Identification Personnage Theatre

des Politiques de la représentation , Louis Marin propose une réflexion sur les enchevêtrements entre représentation politique et représentation théâtrale, dont les fonctionnements jumeaux permettent selon lui de voir au théâtre ce qui n’est pas donné à voir par la tête de l’Etat. En effet, la pratique du gouvernement au XVIIème siècle se définit selon lui par le secret d’Etat, l’action cachée qui doit obtenir le bien commun sans faire peser sur le peuple ignorant les moyens

ANALYSE STRUCTURALE: QUESTIONNER LE TEXTE ÉTUDE D’UNE SCÈNE DE THÉÂTRE IDENTIFICATION Molière, Les femmes savantes, 4e acte. CE QUE L’ON APPREND DES PAROLES DES PERSONNAGES... Type d’information Informations reformulées Références Sur eux-mêmes Scène 1 : 1. Philaminte semble être le chef de la maison 2. Philaminte écrit des vers 3. Armande est une manipulatrice 1. Vers 1125-1127 2. Vers 1137-1138 3. Vers 1131-1133 Scène 2 : 1. Armande et Clitandre ont été deux amants 2

Phèdre de Racine Objets d’étude : le théâtre, texte et représentation. I- Dans les quatre textes proposés, le récit théâtral a une fonction dramaturgique précise : il permet d’évoquer ce que les bienséances ou les contraintes du théâtre même empêchent de représenter directement sur la scène. Ainsi, Rodrigue évoque sa bataille contre les Maures dans un récit, car celle-ci ne saurait être représentée sur scène : les conventions du théâtre classique français interdisent le changement de lieu

rapport au thème, au sens littéral, aux émotions provoquées par cette lecture → Pourquoi ce texte est-il intéressant ? Etape 2 : Etablir la carte d'identité du texte (catégorie générale) 1- contexte littéraire et artistique 2- genre (récit, théâtre, poésie, texte argumentatif...) 3- formes de discours (narratif, descriptif, argumentatif, explicatif) 4- registre (comique, tragique, ironique...) Etape 3 : On questionne le texte de façon méthodique. observation de fait de langue et on essaie

elle sera écrite au passé. Démarches : -Le professeur lit la nouvelle à haute voix pendant que les élèves écoutent et sont invités à prendre des notes. -Le professeur interrompt sa lecture aux endroits importants du texte (nom des personnages, repères spatio-temporels, « nœud narratif ») -Explication du lexique : ( « Marmaille » : jeunes enfants en grand nombre ( « Empâter » : engraisser les volailles en les gavant de pâtée ( « Moutard » : mot familier

entoure et tout particulièrement sur les dangers qui le menacent ? Vous vous appuierez sur des exemples tirés du corpus et sur vos lectures personnelles. Dès leur plus jeune âge, les parents lisent des histoires à leurs enfants. Les personnages de ces histoires sont inventés, merveilleux et fictifs et ces instants que les parents consacrent à leur progéniture sont destinés, grâce à ces lectures, à forger leur vision du monde, de la vie et à les éveiller. Certes ce goût pour cette forme

réalise une épuration (catharsis) de ce genre d'émotions. » · On retrouve la même définition dans le Dictionnaire de l'Académie (1694) : « La tragédie est une pièce de théâtre qui représente une action grande et sérieuse entre des personnages illustres, et propres à exciter les grandes passions, comme la terreur et la compassion, et qui finit d'ordinaire par quelque événement funeste. » · Enfin, Racine, dans la préface de

emmagasine beaucoup plus d’informations que vous ne le croyez. Il faut donc faire « la chasse aux idées », c'est-à-dire celles qui vous permettront de traiter tout le sujet, et rien que le sujet. Prise de connaissance de ce qu’on nous demande. Identification des termes importants. Un sujet peut se présenter sous les formes suivantes : 1. Le sujet ne comporte pas de citation. a. Le sujet simple : un seul mot, une seule notion Là, il n'y a pas de citation, et pas non plus de libellé. C'est un type

secret, comme si ce secret était finalement plus grave que l’acte lui-même. Il faudra se demander si l’aveu permet de restaurer une forme d’ordre, si ce dire singulier permet de racheter le faire. Il s’agit aussi de dégager la situation des personnages impliqués dans l’aveu. Le locuteur est celui qui reconnaît la faute, qui accepte sa culpabilité. Le destinataire est celui que l’acte d’avouer place dans la position du juge. « avouer » doit donc se comprendre par rapport à une situation d’énonciation

l’incipit concernant les personnages, le temps, le lieu, l’action. En les esquivant (réponse évasive – « Du lieu le plus prochain », ou réponse à une question par une question – « Est-ce que l’on sait ou l’on va ? »), le narrateur refuse d’établir la situation d’énonciation. Sentiment renforcé par l’emploi du pronom personnel représentant « ils » qui ne renvoie au départ à aucun personnage connu. Le narrateur rompt le pacte de lecture et rend impossible toute identification aux héros. L’illusion