Individuelle Ou Collective Conscience Moral

Une Conscience Collective: une mémoire commune «  La conscience est la raison pratique représentant à l'homme son devoir. » Ainsi, Emmanuel KANT présente t-il dans La Métaphysique des mœurs sa définition de la conscience. La conscience, est la capacité qu'à l'homme de se réfléchir. Il s'agit donc de la mesure de la raison, d'une capacité de porter des jugements, de déterminer le Bien et le Mal, de comparer ce qui est et ce qui doit être. La conscience renvoie donc aux notions de valeur, de

laïc, il pense que la morale civique doit s'accorder à la morale religieuse pour faire des écoliers des être sociaux. Émile Durkheim a beaucoup été critiqué dont la réception de sa pensée qui est assez mitigée. -1- Bibliographie d’Émile Durkheim : De la division du travail social (sa thèse, 1893), Règles de la méthode sociologique (1894), Le Suicide, étude de sociologie (1897), Représentations individuelles et représentations collectives (1898), L'éducation morale (1903), Les formes élémentaires

comprendre ce déterminisme et surtout pour l’accepter. La commémoration a une dimension de rassemblement : les hommes maintiennent la conscience collective. Les cérémonies du souvenir sont l’hommage du présent au passé, à la mémoire de ceux qui ne sont pas morts pour rien. Par la mémoire, le passé continue à donner un sens au présent. Le passé appartient en propre à la conscience. La commémoration est une décision de la raison. Elle peut se penser à l’échelle des individus et des sociétés, par exemple, regarder

sagesse et son application : le but de cette quête est de trouver un bonheur intérieur qui ne dépende d’aucune circonstance extérieure, ce que les Grecs appelaient eudemonia (eudémonisme), ou « bonheur des philosophes ». LE SAGE, LE CITOYEN, L’HOMME MORAL. Les Grecs qui furent repris par les philosophes de la Renaissance puis du XVIIIe siècle admettaient que les hommes évoluent dans trois sphères complémentaires et interdépendantes. 1) le macrocosme. C’est le cercle métaphysique, le domaine

    Université  Aix-­‐Marseille  III                                                                         DESU  COACHING         Outils  et  pratiques           Michel  GIFFARD/Miche  l  MORAL  2007   Fiche  de  lecture   Année  2011   P r é s e n t é   p a r   S a b i n e   D u b o i s ,   N a t h a l i e   L a m o u r ,     M i r e i l l e   F l o c h   e t   M a r i e -­‐ G a b r i e l l e   D i   N u n z i o        SOMMAIRE         Introduction    

rien. Il est fort probable que certains d'entre eux, les abeilles, les fourmis, les termites, ont lutté des milliers de siècles pour aboutir à ces institutions gouvernementales, à cette répartition des fonctions, à cette limitation de la liberté individuelle que nous admirons aujourd'hui chez eux. Mais notre sentiment intime qu'en aucune de ces républiques d'animaux, en aucun des rôles respectifs départis à leurs sujets, nous ne nous estimerions heureux est un signe caractéristique de notre état

propre aux caractéristiques des faits sociaux ; tout d’abord son extériorité par rapport aux consciences individuelles et ensuite l’action coercitive qu’ils exercent ou sont susceptibles d’exercer sur ces mêmes consciences. En effet, il définit un fait social comme «  toute manière d’agir, de penser et de sentir qui présentent cette remarquable propriété qu’elles existent en dehors des consciences individuelles. » (p.62) ; il faut considéré que les faits sociaux sont extérieurs à l’individu. Durkheim

Signé a Rome en 1950 par les pays fond du conseil de l’Europe (aujourd’hui 47 états) France ratifie en 1960, 2 parties *Les droits garanties, (pas sociaux ni éco) attaché a la pers, (ex : lié a l’intégrité physique comme le droit a la vie), lib de conscience, d’opinion, de religion, d’expression *création d’un organe de contrôle (=cour euro des droits de l’H), a une procédure de saisine particulière. La Convention permet a n’importe quel particulier de saisir lui la cour euro des droits de l’h pour

exécution (d’une obligation), réparation, punition. (!) Il existe des règles qui ne sont pas contraignantes (ne sont pas assorties d’une sanction), par exemple : les règles supplétives s’opposent aux règles impératives. Supplétives de la volonté individuelle : la règle fixe un modèle qui ne s’applique qu’à défaut de choix différent de la part des individus. Pour donner plus de souplesse, dans le droit des contrats par exemple. Le contrat de mariage vise à déterminer les rapports financiers entre les

Autres Règles: L'homme en société est soumis 3 autres règles, que celle du droit. Règles morales, organise la société ( aide une personne qui va pas bien ….) Règles religieuses, organise la société ( travail pas certains jours de la semaine...) Règles de savoir-vivre, organise la société( laisse sa place assise a une personne âgé...) (Règles de droit, organise la société ) Une règle morale peut devenir une règles de droit, ou autre Chaque règle puisent dans les autres règles.