Individuelle Ou Collective Conscience Moral

et à régir leurs activités avec les particuliers. Il y a une différence de finalité, le droit public recherche la satisfaction de l’intérêt général et assure l’exercice de la puissance publique. Le droit privé assure la sauvegarde des intérêts individuels. Le droit public se subdivise en 3 matières : * Droit constitutionnel, rassemble les règles relatives à la forme de l'État, à la constitution du gouvernement et des pouvoirs publics et à la participation des citoyens à l'exercice de ces pouvoirs

Dans son ouvrage De la division du travail social écrit en 1893, Émile Durkheim, sociologue français, considéré comme le père fondateur de la sociologie français fait le constat suivant : les individus sont de plus en plus différenciés, les consciences individuelles s’autonomisent de façon croissante cependant le lien social est plus solidaire. De ce constat naît l’inquiétude suivante qui parcourt son œuvre : Comment, dans ce contexte de montée de l’individualisme, la cohésion sociale peut-elle être

distingue alors le sociologue du psychologue, de l'économiste ou de l'historien ? Comme l'historien, le sociologue peut se pencher sur le passé afin de saisir le présent. Comme le psychologue, le sociologue s'intéresse aux représentations individuelles et collectives. Comme l'économiste, le sociologue s'intéresse à la façon dont les individus et groupes échangent des biens et services matériels et symboliques. > Quel est alors le territoire du sociologue ? Il se construit au contact des autres disciplines

l’existence d’une société. Ainsi, il est donc important de retracer les rapports du droit avec les disciplines ci-dessous : Morale et Sociologie. Rapports avec la morale Plus exigeante que le droit, elle est individualiste et veut un certain dépassement de l’homme. Le droit régit le corps social mais pas la conscience. Il ne se soucie pas des envies ou sentiments de l’homme. Quant à la morale, en revanche, tend à rendre l’homme parfait. Pour montrer la différence entre eux, Goethe souligne : « Mieux vaut

collection d'individus peut-elle constituer une société? Comment ceux ci peuvent-ils réaliser cette condition de l'existence sociale qu'est un consensus? Durkheim constate, fin XIXème, que les individus sont de plus en plus différenciés, que les consciences individuelles s’autonomisent de façon croissante. Comment, dans ce contexte de montée de l’individualisme, la cohésion sociale peut-elle être préservée ? Distinction de 2 formes de solidarité: la solidarité ( lien social) dite mécanique = solidarité

tous les membres dont est composée la société, ce qui précède pourra être répété à propos de chacun d'eux. Voilà donc des manières d'agir, de penser et de sentir qui présentent cette remarquable propriété qu'elles existent en dehors des consciences individuelles. Non seulement ces types de conduite ou de pensée sont extérieurs à l'individu, mais ils sont doués d'une puissance impérative et coercitive en vertu de laquelle ils s'imposent à lui, qu'il le veuille ou non. Sans doute, quand je m'y conforme

trait de caractère, ect. La pensée étant tout d'abord une activité intellectuel propre à chaque individus. Elle est de ce fait, une activité individuel et solitaire. Malgré toutes ces différences d'une personne à une autre, la pensée peut-elle être collective? Dans un premier temps nous regarderons en quoi la pensée est-elle une activité intellectuel individuel et solitaire. Puis le besoin de la communauté pour que la pensée puisse exister. Pour finir nous allons voir que la penser est ce qui rassemble

1. La conscience collective chez Durkheim. La conscience collective est, pour Durkheim, l’ensemble des croyances et des sentiments communs à la moyenne des membres d’une société et formant un système qui a sa vie propre. Cette notion ne doit pas être confondue avec celle de conscience sociale qui englobe la conscience collective et les consciences spécifiques à chaque fonction sociale spécialisée. Il existe deux sortes de pensée sociale : * Une qui vient de la masse collective et y est

Durkheim, les faits sociaux peuvent être : 1 / structurels ou morphologiques, comme le nombre, la nature et la disposition des éléments dont est composé un groupe ou une société 2 / des pratiques institutionnalisées telles les règles juridiques, morales, économiques ou des croyances, religieuses notamment 3 / enfin des faits, “ les courants sociaux ”, qui ne sont pas institutionnalisés, c’est-à-dire qui ne présentent aucune forme cristallisée : il en est ainsi des comportements des foules ou des

droit et morale sont deux notions complémentaire qui interagisse ensemble. Le droit est l'ensemble des règles et des normes générales qui régissent les rapports entre les individus et définissent leurs droits et prérogatives ainsi que ce qui est obligatoire, autorisé ou interdit, et la morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle