Instinct

personnel comme se nourrir, visant à se conserver en tant qu’individu. La deuxième, comme la reproduction, vise à se conserver en tant qu’espèce. Ces deux instincts ont pour but de lutter contre la mort ( individuelle ou de l’espèce ) ils sont présent chez tous les êtres vivants, c’est l’essence de la vie. Ces deux instincts sont présents chez tous les êtres vivants, même ceux qui ne sont pas doués de Logos ( parole/esprit ) ce sont donc des but inconscient, innés chez l’homme

motivations et les opérations mentales sont dictées par l’élément de « l’inconscient » que ce soit défini par les pulsions sexuelles pour Freud (le ça) ou par les différents instincts de la faim jusqu’au besoin de la culture pour Jung, ou même par le sentiment de l’infériorité pour Adler. Le sujet est assujetti à ses instincts il est donc involontaire, subordonné et dépendant.

seulement ce que Freud y a lui-même cherché, un lieu de conflits psychiques où s'affrontent les puissances du refoulement. L’inconscient est alors assimilé à une animalité primitive présente en l’homme, une sorte de nœud de vipères où se convulsent des instincts censuré. Les caricatures littéraires et cinématographiques renforcent cette image, en présentant l’homme comme divisé en une personnalité consciente et une personnalité inconsciente et elles contribuent à en renforcer la peur diffuse de ce monstre

désintéressé », on n'a jamais été bien « altruiste » ! On aurait remarqué, sans cela, que les vertus (comme l'application, l'obéissance, la chasteté, la piété, la justice) sont généralement nuisibles à celui qui les possède, parce que ce sont des instincts qui règnent en lui trop violemment, trop avidement, et ne veulent à aucun prix se laisser contrebalancer raisonnablement par les autres. Quand on possède une vertu, une vraie vertu, une vertu complète (non une petite tendance à l'avoir), on est victime

dansl’aboutissement de l’homme. C’est grâce à elle que l’homme a pu se démarquer des animaux en domptant la nature et non en vivant selon elle. C’est par la formation du langage et du dialogue conduisant à une vieen société que l’homme a pu échapper à son instinct naturel animal et devenir humain. La culture a ainsi permis l’élaboration des arts, des lettres, de modes de vie, de droits fondamentaux, desystèmes de valeur, de traditions et de religions. La culture sera donc un héritage que chaque homme recevra

deux types de conscience. La conscience animale existe, mais elle est limitée par les « habitudes de l’espèce », elle reste soumise à l’instinct. Elle n’est pas la conscience dans son sens plein. Alors que la conscience humaine est indépendante des instincts, est « synonyme d’invention et de liberté ». Plan problématisé : Dans une 1ère partie, de « radicale » à « liberté » (l 4), Bergson présente sa thèse et la justifie en définissant ce qu’est la conscience. Dans une 2ème partie, de « or » à « brise

l’étude précise de l’aristocratie française du XIXème siècle, notamment à travers le roman La duchesse de Langeais. Dans la scène qui nous est proposée au chapitre 3, très théâtrale à cause de l’omniprésence du dialogue et de la mise en scène des instincts et passions, Antoinette de Langeais et Arnaud de Montriveau livrent un duel amoureux qui révèle les ressorts de leur personnalité respective. Le général de l’armée bonapartiste désire en effet obtenir aux yeux de tous les faveurs de la Duchesse

that people cannot control him does it on purpose. Cf: a troll, small, aggressive, violent creature. Wants to return is the nature and to be alone. He marks his territory like a wild animal We can ask about Ben, is he a murderer or is it an animal instinct? *murderer: premeditates and think about his crime. Happy and proud of his acts *A. I: not really aware of the consequences of his behavior. When H tries to catch him, he move like a monster fish II- Harriet who is a desperate mother - He puts

liqueur, Et tout ce qu'un regard dans un regard peut lire, Et toutes les chansons de cette douce lyre Qu'on appelle le coeur ! Il n'est rien sous le ciel qui n'ait sa loi secrète, Son lieu cher et choisi, son abri, sa retraite, Où mille instincts profonds nous fixent nuit et jour ; Le pêcheur a la barque où l'espoir l'accompagne, Les cygnes ont le lac, les aigles la montagne, Les âmes ont l'amour ! Victor HUGO

fait. Cela paraît bien facile. L’homme est-il responsable de tout ce qu’il fait ? Il est vrai qu’en un sens, c’est une évidence. Si je fais quelque chose, j’en suis responsable. Sinon, ce n’est pas moi qui fais, mais la réalité extérieure ou mes instincts, ma nature, etc. Toutefois, je ne suis pas seul au monde et dans ce que je fais, il y a aussi d’autres causes que moi, de sorte que je ne suis peut-être pas responsable de tout ce que je fais. On peut donc se demander s’il est possible de penser