Injustice : Les dieux sont parmi nous

d’Agamemnon : même s’il est immobilisé avec l’armée par les vents qui refusent de se lever, sa gloire présente et à venir est extraordinaire. Alors Agamemnon lui avoue ce que les dieux ont ordonné pour que le vent se lève : le sacrifice d’Iphigénie. Ce sont là les paroles de Calchas. Il a d’abord tenté de résister et de désobéir aux dieux puis, poussé par Ulysse, il s’est rendu. En empruntant l’écriture d’Achille, il a fait venir sa fille de Mycène. Achille était absent, occupé à une petite guerre. Cependant

jamais un signe, ou un miracle. Des hommes comme eux et non des anges leur ont été envoyés, pour mieux etre proches d'eux, cela n'a rien servi ( v7), combien de cités ont été anéanties pour infidélité, combien de peuples ont été foudroyés pour injustice, cela n'a pas pu les faire peur ( v6); qu'est ce qui peut leur faire peur? ce ne sera jamais un nouveau cataclisme, ni un aute déluge. Effectivement aucune autre catastrophe envoyée par ALLAH SWT pour avertir les hommes ne pourra changer leur comportemnt

personnels de l'auteur. Pourtant, Agrippa d'Aubigné se montre également critique envers ses prédécesseurs qui n'ont pas osé, à leur époque, dénoncer les injustices de leur société. Ainsi, il se montre comme le premier à dénoncer les tyrannies impériales et les menaces des persécuteurs de l'Église de son époque (v.80). Pour lutter contre ces injustices, d'Aubigné nous livre ses rêves d'adolescent exalté par la sagesse latine, ainsi que que le montrent les vers 1214 à 1218. Mais ces évènements historiques

contraient de payer un demi-dollar au nom d'une « loi contre le vagabondage ». Cela apparaît aux yeux de Tom comme un abus de pouvoir de la part du propriétaire à qui il demande : « L'adjoint du shérif ne serait pas vot' beau-frère par hasard ? ». Parmi les conséquences les plus visibles de cette justice pervertie, on trouve le malheur des hommes et le caractère inégalitaire des sociétés. Dans L'Orestie, et plus particulièrement dans Les Euménides, tant qu'Athéna n'aura pas rendu sa sentence, la malédiction

empestés vous fait chercher la mort ? Venez-vous de nos dieux affronter la colère ? Nul mortel n’ose ici mettre un pied téméraire : Ces climats sont remplis du céleste courroux ; Et la mort dévorante habite parmi nous. Thèbes, depuis longtemps aux horreurs consacrée, Du reste des vivants semble être séparée : Retournez… Philoctète. Ce séjour convient aux malheureux : Va, laisse-moi le soin de mes destins affreux, Et dis-moi si des dieux la colère inhumaine, En accablant ce peuple, a respecté

concepts humains tels que la guerre, les lois ou le royaume. Pour finir, La Fontaine varie les registres de langue dans sa fable. Par exemple, les termes « Palais », « Dame », Souterrains séjours », Dieux hospitaliers », « ce lui fut chose aisée », « Qu'il était allé faire à l'Aurore sa cour, parmi le thym et la rosée » et « paternel logis » traduisent un langage de registre soutenu puisqu’il utilise un vocabulaire rare et des figures de style recherchées faisant référence aux contes et aux apologues

remet à l’honneur durant l’apogée du classicisme en s’inspirant des Anciens Esope et Phèdre. Son premier recueil dédié au Dauphin et publié en 1668 est un succès. Derrière des intentions éducatives, il utilise souvent des animaux pour montrer les injustices de son temps. Il en a vécu une, celle de la lettre de cachet qui envoya son protecteur Fouquet en prison. Dans Les obsèques de la lionne, la fable 14 du livre VIII le fabuliste peint les mœurs hypocrites de la cour et relate la façon dont un

déterminée par la volonté des Dieux. Dans ce passage plus précisément, qui constitue la première journée de la partie sur le retour d'Ulysse, on assiste à un démonstration du caractère inéluctable de la fatalité. Cependant, cette question de la destinée fait débat chez de nombreux spécialistes et nous nous demanderons avec eux, dans ce commentaire, quelle est la part d'Ulysse dans l'accomplissement de sa destinée; est-elle entièrement soumise aux caprices des Dieux ou lui laisse-t-elle une marge

mais la subit en même temps. Il est en même temps coupable et innocent. Il est coupable par son hubris (démesure, en grec) qui l’incite à agir contre les dieux et à les provoquer malgré leurs sommations, provoquant ainsi leur vengeance et donc, sa perte. De plus, le héros est soumis à l'aveuglement d'Ate (erreur, en grec), il est le jouet des dieux, malgré sa perspicacité face à certains faits. Dans quelle mesure, peut-on alors considérer le personnage d’Hippolyte, comme héros tragique dans ces trois

pertinemment l'animal qui a le plus commis de pêchés. Entre les animaux qui ont tué nombre d'autres animaux voir humains et l'âne qui s'accuse d'avoir brouté de l'herbe, c'est cet âne qui sera punit et donné comme sacrifice. Cette Fable montre les injustices de la société où le plus faible est le souffre douleur des plus forts. Ceci amène donc à faire réfléchir les lecteurs sur l'injustice de sacrifier le plus faible des animaux. Préambule : a) récit mythologique :présence du récit au début