Inegalité De Repartition Des Richesses

Chapitre 1 Mondialisation, interdépendances et inégalités Démarche Ce chapitre s’adresse aux élèves des sections L, ES et S, qui ont en commun l’étude du processus de mondialisation. Ce processus est étudié de façon synchronique et diachronique. L’approche est délibérément géographique, dans la mesure où, sans négliger les aspects économiques et sociologiques, c’est la dimension spatiale qui est mise en avant. L’analyse de l’espace mondial est complétée par le chapitre 2, qui confronte la logique

Fiche d’analyse : Les indicateurs de richesse : Aujourd’hui, notre seul indicateur de richesse est le Produit intérieur brut (PIB). Il oriente les politiques publiques. Mais la quête de PIB se fait souvent au détriment du bien-être. Depuis plus de 30 ans, des intellectuels réfléchissent à une meilleure prise en compte des richesses provenant du bénévolat, du travail familial et domestique, du temps libre, de nouveaux modes de production… L’an dernier, la Commission Stiglitz proposait une nouvelle

il se suffit à lui-même, et peut prendre "ses propres décisions". Pour les classiques et les néoclassiques, il est issu de la nature humaine de l'homo economicus, c'est-à-dire un individu rationnel et égoïste, comme le rappelle Adam Smith dans La richesse des nations, l'individu recherche selon Smith "seulement son intérêt personnel". De plus, le marché peut prendre en charge tous les types d'activités. En effet, la théorie néoclassique cherche à construire la société à partir d'individus qui ne sont

modes de vie sont généralement considérés comme positif. Ces conséquences sont cependant discuté d’une part le développement ne découle pas automatiquement de la croissance. D’autre part la croissance n’a pas que des conséquences positives. Les inégalités mondiales ne se sont pas réduites et la question de l’épuisement des ressources non renouvelable est aujourd’hui posée. I/Qu’est ce que la croissance : A/ Définition et mesure : a) Définition : La croissance est défini par l’accroissement du

des générations futures au niveau de l’éco-système. Amartya Sen -> les « capabilities » : il est essentiel de réduire les inégalités (et de prendre aux riches) tant que cette réduction va dans le sens d’une amélioration des « capabilités ». C’est seulement grâce à cela que la démocratie est favorable au développement : elle accentue la pression en faveur d’une répartition plus acceptable. 2. La mesure de développement (l’IDH) Indice | Mesure | Valeur minimale | Valeur maximale | Longévité

d’obstacles à la liberté des échanges tels que quotas et restrictions volontaires ou non, normes de santé ou de sécurité, ou encore subventions aux exportations. Capital : pour les économistes, de manière générale, stock de richesses permettant de produire d’autres richesses. Le capital technique est constitué de l’ensemble des biens de production (biens destinés à produire d’autres biens). Il se décompose en capital fixe pour tous les équipements utilisés pendant plus d’un an ( les machines, les

ce qui entraine quelques travaux de rénovation, ou de construction de nouvelles infrastructures qui feront augmenter le PIB, comme les hôpitaux, les aéroports, les routes, les ports … Toutes ses constructions ou rénovations ont un intérêt pour la richesse du pays, pour les hôpitaux la production de meilleurs traitements de santé, pour les routes une facilité de transport, et pour les ports et aéroport une augmentation des importations et des exportations. Toutes ses infrastructures sont créées pour

théorie du ruissellement. Si les riches gagnent bien, il faut moins les taxer, car leur richesse va ruisseler sur les pauvres, et améliorer la condition de tout le monde. Théorie partagée par Thatcher. 30% au plus. Aujourd’hui, on prélève 45% sur les plus riches, la tranche supérieure, avec le gouvernement d’aujourd’hui. Cas des Etats-Unis avec impôts et répartition richesses. TRAVAIL : Répartition richesse FR : Actuelle, pensée et idéale. Les « trois D » de la globalisation financière 3D :

II - Le développement économique 1 - La nature et le rythme du développement 2 - Les relations entre croissance et développement 3 - La mesure du développement : L'IDH et l'IPH La croissance économique caractérise l'augmentation durable de la richesse produite, ou l'accroissement de la production globale sur un territoire ou dans une économie nationale. Cette augmentation (qui peut être irrégulière et subir des fluctuations) est un phénomène quantitatif qui peut être mesurée en volume ou en valeur

La répartition de la richesse La création de richesse peut être appréhendée sous deux angles : microéconomique et macroéconomique. Ces deux approches prennent tout leur sens quand elles sont mises en relation. Au niveau des agents économiques (dimension microéconomique), la création de richesse représente la valeur ajoutée créée individuellement. Dans une perspective macroéconomique, il s'agit de s'intéresser à l'ensemble de ces valeurs ajoutées au niveau du pays. Aussi, le taux de croissance du