Hémoculture

l’année qui suit puis stabilisation de la courbe de survie égale celle de la population générale Taux de survie après période aigüe : 85% à 5 ans 75% à 10 ans DIAGNOSTIC Biologique Hémocultures (Hc) 3 prélèvements sanguins minimum a distance ATB Radiologique Echocardiographie Trans Thoracique (ETT) Echocardiographie Trans Oesophagienne (ETO) TTT ATB curative IV 4 à 6 semaines adaptée au germe Chirurgie Retentissement cardiaque Persistance

on retrouve la douleur avec une mobilisation de l’utérus. III / Examens complémentaires ◘ NFS ( ↑ GB, VS, et CRP) ◘ Sérologie des chlamydiae ◘ Recherche d’autres MST (syphilis, Sida) ◘ Examens bactériologiques (prélèvement des écoulements, hémoculture ◘ Cœlioscopie pour affirmer le diagnostic, voir l’état de l’utérus et des ovaires, et prélever le pus qui sort des trompes. ◘ L’échographie a peu d’intérêt. IV / Evolution et complications L’évolution est favorable si le diagnostic est précoce

: Indications : interventions chirurgicales actes invasifs III- 2 Les gants de soins stériles à usage unique: Indications : Actes aseptiques mais ne nécessitant pas un habillage stérile (pose d'une sonde à demeure urinaire, prélèvements pour hémocultures, etc…), III- 3 Les gants d'examen ou de soins non stériles à usage unique : Indications : Contact avec un liquide biologique (sang, urines, fécès…) ou contact avec des muqueuses, Nettoyage désinfection des locaux, du mobilier, du matériel hôtelier

| |Recherche des Brucella se fait : |(Sérologie de Wright : réaction d’agglutination lente. | |(Hémoculture : |Principe : Recherche des AC anti Brucella type Ig G et Ig M. | |Phase aiguë constamment

qu'il envoit dans les artères. 12.5 SistoleDiastole Pouls : correspond aux battements du cœur, contraction du ventricules anémie : diminution globule rouge anticoagulant : fluidifie le sang arythmie : perturbation du rythme du cœur hémoculture : mise en culture du sang hémostase : arrêt d'une hémorragie ischémie : diminution, interruption de l'irrigation sanguine lymphangite : altération des vaisseaux lymphatiques

Moins de 10 ml/24h Matériel stérile, plateau, compresse, pince, eau stérile, scalpel n°11, couper du bas vers le haut, cycle complet, couper les fils. Enlever le Redon, retirer doucement prévenir le patient, clamper avant Pot ECBU prélèvement hémoculture + paire de ciseaux

III- ASPECTS CLINIQUES DE LA MALADIE-----------------------------------4 IV- DIAGNOSTIC-----------------------------------------------------------------5 1- Sérodiagnostic-----------------------------------------------------------5 2- Hémoculture et coproculture------------------------------------------6 V-TRAITEMENT ET PROPHYLAXIE-------------------------------------------------7 CONCLUSION--------------------------------------------------------------------------8 ANNEXE------------

suffisamment autonome sur l’ensemble de cette activité pour l’assurer seul ? Oui, je me sens suffisamment autonome sur l’ensemble ces activités pour les assurer seule. J’ai pu, à de nombreuses reprises mettre en pratique des actes similaires (hémoculture), et ce, en totale autonomie. Il faut savoir rester calme, procéder par des gestes rapides mais précis. Chaque patient appréhende différemment le prélèvement veineux, et tolère plus ou moins la vue de « l’aiguille » ; J’ai appris à gérer mon

Correction de toute hypo-perfusion rénale, réguler l’hypo volémie, traiter une anémie, traiter les problèmes d’insuffisance cardiaque … • Curatif : - Risque de surcharge hydro sodée : traitement par diurétiques, et dialyse - Risque infectieux : hémocultures pour identifier le gène et antibiogramme, traitement antibiotique - Risque toxique : diminution des doses du traitement car baisse de l’élimination INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE  Définition : baisse prolongée et définitive des fonctions rénales

marbrures des MI - Splénomégalie - hyperleucocytose, neutropénie (fièvre typhoïde), CRP et VS élevées Le diagnostic repose sur la clinique, la recherche d’une porte d’entrée (mise en culture des VVP, sonde, drain…) et la biologie (NFP, VS, CRP, hémocultures…) Complications :  Choc septique : Il est du la secretion de toxines vasodilatatrices (bactéries Gram+). Les signes sont les suivants : - Hyperthermie ( 38,5°) ou hypothermie ( 36°) - frissons - signes cutanés : cyanose