IIe concile œcuménique du Vatican

Le mariage catholique : du Concile de Trente au XVIIème siècle Presque de tous temps, l’Eglise a eu le désir d’avoir la mainmise sur l’institution du mariage. Les décisions du Concile de Trente[2] réaffirmeront d’ailleurs cette tendance, qui, au fil du temps, a mené l’Eglise à faire du mariage un sacrement. Un peu plus de 50 ans après le Concile, Saint-François de Sales[3] donna avis et conseils sur ce sacrement dans son œuvre Introduction à la vie dévote. En partant des deux sources précitées

écrits de Thomas d'Aquin exprimaient adéquatement la doctrine de l'Église. À l'époque on distinguait encore mal la pensée de Thomas d'Aquin lui-même de l'école thomiste et des infléchissements notionnels dus à sa réception au cours du temps. Le concile Vatican II (décret Optatam Totius sur la formation des prêtres, no 16) propose l'interprétation authentique de l'enseignement des papes sur le sujet, plus précis et plus ouvert à la fois, en demandant que la formation théologique des prêtres se fasse

ou collectivement, en public ou en privé ». En outre, le principe est également affirmé dans les conventions et textes à caractère religieux. C’est ainsi que dans la Déclaration sur la liberté religieuse Dignitatis Humanae, promulguée par le Concile Vatican II le 7 décembre 1965, ce principe est consacré : « La personne humaine a droit a la liberté religieuse. Cette liberté consiste en ce que tous les hommes doivent être soustraits a toute contrainte de la part soit des individus, soit des groupes

1970 : fraternité saint pie X. → Mgr Lefebvre : « nous refusons par contre et avons toujours refusé de suivre la Rome de tendance néo-moderne et néo-protestante qui s'est manifestée clairement dans le concile Vatican II et après le concile dans toutes les réformes qui en sont issus. » Vatican II : pour lefebvre : «  réforme issue du libéralisme et du modernisme » → empoisonnée , hérésie. » Mgr Lefebvre : prône les valeurs de la foi ancestrale. Volonté de se séparer de l'église moderne : « sans

UNIVERSITÉ PONTIFICALE DU LATRAN Faculté de théologie Institut théologique de la communauté saint Martin Christian Cantale Qu’est-ce que la médiation des saints ? Un débat autour de Luther et du Concile de Trente. Dissertation pour l’obtention du baccalauréat canonique en théologie Relateur : professeur don François-Régis Moreaux Corrélateur : professeur don David Gilbert Année 2014-2015 RESUME Lors de ce travail, nous aborderons tout d’abord la question de la médiation des saints en recherchant

laissé un exemple qu’ils peuvent imiter, dont ils peuvent s’inspirer (cf. Ac 2, 42-47). Le discours sur la communion a fait du chemin depuis le Concile Vatican II. Avant le Concile, la notion de communion était comprise presque exclusivement comme réception d’un sacrement (la première communion) et comme Communion des Saints (l’article du credo). Grâce au Concile, la communion a commencé à reprendre les importantes significations contenues depuis toujours dans les Saintes Ecritures et connues par l’antique

Commission Biblique Pontificale et surtout par la Constitution Dogmatique Dei Verbum du Concile Vatican II (18 nov. 1965). La fécondité de cette attitude constructive s’est manifestée d’une manière indéniable. Les études bibliques ont pris un essor remarquable dans l’Église catholique et leur valeur scientifique a été reconnue de plus en plus dans le monde des savants et parmi les fidèles. Le dialogue œcuménique en a été considérablement facilité. L’influence de la Bible sur la théologie s’est approfondie

d’obsèques à l’église. Entre 1563 et 1969 le rituel du mariage est dicté par le Concile de Trente qui met au 1er plan la célébration religieuse de celui-ci en validant seulement les mariages qui se font en présence d’un curé compétant et de deux témoins, ce qui n’était pas le cas avant. Mais en 1950 les choses commencent à changer. L’unanimité dans ce domaine n’est plus de rigueur et cette pratique est en baisse. Le Concile Vatican II change alors le rituel du mariage en 1969. A présent la cérémonie comporte

à se mettre en route, à intégrer le texte à son propre cheminement, et ainsi à produire lui-même son propre commentaire. Ce commentaire a été élaboré en s'inspirant librement des efforts qui ont été menés, depuis le renouveau biblique et le concile Vatican II, pour faciliter la lecture de la Bible. Il faut mentionner ici spécialement la Biblia Sagrada. Ediçao Pastoral (Ediçoes Paulinas, S. Paulo, Brasil, 1990) dont les notes, dans leur structure comme dans leur esprit, ont souvent inspiré le présent

une doctrine inspirant toutes ses actions, il vaut peut-être mieux avoir recours aux idées de famille et à une tradition bi-millénaire d'inspiration et d'imprégnation chrétienne. Parti interclassiste, mais indépendant de l'Église, surtout depuis le Concile, elle correspond bien sociologiquement et idéologiquement à des aspirations anciennes et profondes d'une partie importante de la société italienne. Citer ce document / Cite this document : Lucet Charles. Existe-t-il une doctrine de la Démocratie