Ijmâ'

principes et le contenu dérivent du Coran, parole de Dieu révélée à son prophète Mohammed paix et salut sur lui, des actions, conduite et paroles du prophète (la Sunnah et les hadîths). Ces sources sont à leur tour développées par le 7 consensus (ijmâ) et la raison (Ijtihâd). Le droit musulman se conçoit comme un système de conduite dans le domaine rituel, social, économique et personnel. 1-1 Le Saint coran « Il s’agit des paroles d’Allah - Exalté soit-Il - révélées au Messager d’Allah - que

principes et le contenu dérivent du Coran, parole de Dieu révélée à son prophète Mohammed paix et salut sur lui, des actions, conduite et paroles du prophète (la Sunnah et les hadîths). Ces sources sont à leur tour développées par le 7 consensus (ijmâ) et la raison (Ijtihâd). Le droit musulman se conçoit comme un système de conduite dans le domaine rituel, social, économique et personnel. 1-1 Le Saint coran « Il s’agit des paroles d’Allah - Exalté soit-Il - révélées au Messager d’Allah -

sont apparues sous le règne des Abbasides. Elles ont pris les noms des imams qui les ont fondés à savoir : Abou Hanifa, Malek Ibn Anass, Ashafii et Ibn Hanbal. Elles adoptent, toutes, quatre fondements essentiels : le Coran, la Sunna, le consensus (Ijma’) et le raisonnement par analogie (qiyas) en plus d’autres fondements qui différent d’une école à l’autre. On observe des divergences dans l’interprétation du Coran au sein même du monde musulman, dues à la diversité des modèles d’évolution sociale

être assimilé à • Un être inculte – en raison souvent de son origine paysanne -, accordant peu ou pas d'importance à l'adoration de DIEU selon les règles de l'Islam orthodoxe inspirées du Coran, de la Tradition Prophétique et du Consensus des savants (Ijma) • Un être laborieux, crédule et intellectuellement limité, convaincu qu'il accédera au Paradis grâce à la soumission totale à son "marabout" par le biais des dons pieux ("adiya") et de son labeur, ce qui suffira, dans sa "conception obtuse", à le

en invoquant l'intérêt général (maslaha) de la communauté financière. Toutefois, il existe une hiérarchie des normes en droit islamique et la notion d'intérêt général cède le pas devant les règles issues de sources plus importantes (Coran, sunna, ijma) : le bénéfice apporté par ces produits pour la communauté ne peut compenser les risques de riba, gharar ou maisir. Si le droit tolère une faible dose de gharar; il proscrit rigoureusement le riba et le maisir. C'est là l'obstacle principal posé par

peuvent également analyser et interpréter les sources principales de la Charia dans un effort de réflexion ( ijtihad ). A cet effet, ils utilisent deux techniques que sont le raisonnement par analogie ( qiyas ) et le consensus sur un point de droit ( ijma ). Les juristes musulmans forment la doctrine islamique. Cette dernière est traversée par quatre grands courants de pensée dont l'appellation est empruntée à leur fondateur : -L'école Hanafite dominant l'Asie centrale. -L'école Hanbalite prépondérante

Subhî Hallâq. 2) Taysîr al-‘alâm charh ‘umdatu al-’ahkâm du Chaykh Abdullah al-Bassâm. 3) Ar-rawdatu an-nadya charh ad-durar al-bahya de l’éminent savant Sidîq Hasan Khân avec les annotations du Chaykh al-’Albânî, ou as-salsabîl al-Bulayhî. 4) Al-’Ijmâ‘ de Ibn al-Mundhir. Niveau 3 : 1) Tawdîh al-’ahkâm charh bulûgh al-marâm du Chaykh al-Bassâm, ou subul assalâm de as-San‘ânî. 2) Fiqh as-Sunna de Sayid Sâbiq accompagné de tamâm al-minna fi ta‘lîq ‘alâ fiqhi as-Sunna du Chaykh al-’Albânî. 8 3)

le Lun 11 Jan - 18:45 Le droit musulman a plusieurs sources, dont les sources fondamentales que sont le Coran et la sunna d'une part, et d'autre part les sources secondaires, fondées sur la raison humaine, qui comprennent le consensus des juristes (ijma), le raisonnement analogique (qiyas) et l'interprétation (ijtihad). La coutume ('urf) et la loi ne sont pas officiellement sources de loi, mais ont permis d'adapter le droit d'origine religieuse à la diversité des pays et des cas. l autorité et pouvoir

vomir volontairement, il se doit de le refaire. » * les menstrues et les lochies (écoulement sanguin post natal), et même si elles venaient à se manifester quelques minutes avant le coucher du soleil, car cette opinion est unanime chez les savants (Ijma’ el ‘Oulama). * le rapport charnel. Celui qui le commet alors qu’il est en état de jeûne devra s’acquitter de son expiation. D’après abou Houreïra (Qu’Allah l’agrée) : «Un homme vint trouver le Prophète (swt) et lui dit : « Ô Messager d’Allah

ou sultans. Diwan-recuille admiinistratif, registre fiscal et militaire. Kharaj- st un impôt foncier sur la terre, initialement levé sur les terres que les dhimmis possédaient. Cet impôt n'était basé ni sur le Coran, ni sur un hadith, mais sur l' ijma, consensus des théologiens-juristes spécialistes de droit musulman. Progressivement le mot acquis la signification générale d'impôt. près les premières conquêtes islamiques au VIIe siècle, le kharâj désignait généralement un impôt forfaitaire levé