Imperium

(534-509) I) les 1ers rois des figures symboliques a) Romulus roi fondateur et guerrier Romulus est le 1er imperator (détenteur de l’impérium : le pouvoir supérieur à Rome, pouvoir de commandement civile et militaire). C’est Jupiter qui délègue cet impérium au roi. L’histoire de la cité commence avec fratricide, et sous le règne de Romulus il y a beaucoup d’épisodes militaires, un qui est très connu est l’enlèvement des Sabines : les habitants de Rome sont surtout des hommes, et pour que la population

un auteur chrétien, que ce mot prendra une autre étymologie : « religere » = « relier, rassembler » ; initialement la religio est une « affaire d’Etat » qui permet de spécifier ce qui relève, dans l’ « imperium » romain, du pouvoir sacré. - Du temps de la « res publica » (qui étendit son « imperium » tout autour de la Méditerranée dans la suite des empires hellénistiques), l’auctoritas (qui fondait la potestas) était recherchée dans le Panthéon des dieux romains dominé par le terrible Jupiter.

d’elle-même (sui generis). La construction intellectuelle procède de couches successives. La principale innovation de Rome est d’avoir su tirer de la pratique du pouvoir des notions abstraites (utilitas publica, res publica, poteste, auctoritas, imperium). Définir et étudier ces notions qui se sont maintenues. - « Res Publica » apparait avec la naissance de la république romaine, volonté de rupture du régime des étrusques (monarchie) = despotisme / république ; la république a fait passer l’état

in lingua promptum habere, amicitias inimicitiasque non ex re, sed ex commodo aestimare, magisque uultum quam ingenium bonum habere. Haec primo paulatim crescere, interdum uindicari; post ubi contagio quasi pestilentia inuasit, ciuitas immutata, imperium ex iustissimo atque optimo crudele intolerandumque factum. | Mais, lorsque la république se fut fortifiée par son activité et sa justice, qu'elle eut vaincu à la guerre de grands rois, qu'elle eut soumis des peuplades barbares et des nations puissantes

au fur et à mesure que leur régime va évoluer, les romains vont donner de plus en plus de place à un acteur inconnu chez les grecs : le peuple. Sous l'empire, va se développer cette idée que l'empereur (qui gouverne avec un sénat) doit exercer son imperium dans l'intérêt du peuple (ensemble de la communauté politique). Cette idée s'affirme chez les romains jusqu'à considérer que l'idée de liberté se retrouve en retournant vers le peuple, en cherchant ce que veut le peuple. Il y a là une idée plus moderne

avait vaincu l’ennemi, augmenté le territoire et ramené l’armée à Rome, le triomphateur défilait avec la « toga picta », à la tête d’une procession, partant du champs de Mars, où les légionnaires déposaient leurs armes. Le général déposait son imperium, et c’est ainsi que celui ci pouvait franchir le pomoerium, puis prendre la « via sacra » pour aboutir au palatin et au temple de Jupiter sur le capitole, il faisait un sacrifice. Et, le cortège triomphale, était ouvert par les sénateurs, puis trompètes

cas de vol : partie coupable = débitrice => paiement pr créancier + possibilité recours a arbitre ( juge) pr évaluer préjudice + esclavageMagistrat a pvoir de coercition  ( hors loi des 12 tables) :Pvoir de contraindre par force / aspect de impérium Impérium : pouvoir absolu sur la vie des citoyens et droit de commander l'arméeCadre civil : distinction statut :Citoyen : pvoir coercition = limité + exception crime pôlEsclave / étranger => pas limitéMoyen défense citoyen vs coercition :

représentent le pouvoir exécutif. Leurs attributions sont aussi bien religieuses que politiques. Les pouvoirs politiques du magistrat sont : le pouvoir administratif (potestas), mais seuls les magistrats supérieurs possèdent le droit de vie ou de mort (imperium). Les pouvoirs religieux du magistrat sont: le droit d'auspices, mais si les magistrats supérieurs ont le jus auspiciorum majorum qui leur permet de prendre les auspices en tout lieu, les autres ne possèdent que le jus auspiciorum minorum qui est

entre l'État et son souverain : la théorie et la pratique voulaient à l'origine que le souverain et l'État ne fassent qu'un. Ainsi, tous les actes commis par le souverain étaient considérés comme commis par l'État. La maxime "par in parem non habet imperium" rappelait à cet égard que tous les États étaient égaux. En ce sens, l'idée même qu'un souverain puisse être soumis au système légal national d'un autre souverain était considérée comme un affront fait à ce principe d'égalité et à l'État étranger

peuple (majestas). Le Jus sacrorum : le droit de prendre les auspices et de revêtir les sacerdoces. Ce droit de prendre les auspices et de revêtir les sacerdoces, dit imperium, est celui de recevoir de Jupiter le pouvoir d’agir valablement en conformité avec l’accord des dieux, ce dernier étant exprimé par le vol des oiseaux. Cet impérium a un champ d’action très large tant sur le plan politique et judiciaire que militaire. Le Jus census : le droit de propriété Le Jus militae : le droit de s'incorporer