et ne se trouve pas douloureux mis à part des acouphènes accompagnés de vertiges présents depuis

l’infection urinaire basse : cystite, qui est une inflammation de vessie, elles sont plus fréquente chez la femme. La pyélonéphrite aigue : infection urinaire haute, elle touche le bassinet. 5 à 8% des nourrissons de moins de 1 an consultant pour une hyperthermie sont atteints d’une infection urinaire. A l’âge de 7 ans : 7,8% des filles et 1,6%des garçons on déjà eu une infection urinaire. 1. Les facteurs favorisant Elle peut être favorisé par : -une hygiène locale défectueuse -des boissons en

la vésicule biliaire, due à une infection par des germes comme chlamydia, trachomatis ou gonocoque. Le patirnt se plaint de : * Douleurs qui irradient dans les régions de voisinage. * Contractures des muscles de l'abdomen. * Légère hyperthermie (fièvre). L'évolution se fait vers une cholécystite (inflammation de la vésicule biliaire). Le pronostic au niveau du foie est bon. Le traitement à base d'antibiotiques en vient à bout. La  péritonite nosocomiale est une péritonite survenant