Implantation Gucci

qu’elle partage avec des grandes créatrices comme Isabelle Marant, Gabriella Corteze (Antik Batik) ou encore Anne Fontaine. Preuve que l’entreprise Darel a su résister à l’omniprésence médiatique des grands noms du luxe comme Prada, Dior ou encore Gucci et au rouleau compresseur commercial des Zara et H&M. «  Dans une profession, il y a en effet quelques belles réussites, mais le parcours de Gérard Darel est exemplaire à maints égards » confirme François-Marie Grau, secrétaire général de la

majorité des grandes marques -Les exclus NOUVEAUX ENTRANTS : les menaces sont faibles car il y a de nombreuses barrières à l’entrée -Barrière « culturel » -Barrière financière CONCURRENCE -Principalement des grands groupes : PPR (Gucci group), Richemont ; seul quelques indépendants règnent : Chanel, Hermes PRODUITS DE SUBSTITUTION -Différencier le luxe du haut de gamme -Contrefaçon ------------------------------------------------- IDENTIFICATION DES FCS L’entreprise

Vuitton au Japon a) b) Apport et menace de l’implantation au Japon Installé au Japon depuis 1978, Louis Vuitton connaît un énorme succès auprès des Japonais. 20 millions de Japonaises posséderaient un sac de la marque. Cependant cette implantation au Japon n’a pas été facile. Il faut savoir qu’en 1970, toutes les marques de luxe distribuaient leurs produits sous licences. C’est Louis Vuitton qui a décidé d’aller a l’encontre des habitudes en créant sa propre filiale japonaise dont le tenancier

sont l’illustration d’une forte tendance actuelle dans le secteur du prêt-à-porter de luxe et de la Haute couture. Il devient le socle d’une stratégie de déploiement de la marque, les maisons plus traditionnelles comme Yves Saint Laurent (racheté par Gucci, puis par PPR) et Pucci (racheté par LVMH) montrent que le prêt-à-porter de luxe est sous exploité alors que cette activité est en mesure de projeter elle aussi d’importantes retombées sur l’ensemble des activités de la marque. Il est nécessaire d’ajouter

peuvent assurer aujourd’hui, d’après la société suisse Pictet & Cie, 70 % de la croissance du secteur du luxe ? Tout a commencé en 1992, quand Cartier et Louis Vuitton décidèrent de se déployer en Chine, pour diversifier et multiplier leurs implantations. “A Shanghai, on fait de l’argent. C’est la matière première et dernière.” Cette phrase d’Albert Londres date de 1922 et n’a pourtant jamais été aussi vraie. L’empire du Milieu compte en effet aujourd’hui pas moins de 670 000 millionnaires et

de ces deux marchés permet une opportunité de croissance et une réussite potentielle extraordinaire. Louis Vuitton est de loin la marque de luxe préférée des consommateurs chinois, mais elle se trouve fortement challengé par des marques telles que Gucci, Chanel, Cartier, etc... Faire un smartphone Louis Vuitton est donc un pari très risqué pour plusieurs raisons différentes. Tout d’abord, il y a un nombre impressionnant de fabricants de smartphones en Chine, avec des marques comme Apple, Samsung,

Paris et en Région Parisienne dont le Printemps Haussmann, 17 dans les grandes villes de province et 1 à l'étranger (Printemps Ginza situé à Tokyo). Détenus entre 1992 et 2005 par le groupe Pinault-Printemps-Redoute, propriétaire entre autres de Gucci et de la Fnac, les magasins Printemps ont été cédés à la RREEF (la division de capital investissement immobilier de la Deutsche Bank) et au groupe familial de l’homme d’affaires italien Maurizio Borletti, propriétaire des grands magasins La Rinascente

et signent un contrat de trois ans renouvelables. L’emplacement doit être de premier choix : * Superficie : 100m2 de surface minimum, dont 7m2 consacrés exclusivement à la vitrine. * Zone de chalandise : 20000 habitants minimum. * Implantation : en centre ville, dans un centre commercial ou une zone d’activités commerciales. Adhérer à la franchise Afflelou représente un investissement considérable avec 50000 euros HT de droits d’entrée environs, 4,15% du chiffre d’affaires versé chaque

acquisitions qui se sont opérées à partir de la fin des années 80 jusqu’au début des années 2000. Ce mouvement n’est pas caractéristique du seul groupe LVMH, d’autres grands groupes concurrents comme Richemont ou plus récemment PPR avec l’acquisition de Gucci Group, ont procédé de la même manière en ayant recours à la croissance externe de manière à élargir toujours plus leur portefeuille de marques. Or tous ces groupes mondiaux du luxe ont dû faire face à une modification brutale de leur environnement

Eldorado du luxe A. La réussite spectaculaire du luxe au Japon… 1. Le Japon, paradis du luxe Le marché du luxe au Japon représente 18% des ventes mondiales, avec près de 1300 milliards de Yen. Le Japon absorbe à lui seul 20% des ventes mondiales de Gucci et d’Armani, 29% pour Hermès et Chanel, qui s’est même fait le luxe d’y doubler son chiffre d’affaires sur les trois dernières années. La palme d’or revenant à Louis Vuitton, véritable institution nationale, qui réalise au Japon 34% de ses ventes mondiales