Impératif catégorique

d’essence de l’homme qui précéderait et déterminerait son existence. L’homme se définit par les actions qu’il pose puisqu’il est libre de ses choix et doit donc les assumer. - 2 « impératifs catégoriques » de la morale de Kant à partir du postulat de la liberté de l’homme ? Les deux impératifs catégoriques sont le désintéressement et l’universalité. L’action désintéressée témoigne de ce propre de l’homme qu’est la liberté entendue comme faculté de s’affranchie de la logique des penchants

partir d'un libre dialogue entre des consciences. Une autre distinction est proposée par certains philosophes contemporains (Deleuze, Ricoeur, Comte Sponville, Giuliani, Misrahi...) pour définir : la morale comme ensemble de devoirs (impératifs catégoriques qui commandent de faire un Bien posé comme valeur absolue, par ex "tu ne tueras pas" et l'éthique comme réalisation raisonnable des désirs (tendance naturelle à chercher le bon comme valeur relative à chaque sujet en recherche de son bonheur

raison (Platon) Platon envisage le devoir dans sa dimension politique (chez les Grecs il n’y a pas de distinction entre la vie privée et la sphère publique comme dans les sociétés modernes : la vie « privée » est étroitement assujettie aux impératifs de la société). Pour comprendre la « morale » de Platon il suffit donc de revenir à son idéal politique : la Cité idéale, ordonnée suivant la raison, donc soumise au philosophe roi, sorte de dictateur éclairé. La justice et le devoir consistent

Rousseau se rapproche de la vision de Kant selon laquelle la conscience morale est absolue. En effet, Kant énonce le concept d’impératif catégorique « Agis uniquement d’après la maxime grâce à laquelle tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne une loi universelle ». Il différencie alors cet impératif, unique et moral par définition, des impératifs hypothétiques liés à un but poursuivi (Pour réussir X, il faut accomplir Y). 1 A l’inverse, la conscience morale dite relative est notamment

parvenir à un but. Kant parle quant à lui d’impératif hypothétique. Par exemple du fait que certains conduisent sans permis alors que selon la loi nous devons se le procurer. Ensuite le droit naturel correspond à l’ensemble des impératifs catégoriques : la morale. Par exemple, selon la loi nous n’avons pas le droit de « voler » quelques soit l’objet mais certains se permettent de le faire car ils n’ont aucune morale.

de l’obligation. « Que dois-je faire » est la question cruciale de l’éthique. Elle prend sa source dans la raison. L’acte moral véritable est un impératif, un commandement, une détermination. C’est, dit Kant, un « impératif catégorique », c’est-à-dire « une volonté conforme à la raison ». La conscience morale s’impose sous la forme d’un impératif du devoir qui prend la forme d’une loi morale. Le jugement moral véritable est un choix rationnel. Je connais la finalité de mon action dont je suis

Joséphine. Il ne peut pas sauver les deux sauver la mère elle vous en fera un deuxième (problème régulateur) . Problème moraux entre 2 problème qui s'oppose, (mort). Impératifs catégoriques ce qui est demandé par l'éthique on ne peut pas allé contre, opposition entre les lois et les règles. Les lois pour Kant = impératifs catégoriques: porté universel, les cycles de la nature (modèle du bien), «  agit toujours de telle manière que la maxime de ton action (la phrase que je dirai) puisse être érigé

manifestations de liberté IX. Conception du bien et du mal – Morale universelle A. Formelle 1. Valable pour tous 2. Liée à aucune situation particulière 3. Toute époque, tout temps 4. Dit comment réagir face aux situations B. Impératif catégorique 1. Ordre – Obéissance indispensable 2. Pas de profit personnel àpd autres ou de soi-même 3. Ethique du devoir 4. Ethique de bonne volonté C. Opposition à Hume 1. « Ce qui est » différent de « ce qui doit être » 2. Raison et expérience

intérêt personnel. Dès lors, sa complexité de mise en œuvre résulte du fait qu’il est intangible par la raison. Hans Jonas propose alors de se tourner vers la religion pour expliquer cet impératif hermétique que l’on perçoit comme un axiome sans justification. Il s’agit alors de juxtaposer cet impératif catégorique à la morale religieuse pour lui donner du sens et le faire accepter dans notre civilisation.

un être fini, car il ne crée pas lui-même les choses extérieures qui l’affectent, il pourrait à tout moment être détourné de la loi morale par ses inclinations. C’est pourquoi cette loi doit se présenter à lui comme une exigence, comme un impératif catégorique. La loi morale a pour Kant une valeur absolue c’est-à-dire que, à l’instar de Rousseau, il conçoit la conscience morale comme universelle, indépendante des variations des conditions de vie, du développement culturel, etc. Citons pour finir