Illusion Comique Baroque

met en scène les Mystères, c'est-à-dire les fêtes religieuses comme Noël, Pâques et l'Ascension; au contraire des genres littéraires précédents plutôt aristocratiques, il s'adresse au plus grand nombre. À côté de ce théâtre religieux, un théâtre comique appelé farce apparaît au XVe siècle où il est durement combattu par les autorités religieuses. Le Moyen Âge Pour les historiens, le Moyen Âge commence en 476 (date de la chute de l'Empire romain d'Occident) et s'achève en 1453 (date de la prise de

(Carise : elle guide, elle assume la fonction du langage). Ainsi, c'est Carise qui nomme les choses. Elle constate le développement rapide d'une conscience : lorsqu'elle nomme "ruisseau", Églé répète "ruisseau" dans la réplique suivante. La tonalité comique est remarquable : elle tient à l'ignorance d'Églé. Par exemple, le fait qu'Églé ne sache pas ce qu'est un ruisseau relève de l'hyperbole. La langue du cœur exprime les sensations, et c'est ce qui intéresse Marivaux. Il y a émerveillement devant le

doré, que ses cheveux soient gris ou bruns et qu’il porte des bijoux, on peut l’identifier comme un riche, un pauvre, un vieillard ou même un avare. Ils accentuent les traits de caractère des personnages, et installent parfois à eux seuls l’esprit comique ou tragique  de la pièce. Les costumes sont  très importants au théâtre. C’est au metteur en scène de les choisir, n’étant que peu décrits dans les écrits des dramaturges. Texte de Roland Barthes * D'une manière générale, le costume de théâtre

découvrez :   plus de 1200 analyses   claires et synthétiques   téléchargeables en 30 secondes   à imprimer chez soi Pierre Corneille Dramaturge français •  Né en 1606 à Rouen •  Décédé en 1684 à Paris •  Quelques-unes de ses œuvres : L’Illusion comique (1636), comédie Le Cid (1637), tragicomédie Cinna (1642), tragédie Le Cid Le Cid, entre succès et polémiques •  Genre : tragicomédie •  Édition de référence : Le Cid, in Œuvres complètes, tome 1, Paris, Gallimard, coll. « La Pléiade », 1980 •  1re

formes classiques étudiées en seconde, mais aussi sensibiliser les élèves à l’art de la mise en scène. Le chapitre du manuel, pp. 144-225 (ES/S et Techno), pp. 146-227 (L/ES/S) ➤ Le théâtre du XVIIe siècle : – Pierre Corneille, L’Illusion comique (1636) – Molière, L’Impromptu de Versailles (1663) – Jean Racine, Phèdre (1677) ➤ Le théâtre du XVIIIe siècle : – Alain-René Lesage, Turcaret (1708) – Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard (1730) ; Les Fausses confidences (1737) – Beaumarchais

ne pouvant mettre en accord sa franchise avec le scepticisme souriant de Philinte. Le Tartuffe (1664) : faux dévot, a obtenu la confiance d'Orgon et sa promesse d'épouser sa fille. Les Femmes savantes (1672) synthétisent les différents thèmes du comique moliéresque : analyse de la condition féminine, critique du pouvoir parental, prétention aux beaux usages et satire de la pédanterie. Parmi ses grandes pièces, seul l'Avare (1668) est fondé sur la déviance pathologique d'un personnage. Définitions

la fois détestables et touchants = une tragédie, celle de l'existence humaine Une pièce baroque au-delà de l'aspect classique par sa construction en 3 unités, pièce a un côté baroque, de par son foisonnement, ses incohérences et déséquilibres mélange des tons et des registres = farce (comique de geste, de répétition, situations grotesques et ridicules, mots scabreux) et humour noir le comique - de geste/situation 42-43 C sort, H n'aime pas ça C revient avec l'escabeau sans la lunette

1616 ; CORNEILLE, L’illusion comique, 1636). En réaction à la sensibilité baroque, le classicisme érige en valeurs la simplicité, l’équilibre, le respect des règles imitées de l’Antiquité. La tragédie (CORNEILLE, RACINE) se fixe des règles strictes ; MOLIÈRE critique les artifices des précieux au nom du naturel ; LA FONTAINE (Fables, 166893), BOILEAU (Art Poétique, 1674), LA BRUYÈRE (Les Caractères, 1688), s’inspirent d’auteurs grecs et latins. L’esthétique baroque (1580-1650) L’époque classique

aurait pour inconvénient de nous cloisonner à la première partie du XIX siècle alors que nous allons aborder le siècle entier. L’objectif du cours est d’avancer sur ces questions et de mener une réflexion à partir de l’étude de trois œuvres : « Illusions perdues » de Balzac (1839) « Le compagnon du Tour de France » de Sand (1841) « Madame Bovary » de Flaubert (1857) Ces auteurs sont intéressants pour l’activité réflexive qu’ils ont menée sur leurs œuvres romanesques. Ils ont travaillé à la conception

inanité du rêve, doublée de son caractère énigmatique a pu susciter deux attitudes qui se complètent. Ou bien il est un message divin volontairement chiffré, et on en perce le sens, on l’interprète, ou bien son mystère est préservé, il est opacité et illusion et il fait une métaphore de choix. Depuis l’Antiquité, on a tenté de sonder le mystère des rêves. Il était admis que les rêves annonçaient les événements à venir, comme le fameux songe de Pharaon (Genèse, XL-XLI). Ils avaient valeur de vérité,