Image De Sephora

ceux ciblés par l’entreprise. Dans un environnement concurrentiel il est indispensable de cibler les meilleurs distributeurs car ceux-ci peuvent véhiculer une image de marque en cohérence avec les produits de l’entreprise. Ainsi, par exemple, une maison de couture préfèrera pour la commercialisation de ses parfums un distributeur tel que Sephora car l’image de l’enseigne est haut de gamme. - Être innovant vu que la courbe de vie est courte. En effet, lorsque l’avant dernier tome sort, on remarque

tout est de savoir par quel autre conservateur est remplacé le paraben ?) au rachat par les industriels de la cosmétique conventionnelle de marques de cosmétiques bio déjà bien implantées L’Oréal et Sanoflore (L’Oréal avait commencé à s’acheter une image "verte" avec les magasins Body Shop) Clarins et Kibio (rachat de 10% du capital) Estee Lauder et la marque Ojon (marque d’Amérique du Nord de produits capillaires naturels haut de gamme) Yves Rocher et Terre d’oc (rachat de 35% du capital) L’Occitane

* Éléments tangibles : logo, couleurs, typographie, mais aussi la façon de faire de la publicité, son marchandising, ses magasins (boutiques à son nom ex : Mont blanc, Louis Vuitton) Valeurs tangibles : prix, * Éléments intangibles : image de marque, identité de marque, positionnement… Valeurs intangibles : qualités narratives, qualités associatives, qualités subjectives, qualités sensorielles. 2- Quelles sont les fonctions de la marque ? La marque simplifie le choix, la consommation

(seulement 1-2%* du marché total des cosmétiques), la grande majorité des marques premium ont une offre de e-commerce. Le site Internet de Nocibé est devenu cette année la premier magasin de l’enseigne. Avec 2,3 millions de visiteurs uniques par mois, Séphora est le site le plus visité devant les VPCistes (Yves Rocher, Club des Créateurs de Beauté). 31%* des Internautes achètent des produits cosmétiques en ligne. Encore jeune, ce marché va fortement augmenter si les sites s’adaptent aux demandes spécifiques

 notoriété  (Simply  Market,  Monciné,  Cultura)    Les  enseignes  «  phares  »  ne  sont  pas  toutes  présentes            (Séphora,  Zara,  Fnac,  André,  Habitat,  Go  Sport,  Monoprix…)    L’installaIon  d’une  image  un  peu  trop  haut  de  gamme  au  lancement                      a  pu  priver  le  centre  d’une  parIe

n'a pas pris qu'elle a géré de façon son produit-phare tout en opportun dans le train de la distribution. chaque produit, chaque famille parfaitement aux valeurs de la Naturel, Douceur, et capitalise Résultat : une position dominante marchés et une image en béton. n’est plus seulement une marque de années, un label reconnu dans le Le secteur du maquillage est en pleine évolution et croissance et les femmes sont de plus en plus à la recherche de produits innovants, techniques et pratiques. La société

l’apparition de la concurrence (Richemont, Prada, Gucci Group) et ainsi une réconciliation du luxe traditionnel et moderne et aussi celle de l’offre et de la demande. Cette mondialisation a aussi eu pour caractéristiques une évolution de la distribution : Sephora, Marrionnaud…et le développement de la communication via le câble TV, et Internet. En 300 ans le luxe a connu une grande évolution, et ceci à travers la consommation quotidienne d’une élite et également les consommations ponctuelles du plus grand

naturelle dont les ingrédients et le cycle de vie respectent aussi bien notre santé que l'environnement. En 2006, l’utilisation du mot bio est devenue strictement réservée au produit d’origine biologique car certaines marques profitaient de cette image naturelle dans un but marketing. On a vu apparaitre la création du marché de la cosmétique bio, contrôlé par différents labels garantissant leurs origines. Cette évolution des mentalités et des attentes marqua le point de départ pour de nombreux

varient pas énormément, étant donné que l’on se trouve sur du haut de gamme. Les différents acteurs ne se font pas concurrence par le prix. Le produit de luxe ne se compare qu’à lui même. C’est la valeur perçue par la clientèle (savoir-faire, prestige, image) qui permetera une tarification, la question que se pose les marques est « quel prix les consommateurs sont ils prêt à payer ? ». An niveau organisationnel, le marché du luxe est très facilement analysable : les petites entreprises indépendantes

la qualité de leur image, mais aussi de mieux contrôler le marché et les prix. Le nombre de point de vente est donc restreint : parfumeurs- détaillants et les grands magasins possédant un rayon, où se vendent exclusivement les produits de la marque considérée. Dans les deux cas, un conseiller- vendeur est à la disposition des acheteurs. Ce mode de distribution repose sur un processus de sélection des points de vente qui sont : les chaines de parfumerie et de cosmétique (Sephora, Marrionaud, Beauty