Ingérence Humanitaire

devoir de ne pas intervenir dans les affaires intérieures de l'Etat au risque de violer sa souveraineté (principe reconnu par la Cour internationale de justice → affaire Nicaragua vs US en 1986). Mais on assiste en pratique à des ingérences (notamment à finalité humanitaire). Aspects relatifs au gouvernement : …k ces gouvernements souverains donnent la possibilité de participer aux relations internationales B. Souveraineté et droit international Ces deux principes sont compatibles : si

renforcées en novembre 2007 par l’adoption d’un embargo sur les importations de pierres précieuses, de bois, de métaux et de minerais en provenance de Birmanie ainsi qu’une interdiction des investissements dans ces secteurs. La coopération en matière humanitaire reste cependant autorisée. L’UE entretient une coopération non négligeable dans les domaines de l’éducation et de la santé. Son montant devrait s’élever à 32 millions d’euros pour la période 2007-2010 (14 M € consacrés à l’accès à l’éducation, 18

l’organisation internationale humanitaire. Intervention de l’OTAN fin mars 1999 : envoi de 30 000 hommes. Tournant car : on s’aperçoit que l’OTAN est intervenu dans un conflit interne à un Etat, or le droit international pose le principe de la non ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat. A priori, cette intervention se réalisait au mépris de ce droit international, au nom de principes supérieurs au droit international = faire respecter les droits de l’H, le droit humanitaire et la sécurité internationale

paix de Westphalie ou la naissance de l’Europe politique moderne publié en 2006, comme « une application à la guerre mondiale ». Effectivement ces conventions sont des traités internationaux fondamentaux dans le domaine du droit international humanitaire. Elles définissent des règles de protection des personnes en cas de conflit armé, notamment les soldats de certaines actions, les blessés et prisonniers de guerre, mais aussi les civils et leurs biens, elle impose officiellement les règles de Grotius

légitimité de l’intervention internationaleproblème du droit d’ingérence. Les Nations unies adoptent en 2005, le concept de « responsabilité de protéger ». critiques de certains États émergents, comme le Venezuela ou la Chine , qui y voient une forme ingérence et de remise en cause de leur souveraineté. De nombreux dictateurs restent fréquentables lorsqu’ils détiennent du pétrole. d) cohérence des doctrines et des stratégiesEn Somalie au début des années 1990 ou en Afghanistan

russe et la victoire bolchévique (1917) ; les conséquences sur les relations internationales de l’instauration d’un régime marxiste-léniniste ; le national-socialisme en Allemagne et la deuxième guerre mondiale ; les crimes nazis et la règle de non-ingérence dans les affaires intérieures des États ; le développement après-guerre des systèmes de protection internationale des droits de l’homme D. La reconstruction du monde la création de l’Organisation des Nations Unies ; le « rideau de fer » (Churchill

activités différentes 2 - Des ONG aux objectifs différents a) Les ONG de développement et les ONG vertes qui veulent «s’attaquer aux causes»: le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD) et Greenpeace. b) Les ONG humanitaires médicales et de droits de l’homme qui évitent la prise de parti : Médecins Sans Frontières (MSF), Médecins Du Monde (MDM), et Amnesty Internationale (AI). B- Des mouvements fondés sur des valeurs et des individus 1 - Les militants 2 - Relations

gouvernance d’entreprise, la nouvelle gestion publique, la bonne gouvernance, les systèmes socio-cybernétiques et les réseaux auto organisés. Dans le domaine politique, elle prend en compte l’arrivée de nouvelles problématiques transnationales (humanitaire, environnement, sécurité…) qui nécessitent l’interaction entre gouvernements, acteurs économiques, sociaux et politiques. En matière de théorie des relations internationales, pour penser la gouvernance politique, on peut noter les réflexions sur

sur l'État voisin. Si le concept de souveraineté westphalienne est récent, son origine, elle, est ancienne : à la suite de la guerre de Trente Ans, la paix de Westphalie en 1648 établit la notion de souveraineté territoriale comme doctrine de non-ingérence dans les affaires d'autres nations. En théorie, donc, en droit international, tous les États sont égaux et indépendants. Dans les faits, la souveraineté des États n'est pas absolue. Il ne suffit pas d'afficher des principes pour que cela garantisse

question des droits de l’Homme ............... 17 Cours 8 : La Realpolitik et la guerre ......................................................................................................... 21 Cours 9 : Le libéralisme et les interventions humanitaires ...................................................................... 28 Cours 10 : Le constructivisme et l’entrelacement des enjeux environnementaux dans la gouvernance globale ...37 Cours 11 : La théorie marxiste, le système de Bretton Woods