Informatisation Risque Secteur Bancaire

et détecter les erreurs, défaillances et fraudes Processus : analyser l’environnement de contrôle → évaluer les risques → implantation des activités de contrôle par la direction (mais tout le monde participe) Principes directeurs : Activités de contrôle doivent être liées aux objectifs de l’entreprise et servir à minimiser l’impact et les probabilités des risques (car les risques sont créés selon la nature des activités de l’entreprise (objectifs)) Doivent être menées à tous les niveaux de l’organisation

longtemps, certains secteurs de l’activité économique sont placés sous le contrôle d’organismes dotés de pouvoirs de prendre des mesures générales ou individuelles dans les domaines relevant de leur compétence, il a cependant fallut attendre la loi n°78-617 du 6 janvier pour qu’une première autorité, la Commission nationale informatique et libertés (CNIL), soit explicitement qualifiée par le législateur comme « autorité administrative indépendante ». Pourtant en matière bancaire, le système issu de

Les codeurs – personnes souvent âgées entre 20 et 25 ans, ayant une expérience de plus de cinq ans dans la communauté des hackers. Ils vendent des outils prêts à être utilisés par le cybercriminel, tels que des chevaux de Troie[2] ou des virus. Les risques qu’ils prennent sont assez limités car ils ne font que fournir les moyens permettant de commettre les attaques. La mafia – selon Guillaume Lovet, il ne fait nul doute que la mafia est impliquée, en partie du moins, dans ce nouveau type de

......................................................................................................4 I. Le Secteur Bancaire......................................................................................................5 A. L Industrie Financière ....................................................................................................5 B. Panorama du Secteur Bancaire .......................................................................................5 1. La Banque : un acteur

difficultés face au traitement des opérations du guichet Chapitre 3 :l’analyse des difficultés dans le traitement des opérations Chapitre4 : la contribution à l’amélioration du traitement des opérations Conclusion Avant-propos L’activité bancaire depuis 1985 date de son intronisation, constitue un élément importante dans la gérance de l’activité économique et du contrôle de la masse monetaire dans notre pays voire dans la sous région. La banque, dans le cadre de ses activités, met à la disposition

* Constituer un instrument pour l’application des principes comptables et par conséquent, rendre l’information comptable et financière plus pertinente en vue d’atteindre l’image fidèle ; * Contribuer à l’identification et la limitation des risques fiscaux à travers une meilleure application des règles fiscales ; * Contribuer à l’accélération de la production des états comptables ; * Déceler des défaillances au niveau d’autres services et fonctions de l’entreprise; * Faciliter l’intégration

leurs systèmes bancaires. Ces derniers sont considérés comme les canaux quasiuniques de drainage de l’épargne vers le système productif. En effet, l’intermédiation bancaire occupe une place primordiale au sein de ces systèmes. Les banques assurent l’allocation des ressources disponibles entre l’ensemble des secteurs productifs. Il paraît ainsi que l’efficience d’un système financier, basé sur le système bancaire, passe nécessairement par l’efficacité de l’intermédiation. Le système bancaire marocain n’échappe

occasionnelle précisément définie et non durable : C’est un contrat à terme précis d’une durée maximal de 18 mois, il n’y a pas de durée minimale possible. Il s’agit de tâche ne relevant pas de l’activité habituelle de l’entreprise. Exemples : informatisation d’un service, enquête téléphonique de satisfaction auprès de la clientèle… Il n’y a pas de recours possible, s’il y a eu un licenciement économique sur le poste dans les 6 mois précédents, sauf si le recours reste inférieur à 3 mois en un seul

salariale est donc totalement différent du précédent avant, la chute du mur. En 2010 on assiste à une incertitude due au libéralisme. Les économies cherchent à construire leur compétitivité. S’ajoutent des incertitudes liées aux variations bancaires. Aggravation du risque car les entreprises ont de plus en plus de mal à valoriser leurs actifs. Ce monde est marqué par des hiérarchies de plus en plus chahutées et bousculées : le monde devient multipolaire. La Chine : La Chine devient la première puissance

(private equity). Crifo et Forget (2013a) ont ainsi analysé ce secteur en France et ont mis en évidence une intégration rapide des enjeux ESG dans les fonds de capital-investissement conventionnels. Leurs résultats 73 empiriques montrent que l’ISR en capitalinvestissement est caractérisé par un engagement actionnarial, qu’il est stratégiquement déterminé par un besoin de nouveaux leviers de création de valeur, de meilleure gestion des risques et de différenciation pour lever des fonds. Ce bref panorama