Individualisme Mobilisation Et Action Collective

a deux significations : Il s’agit d’une entité organisationnelle. Le point qui est aussi essentiel est qu’il y a une action d’organiser. L’organisation entité se distingue en sous catégories qui sont une entité collective, une entité finalisée, une entité ouverte sur son environnement, une entité de division et de coordination et enfin une entité qui évolue. Entité Collective : C’est un ensemble d’individus nous pouvons nous poser la question de savoir ce qui lie ces individus entre eux et quelles

sortir du sens commun. Les concepts s’inscrivent dans des grands cadres de pensée, ils sont évolutifs, les recherches empiriques amènent l’évolution. Ce sont des paradigmes, des modèles qui vont permettre l’interprétation de données par la mobilisation d’outils théoriques. Ex : les travaux de Durkheim sur le holisme (paradigme) considère que le tout est supérieur à la somme de ses parties, société supérieur à la somme des individualités qui la compose. La société est un ensemble propre.

poser de questions sur la manière dont les intérêts individuels sont rendus compatibles. La mise en cohérence des intérêts privés ne relève pas, en effet, d'une harmonie spontanée et l'expression des intérêts privés peut contrecarrer les logiques collectives. La propension des agents à s'entendre et à s'organiser – bref, à se coordonner – est ici cruciale. 1.2. De l'importance des coordinations locales dans le développement 8 durable des territoires 9 10 Notre réflexion sur le développement

parties politiques, des élections électorales. On étudie les parties politiques, les marchés électoraux, les groupes d’intérêts, l’action collective, les syndicats, la mobilisation électorale, les élections et les électeurs. * L’analyse de l’action publique: (des politiques publiques), étude de ce que font les administrateurs et les élus. C’est l’ensemble des actions publiques mise en œuvre par les pouvoirs publics. * Les relations internationales: Elles sont une sous-discipline de la science

pérennité du processus de mondialisation /globalisation. Ils servent de variable d’ajustement au marché du travail, mais aussi des produits et des services. La prégnance des stratégies des firmes multinationales et l’incidence des nouvelles formes de mobilisation de la main-d’œuvre ont des conséquences fortes sur les conditions de travail, le volume de l’emploi et du chômage. Par ailleurs, elles participent à une marchandisation des activités sociales et des rapports humains. De plus, on assiste à une modification

siècle. Mais ces évènements ne le conduisent pas à se replier sur lui-même et, comme la plupart des hommes de son temps, il est décidé dès l’entre-deux-guerres à modifier l’ancien système inter-étatique pour mettre en place un système de sécurité collective assurant la sauvegarde du droit et la protection des individus. Comme le reflète si bien son cours de 1937, il n’a pas cherché pour autant à élaborer une construction dogmatique ou une véritable théorie du droit international. Il a réfléchi à la

structurent les décisions prises. Les agents agissent en fonction des critères sur lesquels ils sont jugés. Il faut donc comprendre les critères de jugement (explicites et implicites) qui pèsent sur les agents pour comprendre comment ils régissent leurs actions. Au-delà , comprendre sur quelles conventions de calcul / quels indicateurs ils reposent : comment sont-ils mesurés ? Des logiques différentes voire divergentes : le financier, l’industriel et le commerçant. Objectifs smarter : spécifique, mesurable

C'est ce retour par un travail "socio-historique" qui permet de comprendre la situation actuelle, ( de la vulnérabilité ultérieure : le manque de couverture sociale. Notions clefs qui gardent entières leur signification : Déconversion sociale, Individualisme négatif, Invalidation sociale, Désaffiliation, Vulnérabilité de masse, Handicapologie (p16). Théorie des "zones de cohésion sociale": (p17-20) ("servant à mesurer la cohésion d'un ensemble social à un moment donnée" ; 3 Zones : 1. Zone d'intégration

l'adhésion aux valeurs, par un auto questionnement permanent des membres" (Pichault et Nizet, 2000, p 149). Le développement des compétences de travail au sens anglo-saxon d'aptitudes et d'habiletés n'est là que pour renforcer l'efficacité de ses actions. Nous pouvons représenter les pratiques de GRH du modèle valoriel en distinguant ses activités légitimes c'est-à-dire utiles à l'organisation, de celles marginales, dont la pertinence peut être discutée. Pour plus de clarté, nous soulignerons

« servitude volontaire ».  Nécessité de distinguer légalité/légalisation et légitimité/légitimation : exploitations et oppressions de toutes sortes / luttes d’émancipation. Ex : l’esclavage.  Un pouvoir peut être considéré comme légitime lorsque ses actions apparaissent conformes aux principes que le groupe sur lequel il s’exerce accepte et reconnait comme siens. Notion de « légitimité » : au nom de quoi acceptons-nous d’obéir ? Max WEBBER, Economie et société, 1921 (Plon, 1971) Typologie des