Instruire Les Hommes

différence entre l’activité créatrice de l’artiste et la technique de l’artisan. Pour la tradition gréco-romaine et certains philosophes et écrivains français du XVIIème siècle : L’art sert à enseigner et à instruire et de faire de nous des hommes bons moralement et politiquement (savoir-faire pour instruire). Art activité humaine :Ayant pour but de produire un certain type d’objets destinés à la contempla lien esthétique. C’est dans ce sens parle de Beaux-arts renvoyant à deux catégories d’activités :

des « bagatelles » certes, mais qui selon lui « renferment une morale utile ». C’est donc surtout parce qu’il joint l’utile à l’agréable que l’apologue paraît efficace à ces auteurs classiques, pour lesquels il est impensable de distraire sans instruire, et l’on peut se demander s’il ne serait pas, en effet, une des formes d’argumentation les plus efficaces qui soient, en raison de sa clarté, et de sa brièveté. Mais cela doit être nuancé : parce que la morale est cachée sous le récit, l’apologue

courtisans vis-à-vis du roi. Dans ce poème hétérométrique de 41 vers, les modifications de longueur des vers rythment et soulignent les étapes du récit. Ainsi, nous retrouvons dans cet apologue les deux fonctions principales de la fable : plaire et instruire. Tout d’abord, nous étudierons les procédés utilisés par l’auteur pour rendre ce récit vivant et plaisant, puis nous analyserons les personnages mis en scène. Enfin, nous nous intéresserons à l’enjeu de la fable et à la moralité que cherche à faire

Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n’a-t-il pas des limites ? I. L’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu’est-ce qu’un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que veut dire Nietzche quand il affirme que l’homme « souffre profondément » ? Que faut-il entendre par « sujet sérieux » ou « grave » ? Sans doute les sujets qui touchent à la condition humaine : la vie et la mort, l’ignorance de son destin. Cependant, à travers toutes les formes d’art, les hommes abordent

vit mais est-ce sa seule fonction, nous allons donc nous intéressé non seulement à cette fonction caractéristique du personnage mais aussi aux autres fonctions possibles de cet individu. Ne peut-il pas nous divertir et par la même occasion nous instruire ? Ou en encore nous transmettre des valeurs ? D’abord, le personnage permet de refléter la société dans laquelle il vit car pour commencer l’écrivain le plonge dans un cadre spatio-temporel spécifique qui renvoie a une société donnée comme par

leçons. Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons : Ce qu'ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes ; Je me sers d'animaux pour instruire les hommes. Il a dédicacé ses fables au Dauphin pour participer à son éducation en lui donnant des conseils en le mettant en garde par rapport à son futur statut de roi. Il a remplacé la plupart des hommes par des animaux pour éviter la censure car il évoque Louis XIV et ses courtisans. Et aussi le fait de raconter une histoire de manière imagée

pour héros des animaux, chargés alors de représenter des Hommes. On appelle l'auteur d'une fable un fabuliste. Au Moyen-Âge, de nombreux recueils de fable, appelés isopets, sont constitués. Les origines du genre : Esope (VII-VI siècle AC) Phèdre (auteur latin, -15/50 ap JC) La matière de la fable : Des récits vivants et variés : les récits sont brefs, les discours et les personnages sont présentés rapidement. Des personnages variés : des hommes, des animaux, des végétaux et des objets. Des descriptions

entretenues par les colonisateurs pour justifier leurs actes. Question rhétorique. Sécurité? = Rapport avec la vie d'avant sans colonisateurs, les noirs = voleurs, tueurs. Culture? = les noirs n'ont pas de cultures? Donc les colonisateurs visent à instruire. Juridisme? = rapport aux lois, les colonisateurs servent à mettre de l'ordre pour régler les problèmes de justice Phrase 3 : "En attendant" = il semble qu'à ces 3 questions il n'y est pas de réponse ni d'actes. Les colonisateurs ont mentis. Enonciation

Fables correspond aux livres I à VI des éditions actuelles. Il a été publié en 1668 et était dédié au Dauphin, c’est à dire le fils de Louis XIV. Ici, La Fontaine insiste sur la fonction éducative de son travail : « je me sers d'animaux pour instruire les hommes. » Le deuxième recueil correspond aux livres VII à XI des éditions modernes. Il est publié en 1678 et 1679, en deux volumes, et était dédié à Madame de Montespan, la maîtresse du roi. Le dernier recueil correspond au livre XII actuel. Il est

vit mais est-ce sa seule fonction, nous allons donc nous intéressé non seulement à cette fonction caractéristique du personnage mais aussi aux autres fonctions possibles de cet individu. Ne peut-il pas nous divertir et par la même occasion nous instruire ? Ou en encore nous transmettre des valeurs ? D’abord, le personnage permet de refléter la société dans laquelle il vit car pour commencer l’écrivain le plonge dans un cadre spatio-temporel spécifique qui renvoie a une société donnée comme par