Individuelle Ou Collective Conscience Moral

le fait moral et religieux et les méthodes pédagogiques. Selon lui, la sociologie, c’est l’étude des faits sociaux, il est d’ailleurs à l’origine de ce terme. Il en donne la définition suivante: «Les faits sociaux consistent en des manières d’agir, de penser et de sentir extérieur à l’individu et qui sont doués d’un pouvoir de coercition en vertu du quel ils s’imposent à lui». Cependant il est à l’origine de nombreux autres concept clés tels que l’anomie ou encore la conscience collective. Émile Durkheim

Les droits de la conscience morale : droit naturel contre le droit positif 1/ETAT ET DROIT Posséder un pouvoir, c’est avoir la possibilité d’agir, ne pas être empêcher dans son action. Cette possibilité d’agir peut être empêchée en raison de différents obstacle externes comme l’impuissance physique ou le manque de moyens. Le droit pose donc en effet des interdictions, si je les transgresse j’aurais des sanctions, or redoutant celle-ci je vais choisir de ne pas dépasser ces interdictions. Le

Le thème de la responsabilité se rattache souvent aux actes. Que ce soit d’un point de vu moral ou juridique un individu devra toujours répondre de ces actes. Cela signifie qu’il devra assumer être l’auteur de ses faits et gestes. Pourtant on ne juge pas tout les êtres humains responsables de leurs actes. Une certaine part de nous est visible par nos actes mais à qui dois-je la responsabilité de ses actes ? Au court de sa vie l’homme ne sera pas toujours responsable de lui-même par conséquent

Droit et Morale Comme la religion, la morale entretient avec le droit à la fois des rapports de divergence (§1) et de ressemblance (§2). §1 : Les dissimilitudes entre le droit et la morale Comparée au droit, la morale est plus exigeante, car elle attend de l’homme un dépassement. La morale tend à la perfection de la personne et à son épanouissement. Ouverte aux impératifs de la conscience, elle est individualiste et a pour socle les valeurs humaines, personnelles ou collectives. Quant

de sacrifier un individu afin de maximiser le bien-être général d’une population. Donc, le concept utilitariste viendrait s’opposer à la liberté individuelle, selon Ralws. Néanmoins, cela pourrait amener le système légal à ignorer la moralité de la société. Conséquemment, cette position privilégie la liberté individuelle et balaie la liberté collective. Cette idéologie démontre comment l’opposition entre la moralité et le droit rend cette question éthique très complexe, car ce sont deux concepts

Dissertation de droit SUJET : DROIT ET MORALE La morale est apparue avant le droit, et ce dernier c’en est inspiré pour instaurer une société ayant une constitution, des lois et des règles pour assurer la sécurité de cette société. Le droit vient du latin « directum » qui signifie ligne droite, au sens figuré, on peut supposer que le droit est une ligne de conduite. Cependant il n’est pas possible de donner une seule définition du droit, du fait qu’il y ait ambivalence. D’une part il s’agit d’un

extérieur à l'individu et qui sont doués d'un pouvoir de coercition (contrainte) en vertu duquel ils s'imposent à lui (l'individu) ». Autrement dit, un fait social est une contrainte hors de la conscience individuelle qui pousse les membres d'une société à se comporter selon des logiques collectives. Ce qui fait la personnalité d'un individu, c'est la société qui en a fourni les éléments. Normes sociales sont inculquées par entourage sociale (famille, etc...). Manières de nous sentir, de nous

intérieur et les dégâts que le combat, pour guérir de ses peurs, peuvent avoir sur l'esprit de l' Homme. Il parle de « guerre civile », « de poussée de l'ennemi »... La solution de Freud repose sur l'hypnose dans un premier temps: il va modifier la conscience des malades pour atteindre leur inconscient. Atteindre l'inconscient est absolument nécessaire car la peur que ses malades ont est refoulée par le conscient et cachée dans l'inconscient. Ainsi en pénétrant l' inconscient des malades, Freud pourrait

premier temps d’écarter la référence aux « lois de la nature », auxquelles nous n’« obéissons » pas (nous y sommes de fait soumis) ; et de distinguer entre les différents types de normes auxquelles nous pouvons obéir : règles coutumières, morale de la conscience, droit positif. La formulation du sujet, qui évoque « les lois » (et non pas « la loi », ni « les règles »), doit a priori restreindre le sujet à la question de l’obéissance au droit positif. Il faut alors veiller à ne pas confondre toutes

sociétés (ou agrégats humains) que sont la nation, commune, communauté, classe, tribu, caste, secte, groupe pro, corporation, foule... - De petite / grande taille, pérenne / éphémère, les groupes humains sont formés par une communauté de consciences agissantes, interagissantes. But : Analyser, comprendre et expliquer les faits qui se passent au sein des groupes et leur nature en tant que groupe (et non pas celle des individus qui la compose). Postulat : Les faits sociaux