Instruire Les Hommes

pureté morale mais qui a des mœurs légères. Ils se moquent de l’hypocrisie et de la fausse dévotion. Toutes les pièces de théâtre de Molière relèvent du comique de caractère : l’avare, le misanthrope, * Les fonctions du rire : Divertir et instruire en usant de détour grâce à un récit alerte Petites comédies en plusieurs actes. Satire d’une justice inique, arbitraire puisque l’âne n’a pas d’avocat il a commis juste un délit et est condamné à mort!!!!! Selon que l’on appartient à l’aristocratie

mesure les avantages de la littérature engagée et donne des exemples. Puis, on fera la même avec la littérature ‘non-engagée’. Dans la dernière partie, on essaiera de trouver un bilan entre les deux.   A travers l’histoire, les hommes de lettres ont très souvent pris part dans les grands débats de leur époque. Autrement dit, ils sont des gens souvent commis à l’amélioration de la société. La religion, les questions sociales (comme le colonialisme et l’esclavage), les valeurs humanitaires

avant J-C, adaptent les auteurs grecs du IVème siècle comme Ménandre pour inventer une comédie qui met en scène un esclave fourbe, un père avare, avec un proxénète cupide, un soldat fanfaron. Comme chez les Grecs, tous les rôles sont joués par des hommes affublés de masques grotesques et d’accessoires ridicules. Le théâtre de foire Au Moyen-âge se développe le théâtre de foire, en mettant en scène des farces sur de simples tréteaux, installés sur des champs de foire ou sur le pont neuf à Paris

définir la notion de connaissance et s’intéresser aux productions de l’expérience. Mais, on ne pourra s’arrêter là sans analyser entièrement la notion d’expérience, notamment à travers l’expérimentation. L’expression, le verbe « instruire » demande à être défini. Instruire, c’est avant tout accéder à la connaissance, c’est le fait de mettre en possession des connaissances nouvelles. Ici, ce qui nous intéresse c’est le lien qu’il peut y avoir entre l’expérience et le fait d’être instruit. Et, au premier

le temps de quelques actes. Le théâtre, c’est aussi se plonger dans un univers d’analyse beaucoup plus profond où l’auteur cherche à nous entrainer. La pièce guide nos réflexions sur des sujets ou événements de diffèrent type afin de nous instruire, de nous faire prendre conscience de certaine chose ou de dénoncer des faits ou agissement. Le théâtre était autre fois un moyen d’instruction qui présentait à des spectateurs illettrées des événements qui avait lieu ou des faits quelconque. Plusieurs

nous traitons les hommes en | | | |frères |- conclusion fausse, contraire à celle attendue : nous | | |Or nous réduisons les noirs en esclavage |sommes de mauvais chrétiens | | |donc les noirs ne sont pas des hommes

par l'apologue. I. Le plaisir du lecteur 1. Le lecteur est transporté dans un « ailleurs » Si l'écrivain choisit la fiction pour transmettre un message, c'est avant tout pour plaire au lecteur. « Docere et placere », « instruire et plaire », écrivait Horace ; « instruire en plaisant » pourrait-on ajouter. Dans cette perspective, la fiction apparaît comme une forme privilégiée. La fiction est en effet par nature un « déplacement », dans la mesure où tout récit est coupé de la situation d'énonciation

adressées au Dauphin. Le premier recueil des Fables publié correspond aux livres I à VI des éditions actuelles. Il a été publié en 1668, et était dédié au dauphin. La Fontaine insiste sur ses intentions morales : "je me sers d’animaux pour instruire les hommes." Le deuxième recueil des fables correspond aux livres VII à XI des éditions modernes. Il est publié en 1678, et était dédié à Madame de Montespan, la maîtresse du roi. Le dernier recueil publié correspond au livre XII actuel. Il est publié

père, Troupe de qui l'histoire, encor que mensongère, Contient des vérités qui servent de leçons. Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons: (3) Ce qu'ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes; Je me sers d'animaux pour instruire les hommes. Illustre rejeton d'un prince aimé des cieux, Sur qui le monde entier a maintenant les yeux, Et qui faisant fléchir les plus superbes têtes, Comptera désormais ses jours par ses conquêtes, Quelque autre te dira d'une plus forte voix

peuplent l' univers des Fables. Par mis eux il y a les puissants et les faibles, derrière lesquels se cachent toujours des hommes. Les « forts » sont souvent représentés par des animaux chasseurs et carnivores ( le lion = le roi, le loup, le renard...) ou des rapaces. Les « faibles » sont généralement symbolisée par des animaux pacifiques tels l'agneau, l' âne ou la souris. Instruire et divertir: F. est lucide quant à la nature humaine. Il exprime ses convictions personnelles, il nous fait part