Hypocrisie

. Résumé : Dom Juan est un homme riche toujours accompagné de Sganarelle, son fidèle valet. Infidélités, fourberies, avarice, lâcheté, polygamie, hypocrisie, telles sont ses valeurs. Il dit que sa seule croyance est « deux et deux sont quatre et quatre et quatre sont huit ». Cet homme va séduire Done Elvire, Charlotte et Mathurine. Sa devise, aimer toutes les femmes et toutes les posséder. Il ne

(l.13) » qui a pour effet de montrer l’avarice de Mme Vauquer. Aussi « les pantoufles grimacées (l.4) » qui souligne son avarie et sa lourdeur « en traînassant ». Métaphore de sa vanité (l.1) qui montre qu’elle montre une perruque mais aussi son hypocrisie. Portrait lié au décor l.20 « étoffe lézardée » qui signifie en ruine ; son jupon résume le salon, la salle à manger, le jardinet et la cuisine qui montre que Mme Vauquer est au centre de tout (l.24 à 27). Caricature : adjectifs dévalorisants

tragique : Spectateur qui assiste à tout le spectacle et aux manipulations. Fin tragique, on prévoit qu’elle sera une victime. 3) Intentions satiriques de Laclos a) Satire de la société mondaine : allusion aux fards des femmes du monde : hypocrisie mondaine. Société unie face à la faiblesse de la jeune fille. b) Dénonciation des éducations cloitrées : (Préface) Remet en question les éducations dans les couvents -) « L’Education des femmes ». Laisse les jeunes filles dans l’ignorence, ce

n’est fondée que sur cette mutuelle tromperie ; et peu d’amitiéssubsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il n’y est pas,quoiqu’il en parle alors sincèrement et sans passion.L’homme n’est donc que déguisement, que mensonge et hypocrisie, et en soi-même et à l’égard des autres. Il ne veut donc pas qu’on lui dise la vérité. Il évite de ladire aux autres ; et toutes ces dispositions, si éloignées de la justice et de la raison,ont une racine naturelle dans son cœu

concerne le Galilée, de Brecht, cette idée du progrès des peuples liée aux conquêtes du savoir est initialement présente dans l'opposition entre les conceptions populaires de l'univers Pouvoir et Eglise : -Les hommes du Livre -Diplomatie et hypocrisie - Révélation / raison

hélas ! A son tour m'aime-t-elle ? Je ne sais ; je ne lui dis pas Que son oeil étincelle. Est-ce pour moi qu'il brille ainsi ? Félicité suprême !... Ailleurs l'enflamme-t-elle aussi, Celle que j'aime ? Si trompant ma naïveté Par son hypocrisie, Elle se sert de sa beauté Pour me briser ma vie ! Son coeur peut-il être si noir ? Oh ! non ; c'est un blasphème ! Un blasphème !... il ne faut que voir Celle que j'aime. Non, non, amour, amour à nous Car en te faisant femme, Dieu, je

amoureuse" : il s'agit d'enlever une belle, au cours de la promenade en mer que lui offre son fiancé. Mais survient Elvire, douloureuse et indignée. Elle reproche à Dom Juan sa trahison et lui demande des comptes. Dom Juan se réfugie dans une impudente hypocrisie et lui répond avec le cynisme le plus odieux. Elvire appelle sur lui la punition du ciel et le quitte en le menaçant de sa vengeance. Dom Juan, impassible, s’apprête à mener à bien "l’entreprise amoureuse" dont il a parlé à Sganarelle ACTE Il Dom

simplement un homme qui parle. Mais est que un "parleur" n'est pas déjà un menteur ? En effet, si il commence a parler, ses paroles sont peut être fausses, ça pourrait être un hypocrite, la société elle même ne serait pas hypocrite ? Le problème est la, hypocrisie et le mensonge sont au coeur de notre société, comme le dirait Henri-Frederic Amiel, "la mauvaise fois, la sottise et l'hypocrisie, sont les reines de ce monde". Nous pourrions faire l'expérience inverse, que la société soit basé sur la mensonge

de justifier ses fautes ou se chercher des excuses, cela n'apporte rien, c'est pas le sujet. Il faut quant à soit, bien accepter que le cours de notre pensée soit parfois interrompu. Si vous en voulez plus écrivez-moi LA POLITESSE? VERTU ou HYPOCRISIE? Laisse tomber le plan et l'intro, occupe-toi d'abord du contenu, va à l'Essentiel Poli = Cité = Civisme = vivre ensemble = lisse = sans que rien accroche comme la main qui glisse sur une planche polie. Il s'agit là de mettre notre interlocuteur

apparence ne peux servir a rien. La remarque 18 et 56 du livre VIII toujours, montrent que ce sont des personnages de farces à cause de leur hypocrisie.On peut dire que dans le livre VIII, la Bruyère montre que la cour n’est que faux semblants, hypocrisie et manigances. Il dénonce le règne des apparences, les courtisans sont dépassés par leur orgueil et leur ambition démesuré. Il se moque de leurs comportements, des règles ridicules, de leur besoin incessant de plaire qui font d’eux le pantin du