Image Décrite

« pour la France » en 1918. Il fut le chantre de nombreux courant avant-gardiste tel que le cubisme et le surréalisme. Il crée lui-même l’expression « surréaliste », en 1917, pour désigner un art à venir, du futur. Par le mélange de la représentation imagée et du texte les poèmes de Calligrammes sont une nouvelle façon d’envisager l’espace poétique. C’est un poème figuratif mélangeant l’image et le texte. Ce poème fut écrit en 1917 ; il se souvient de son départ de Deauville pour la guerre. Dans un

Le poète est un homme qui prend son inspiration dans le monde qui l'entoure. Il peint parfois de façon très réaliste la vie dans sa crudité : Villon décrit dans la « Ballade des pendus » les pendus aux yeux « plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre ». Ronsard se peint lui-même à l'approche de la mort : « Je n'ai plus que les os... » ; il décrit la jeune Hélène devenue « bien vieille [...] au foyer accroupie ». Baudelaire peint « Une charogne ». Il puise parfois son inspiration dans une réalité

réalité. La première strophe est celle de l’imagination. Le poète décrit une perception imaginaire comme chacun de nous peut en avoir dans un rêve « Elle est debout sur mes paupières » (vers 1). L’anaphore de « Elle » (vers 1 à 5) montre la présence de la femme. Le premier vers signifie qu’Eluard au moment de s’endormir continue de voir la femme. C’est une image nette et cela est soutenu par les vers suivants ou le poète décrit les cheveux, sa forme, couleur des yeux. Vers 4 renforcie le thème de

peinture du Lorrain. Le texte de référence L’image décrit une situation biblique imaginaire. En effet, Le Ier livre des Rois X, 1 et 2 Chroniques IX, 1. mentionne que « La reine de Saba apprit la renommée de Salomon de par le Nom de Yahvé et vint éprouver celui-ci par des énigmes. », le second livre des paralipomènes de la bible chapitre IX parle, lui, de « très grandes richesses […] » qu’elle apporta avec elle, mais aucun texte ne décrit ni son arrivée ni son départ de Jérusalem. Le Lorrain

vie et l’inspiration sont ravagées par le temps. Au vers 12, Baudelaire évoque enfin le temps « le temps mange la vie » en des termes très brut. On voit bien qu’il traduit une souffrance impuissante « ô douleur » qui est suivie d’une constatation imagée qui définit l’attitude du temps : « obscur Ennemi », il est hostile, sournois ». De plus le temps est comparé a un monstre, à un vampire avec l’idée du sang. De plus on a le champ lexical de la destruction « manger, ronger ». Le passage du « je

Tout d’abord, je tenais à vous dire, que le choix de la fleur pour représenter la femme a été répété maintes fois par plusieurs poètes ; vous vous dites partisan de l’originalité, mais cette image – avec tout le respect que je vous dois – en manque. Votre personnification de la rose est certes joliment décrite mais ce n’est pas ce que je pourrais considérer comme une comparaison réellement flatteuse et méliorative. Or en utilisant « mignonne » afin de m’adresser ses paroles, c’est ce que vous espériez

d’indescriptible que des mots comme «  bonheur, félicité ou extase » ne sont pas assez fort pour décrire. Elle décrit ce qui lui arrive comme étant «  la vie à l’état pur ». De plus on peut voir que c’est un passage ou il n’y a que Nathalie Sarraute enfant qui parle, la voix ne trouve rien à redire sur ce souvenir, il fait vraiment partie de ses souvenirs «  parfaits ». Cependant cette image idéale du père qui seul lui apporte ce qu’elle connaît de plus beau est entaché par d’autres passages, comme

conjonction « mais » (v. 7) annonce que quelque chose, par rapport au vers précédents, va rompre. L’auteur donne les causes de cette mort, elle est « battue » (v.7). Ce terme renvoie très certainement à la violence, et par extension à la mort qui est décrite dans un ton triste (voir v.8 : coupures 3-3-6, lecture plus lente). Donc dans les vers 7 et 8 le ton change totalement : il est plus lugubre et plus profond. Mais cette description de la rose et sa mort, n’est qu’une métaphore d’une personne, Marie

deuxième temps, nous aborderons le sujet de la médiocrité humaine et enfin dans un troisième temps, nous nous intéresserons à la symbolique de la condition du Poète. I L’idéal Recopiez II La médiocrité humain Dans ce poème, Baudelaire décrit la brutalité des marins à l’égard des albatros, ils représentent le commun des mortels qui « se rit » de l’artiste. Cette cruauté est accentuée au cours des vers deux et trois qui expriment deux actions simultanées mais inversées dans le poème. D’abord

personnification de l'Océan pour parler de cet amas de victimes qui jonchent les fleuves, rivières et mers comme on le voit clairement dans la représentation qu'en fait le peintre François Dubois. Le poète esquisse dans les vers précédents notre passage une image de l'Océan dans la figure du dormeur, il est « tranquille et sommeillant » (v.1447). Troublé dans son sommeil par un songe dans lequel les échos du vent « voulaient à son désu ordonner la tourmente » (v.1466), l'Océan se réveille. LECTURE Cette reprise