Il n'y a pas d'amour heureux

LA RENCONTRE, Madame de la Fayette (1678) Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec Monsieur de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait, et à qui on faisait place. Madame de Clèves acheva de danser et, pendant qu'elle cherchait des yeux quelqu'un

67 Éduquer : un exercice difficile ? > Nos enfants sont-ils trop gâtés ? > Comment les aider à devenir des adultes heureux ? La famille, une aventure pour la vie D ans un monde complexe où les repères vacillent, il n’est pas toujours facile d’être parents. Du berceau à la crise d’adolescence, leur mission ressemble parfois à un parcours semé d’embûches… Heureusement, pour donner le meilleur à leurs enfants et garder confiance en eux, les parents peuvent fixer le cap sur quelques grands

Despiau-Pujo 1S5 Marie 10 poèmes d’amour et 10 poèmes de révoltes des XIXème et XXème siècles dont 4 poèmes antérieurs au XVI siècle Poèmes d’amour Alphonse ALLAIS, XIX siècle Complainte amoureuse Oui dès l'instant que je vous vis Beauté féroce, vous me plûtes De l'amour qu'en vos yeux je pris Sur-le-champ vous vous aperçûtes Ah

tu me disais que toi et moi c'était pour la vie. J'ai essayer d'oublier tout sa, en vain. Il y a toujours une odeur, une musique, un regard qui me fais penser à toi. J'essaie de faire semblant. Semblant de t'avoir oublier. D'avoir oublier tout nos souvenirs. Tout ces moments passer avec toi. Tout ces " Je t'aime ". Mais il y a toujours un manque. Un manque de toi.  Je lève mon POUCE à ma famille et à tous mes vrais amis !!! Je pointe mon INDEX vers le ciel pour les personnes qui m'ont quitté !

Paris → 24 novembre 1967, Neuilly-Sur-Seine. Barbara, née sous le nom de Monique Andrée Serf, est une chanteuse juive née en 1930. Elle a vécu avec sa famille, la période de la deuxième guerre mondiale. Cette époque où elle était en exil à Saint-Marcellin, lui est restée en mémoire, tout comme d’autres évènements marquants de son passé. Jeune, elle a subi l’inceste de son père. Elle l’a révélé pour la première fois dans ses mémoires inachevées « Il était un piano noir… ». « J’ai de plus

second de 1836).Il semblerait que Gautier se soit inspiré d'un personnage réel: une cantatrice du XVII siècle en révolte contre la morale de son temps, qui, vêtue en cavalier, maniait les armes et se battait en duel. Un article de L'Artiste, que Gautier a certainement lu, lui fut consacré en 1831. Toutefois, Gautier n'a gardé de ce mythe Maupin que l'idée du déguisement et sa vie aventureuse et libre. Mademoiselle de Maupin tient une place importante parmi les œuvres romantiques de l'époque. Sa célèbre

Princesse de Clèves (1678) A la séparation… M. De Clèves est mort, de douleur et de dépit, se croyant, à tort, trompé par son épouse. Mme de Clèves reçoit ici pour une dernière fois M. de Nemours qu’elle aime et dont elle est aimée. Elle exprime les raisons qui lui font refuser de l’épouser. Par vanité ou par goût, toutes les femmes souhaitent de vous attacher. Il y en a peu qui à qui vous ne plaisiez pas ; mon expérience me ferait croire qu’il n’y en a point à qui vous ne puissiez plaire

Fables, Le loup et l’agneau, Jean de La Fontaine, Livre I, 1668. |1 |La raison du plus fort est toujours la meilleure : | | |Nous l'allons montrer tout à l'heure. | | | |

même qu'un garçon qui nous fait subir les pires choses arrive miraculeusement à trouver grâce à nos yeux en nous disant qu'il nous aime, qu'il n'aime que nous, qu'il a besoin de nous ! Messieurs, je n'ai qu'une chose à vous dire. Nous les filles, nous sommes sensibles à ce que vous pensez être de la niaiserie. Dire "je t'aime", ce n'est pas un acte de faiblesse, c'est au contraire quelque chose qui vous rendra heureux et qui nous rendra heureuses. Alors pourquoi s'en priver ? -Faites le premier

analytiques (Les références des pages renvoient à l'édition folio-théâtre n°9) • • • • L.A n°1 (Acte I, scène 1) : l'exposition (de « On dit que votre futur » p35 à « Quel fantasque avec ces deux visages » p37) L.A. n°2 (Acte II, scène 9) : un duo amoureux entre Silvia et Dorante (de « Ah, ma chère Lisette » p86 à « Sans difficulté » p88) L.A. n°3 (Acte III, scène 6) : les aveux comiques de Lisette et Arlequin (de « Sachons de quoi il s'agit » p122 à « la coiffeuse de Madame » p125) L.A. n°4