Immanence Et Transcendance

dangereuses », Paris, Gallimard, 2006, coll Folio classique. Jaus HR, « Pour une esthétique de la réception », Paris, Gallimard, 1978, coll Tel. Barthes R, « L’empire des signes », France, Seuil, 2005, coll Point. Genette G, « L’œuvre de l’art : Immanenc et transcendance », Paris, Seuil, 1994, coll Poetique. Paresys I, « Paraître et apparences en Europe Occidentale du moyen âge à nos jours », Villeneuve d’Ascq, Presse Universitaire Septentrion, coll Histoire et civilisation. Films :     ‐ ‐ ‐ « La

l'agnostique ne prend pas parti. Le fidèle : il est confiant en l'existence de dieu= fides en latin: la confiance, la foi. Le panthéisme= croire que dieu est partout, dieu est la nature. Il réside dans les etres c'est un dieu immanent (Spinoza) Immanence/ transcendance. Ce qui est à l'intérieur du monde et des êtres/ ce qui s'élève au dessus du monde. Tous les peuples ont des religions. L'attitude religieuse semble commune à tous les hommes mais les religions sont tres diverses, face à tant de formes

sans présupposé, sans jugement, ce qui nous permet d’explorer avec lui le champ de l’expérience partagée. Nous pouvons alors développer son intentionnalité pour le conduire à différencier, sans séparer, le sujet de l’objet, l’immanence de la transcendance. C’est une démarche active qui met en place la liberté d’être et d’agir, qui construit le champ de la pensée par l’expérience corporelle. L’enfant acquiert ainsi une véritable connaissance qui se déploie dans le temps et dans l’espace. Il met

notre compréhension, elle relève tout d'abord du sensible. Les philosophes disent que l'œuvre d'art est une perception, elle se révèle dans son immanence, son immédiateté et sa transcendance, son deuxième degré, son sens caché. Dans son immanence, il ne s'agit plus de la juger, de l'évaluer mais il s'agit de la sentir et de l'éprouver, c'est la transcendance. L'œuvre d'art est un milieu, comme dirait Hegel, il faut la penser telle, qu'elle s'inscrive dans une pensée. Elle est entre le sensible et

Entre Bien marchand pur / bien non marchand pur 3-2 Ambivalence « Public Government »/ »Théorie de l’État » 2 idéal-types “Théorie de l'État“ ß ß ß ß orientation sociétale transcendance idéal républicain culture de l'intervention politico-administrative “Public Government“ • • • • orientation économique immanence idéal démocratique culture de l'arbitrage —> notion de gouvernance Deux conceptions du bien public -> Jean Dabin (Encyclopædia Universalis, article "Droit") "C’est en toutes

et Horizontal comme la circonférence de l’Origine. De plus, si les sens des mots à majuscule sont universels c’est qu’il existe des expériences universelles. L’universalité des expériences implique soit l’Immanence avec un grand « I » soit la Transcendance avec un grand « T » de ces expériences. Les mots à majuscules sont donc porteurs d’une part : de sens Verticaux et Horizontaux qui forment l’essence de l’Origine, une lumière qui luit en l’homme sans pour autant que l’homme soit en capacité de

pratique) ou son expérience, sa connaissance, le force à ne pas le faire (inconnu chez l'animal !) → grâce à cette raison, l'homme réfléchi, se connaît et onstruit sa vision du monde comme il veut alors que l'animal le subit (immanence de l'animal par opposition à la transcendance de l'homme). L'animal est doué d'instinct, non d'intelligence l'homme cache une consience permettant de mettre en relation le monde extérieur avec sa propre réalité et de les réflechir, c'est l'intériorité qui ouvre

du Québec à Montréal 12 mai 2003 TABLE DES MATIÈRES I. Introduction II. La société et le corps II.1. Corps et communication p.3 p.5 p.5 II.2. Le corps et les sociétés II.2.A. Société transcendantale II.2.B. Société immanente II.2.C. Immanence et art corporel p.6 p.7 p.8 p.9 III. Le corps et la culture moderne III.1. La « Mort de Dieu » et la culture scientifique III.2. Révolutions technologiques p.10 p.10 p.12 IV. L’art et le corps IV.1. Les premiers pas : Fakir Musafar

qui ne fait pas partie d’un culte organisé, rite privé, secret, mystérieux et tendant à la limite vers le rite prohibé. La différence essentielle est que la magie agit à l’aide de forces immanentes à la nature, tandis que la religion suppose la transcendance du sacré. La magie s’appuie sur l’accomplissement d’un rituel précis qui lorsqu’il est bien appliqué sert à réaliser ce que l’on désire obtenir. Dans le cas de la religion, Dieu est l’intercesseur obligé de la réalisation du désir. La magie passe

autrui. Ouvrage principal de Levinas s’appelle « Totalité et infinie » Autrui va faire éclater la totalité de mon existence. C’est pour ça qu’il va ouvrir une dimension de transcendance dans l’existence humaine. Transcendance (supérieur et extérieur) >< Immanence Et Levinas accorde à autrui la transcendance qui traditionnellement qualifie le seul Dieu. Le visage va ouvrir une dimension d’universalité, à travers autrui c’est l’humanité entière qui me regarde car autrui est aussi en relation