Instabilité Financière Et Risque Systémique

historique et multidimensionnel de la mondialisation......... 13 1. Le processus de mondialisation économique ................................... 14 2. Les volets non économiques................................................................ 20 3. Risques et opportunités ....................................................................... 26 Chapitre 2 Le commerce international et la nouvelle structure productive mondiale .........................................................................

Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Ecole Supérieur de Commerce GESTION DE LA TRESORERIE BANCAIRE : Identification et mesure des risques de liquidité et de prix Cas (BEA) Mémoire de fin d’étude en vue l’obtention d’une Licence en Sciences Commerciales et Financières Elaboré par : M. Abdelhalim Guerchouche (finance) M. Omar Ould Abed (finance) Période et lieu de stage: 02/03/2008 – 02/04/2008

La volatilité des prix des matières premièresAssociation d'économie financière La volatilité des prix des matières premières Author(s): Delphine LAUTIER and Yves SIMON Source: Revue d'économie financière, No. 74, LA VOLATILITÉ DES MARCHÉS FINANCIERS (2004), pp. 45-84 Published by: Association d'économie financière Stable URL: http://www.jstor.org/stable/42904098 Accessed: 28-06-2016 08:11 UTC Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available

monnaie fiduciaire on distingue les pièces et les billets, mais il faut distinguer de ce pt de vue la période de l’étalon or et la période postérieure à l’étalon or. Seules les pièces qui comportent un poids d’or bien défini sont un instrument sans risque. Les billets ne valent que par la confiance qu’on a de la possibilité de les convertir en or. La monnaie fiduciaire en billet repose sur autre chose que le support matériel (la confiance). Dans un système qui n’est pas étalon or, la distinction

important de noter que l’émergence du modèle productiviste ne résulte pas, en ces termes, des objectifs initiaux de la politique agricole commune. En réalité, ce sont les conditions de la mise en œuvre de la PAC (prix garantis pour pallier les instabilités du marché et assurer un niveau de vie équitable à la population agricole) qui ont conduit à l’adoption de stratégies communes de la part des exploitants. Ces derniers, en suivant une logique de maximisation de leur revenu, ont logiquement cherché

technologies d’information et de communication, mais le temps long de l’histoire et de la mondialisation montre qu’il y a toujours des zones d’autonomie, de nouvelles puissances qui se créent et s’imposent, de nouveaux centres qui se mettent en place au risque de reléguer les anciens au rang de périphéries. – Pendant deux siècles, le monde a été dominé par l’Europe puis par les USA auxquels s’est joint le Japon dans le cadre de la Triade, symbole des Trente Glorieuses. De la Belle Epoque aux années 1970

9 b- L'indispensable stabilisation 11 c- Des contraintes politiques et idéologiques 11 B . Les comportements économiques 12 a- La nécessaire adaptation à la gestion privée 12 b- L'aversion pour le risque 13 Section 2 - Un cadre institutionnel inadapté 14 I - NECESSITE D'UN SYSTEME FINANCIER DEVELOPPE 14 A . Une évolution insuffisante du système financier 15 a- Apparition d'un système bancaire à deux niveaux 15

internationale du travail se sont accélérés au cours des dernières années, ce qui se manifeste en grande partie par le « déplacement vers l’est » des pôles de la croissance mondiale, avec notamment l’émergence de la Chine comme deuxième économie du monde. Le risque pour le Maroc est de se retrouver « pris en tenaille » entre d’un côté les pays à faible revenu en croissance rapide, bénéficiant d’une maind’œuvre abondante et bon marché, et de l’autre les pays à moyen revenu plus larges, capables d’innover suffisamment

trade system. » BALDWIN R. (1997), « The Causes of Regionalism », The World Economy, Vol. 20, n°7, p. 865. « Le monde n’est plus le “dehors” de notre vie domestique : il a fait effraction dans le quotidien de nos vies, il y a introduit de nouveaux risques, de nouvelles formes de concurrence, de nouveaux defis, de nouvelles peurs. » LAMY P. (2004), La démocratie-monde. Pour une autre gouvernance globale, Paris, Seuil, p. 9. 3 Grands problèmes économiques – Yann Echinard – 2010/2011 PARTIE

la consommation des ménages. Théorie du cycle de vie de MODIGLIANI : anticipation des revenus, on rend à peu près égal sur toute la vie la consommation. Keynes et Knight distinguent risque et incertitude : pour lui il y a incertitude absolue= impossible calcul économique alors que pour libéraux il y a des risques mais qui n’empêchent pas le calcul. Limite : les banques ne prêtent pas à tout le monde, multiplicité de profil en fonction du patrimoine 2) L’homo économicus néoclassique