Ingérence Humanitaire

différent mais il y a des ajouts. Dans le titre 3, art 208 du traité sur le fonctionnement de l’UE et de l’art 21 du traité sur l’UE (qui mentionne les objectifs de la coopération). Selon l’art 21§2 […..] et les principes du droit international (>non ingérence, règlement pacifique des différends, égalité souveraine des Etats) […] de soutenir le DD sur le plan économique, social et environnemental. [...] vise à encourager l’intégration de tous les pays […] y compris la suppression progressive du commerce

sur l'État voisin. Si le concept de souveraineté westphalienne est récent, son origine, elle, est ancienne : à la suite de la guerre de Trente Ans, la paix de Westphalie en 1648 établit la notion de souveraineté territoriale comme doctrine de non-ingérence dans les affaires d'autres nations. En théorie, donc, en droit international, tous les États sont égaux et indépendants. Stephen Krasner sépare de la souveraineté westphalienne la souveraineté interdépendante, qu'il définit comme la capacité des

l’amitié traditionnelle entre la Chine et l’Afrique, et fournit d’une garantie importante à la coopération commerciale sino-africaine. La France est un pays développé et qui aide énormément l' Afrique d'un point de vue économique mais également humanitaire. Donc une coopération multilatéral entre-eux surtout dans l'un des domaines les plus riches d'Afrique c'est-à-dire l'agriculture ne peut que renforcer ce pays et le rendre davantage autonome. 2/ Analyse des avantages de l'aide sino-française

l’invasion de l’Irak. -Recours de certains états memebres en plus du régime de sanction à long terme il y a eu des mesures adoptées de manière unilatérale par certains états( mesures unilatérales autonomes) qui ont eu un crescendo : au départ humanitaire et qui se sont transformé le 11 septembre d’une volonté de transformation du régime irakien qui ne se soumettait pas aux résolutions du régime pré-cité. Zones d’exclusion aérienne par exemple(no fly zone) mises en place et couvrant le nord de l’Irak

missions. Leurs domaines d’action sont extrêmement variés, mais l’on peut dire que ces organisations ont généralement en commun la protection et le bien-être des individus. Certaines ONG (dont MSF) revendiquent ouvertement un droit d’ingérence humanitaire dans les affaires intérieures d’un Etat lorsque des atteintes à la vie des populations sont en jeu. Ainsi pour P. MOREAU DEFARGES deux principes s’opposent aujourd’hui dans l’ordre international :   celui de la souveraineté de l’Etat celui d’une

tradition politique » de l’Europe. La Convention charge donc les Etats d’assurer collectivement et solidairement les droits qu’elle enonce. C’est une rupture considerable avec la protection diplomatique traditionnelle et surtout avec la principe de non-ingérence dans les affaires interieures d’un pays tiers. En effet, la Convetion accorde de plein droit a chaque etat un droit de regard sur la politique pratiquee par les autres Etats contractants, en matiere de droit de l’Homme. C’est la seule Convention

territoire soviétique et cet avion a été pris en chasse et abattu. Cet avion a violé l’espace soviétique et de plus cette zone était interdite pour des raisons de sécurité. L’URSS aurait du exercer le droit d’intercepter mais en respectant les droits humanitaires. En 1984, l’assemblée de l’OACI a adopté un amendement « les états contractants reconnaissent que chaque état doit s’abstenir à l’emploi des armes contre les aéronefs civils en vol et en cas d’interception. En cas d’interception la sécurité des

c’est-à-dire les hypothèses dans lesquelles il est légal de recourir à la force armée dans les relations internationales, et non le jus in bello, c’est-à-dire les limites de la force armée dans les conflits, jus in bello désormais appelé droit humanitaire. Ce second aspect soulève un autre ensemble de problèmes et se situe sur un registre différent. À cet égard – dernière observation introductive –, on peut noter une tendance générale depuis quelques années, ou plus exactement une inversion de tendance

coordinateur du mouvement en octobre 1996 (soit un mois après le début de l’offensive), son aura et sa personnalité font de lui le « libérateur » parfait. A ce titre, il sera instrumentalisé par ses parrains ougando-rwandais qui pourront ainsi masquer leur ingérence directe dans le conflit derrière la nature « zairo-zairoise » du conflit.   le tandem rwando-ougandais Les dirigeants rwandais (M. Kagamé) et ougandais (M. Museveni) sont liés par une proximité ethnique (groupe Hima-Tutsi) et de lutte politico-militaire

dirigeants et respecté par la population. Autre point important : la souveraineté des Etats selon l’article 2 de la Charte des Nations Unies ; elle reconnaît non seulement une égalité souveraine entre tous les Etats mais aussi le principe de non-ingérence (soit de non-intervention de l’ONU dans le but de régler des conflits nationaux, sauf si l’Etat en question en fait expressément la demande). Il y a aussi certaines conditions pour qu’un nouvel Etat puisse être créé : soit il s’agit d’un territoire