Infraction Militaire

pénal : généralités Mis à jour le 10.11.2009 par La Documentation française • Principe • Porter plainte • Demander réparation du préjudice • Procédure simplifiée : la citation directe Principe Une personne victime d'une infraction ( contravention  , délit   ou crime  ) peut faire appel à la justice pour : • faire condamner l'auteur par l'application d'une sanction (amende, peine d'emprisonnement, ...) : il s'agit d'une action pénale, • obtenir la réparation de son

travers la sanction le droit pénal peut porter atteinte à la liberté. * le droit pénal exprime des valeurs reconnues comme essentielles par notre société, la répression pénale constituant la réponse apportée par la société a la commission d’une infraction, l’importance de la peine encourue témoigne ainsi de la gravité reconnue par notre société à certains comportements (exemple : le meurtre qui est puni d’au moins 30 ans). A travers ces incriminations le droit pénal va protéger les valeurs essentielles

général ». Art. 1 à 100. Le droit pénal spécial concerne les différentes infractions et comprend les règles qui déterminent leurs conditions particulières d’incrimination (notamment les éléments constitutifs, les circonstances aggravantes, les circonstances atténuantes, la tentative), ainsi que les peines qui leurs sont propres. Le droit pénal spécial est contenu dans le livre 2 di code pénal intitulé : « des infractions et de leur répressions en particulier » (art. 101ter ( 566). Le droit pénal

incrimination - peine « sont seuls punissables les faits constitutifs d’une infraction à la date où ils sont été commis » « peuvent seules être prononcées les peines légalement applicables à la même date » Cette non-rétroactivité est une garantie de la liberté individuelle, on dit « la loi doit avertir avant de frapper ». Si une loi nouvelle (LN) crée une incrimination ie nouvelle infraction, cette incrimination est inapplicable aux faits antérieurement commis parce que sous l’empire

réparation. Cette distinction entre réparation et peine s’est encore consolidée quand la répression est devenue l’affaire de l’Etat. A- L’autonomie des 2 responsabilités La responsabilité pénale, ne peut être mise en œuvre que s’il existe une infraction définit par la loi = principe de légalité. L’objet de cette responsabilité est la punition du coupable et sa mise en œuvre suppose l’intervention de l’autorité publique. Elle a pour objet de punir l’auteur des faits, de manière proportionnée aux

cherché à défendre leurs droits et liberté par ce biais. Aujourd’hui, on en retrouve des manifestations à travers le phénomène associatif. Un collectif agit dans son intérêt, or cet intérêt peut être un intérêt légitime ou non. La répression d’une infraction peut s’abattre sur l’auteur de celle-ci, mais également sur le groupe auquel il appartient. Il en va ainsi de la famille dans les sociétés claniques, ou encore des nationaux, des disciples d’une même religion ou encore des collègues de travail.

pénal : matière qui vient pour sanctionner les infractions, cad sanctionner les crimes/délits/contraventions. Les infractions sont majoritairement dans le Code pénal, mais certaines se situent dans d’autres textes/codes, par exemple les infractions en matière commerciale, de l’environnement etc… Le droit pénal est aussi la matière qui vise à analyser les mécanismes de la responsabilité pénale + définir les peines applicables quand une infraction est constituée. L’objet : c’est analyser les

ordres : l'autorité judiciaire, dans son pouvoir de qualification/requalification, ne peut en aucun cas englober par une qualification nouvelle des faits dont elle n'est pas saisie (« le juge ne doit pas modifier la prévention ») la qualification d'une infraction doit être déterminée au regard du « temps de l'action » : tout changement ultérieur de la situation est inopérant ; l'infraction est « cristallisée » dès lors que ces éléments constitutifs sont rassemblés → souci de sanctionner une volonté délictueuse

facultés de droit et ancien titulaire de la rubrique de Droit criminel à la Gazette du Palais Extradition. -  Caractère de l’institution. L’extradition est une procédure de caractère international, relative à des faits susceptibles de constituer une infraction pénale ou ayant déjà donné lieu à une condamnation pénale, par laquelle un « État requérant » demande à un « État requis » de lui livrer un l’individu, soit pour le juger, soit pour lui faire subir une peine. - Cf : Enlèvement d’un justiciable

cette procédure est de rendre applicable concrètement le droit pénal de fond, c’est-à-dire de punir les infractions qui sont commises. Elle va autoriser les atteintes les plus graves qu’un individu puisse subir, notamment la privation de liberté ou encore des investigations corporelles, des fouilles de domicile (…). I) La définition de la procédure pénale Le droit pénal définit des infractions, c’est-à-dire des actes qui sont prohibés par la loi pénale et qui sont sanctionnés d’une peine d’emprisonnement