Insuffisance médullaire

d'installation progressive et ne comporte pas de caractéristique particulière : on retrouve donc une pâleur cutanéo-muqueuse et les signes hypoxiques habituels (tachycardie, dyspnée …). Parfois un ictère trompeur peut être présent (lors d’une hémolyse intra-médullaire importante). Les signes digestifs sont fréquents, liés à l’atrophie des muqueuses digestives : sécheresse buccale, aphtes à répétition, diarrhée ou constipation et classique glossite de Hunter (sensation de brûlure et inflammation avec une langue

. 198 Xanthines ............................................................................................. 198 Stimulants bulbaires ........................................................................... 202 Stimulants médullaires ....................................................................... 22 173 Introduction ........................................................................................ 21 173 Interactions médicamenteuses des neuroleptiques

fonction de l’anxiété facilement réveillée. L’observation de cet état basal s’effectue sous l’influence de perturbations de l’environnement (facteur E) tels bruit soudain, menace, calcul mental, autant de facteurs qui, engendrant une hyperexcitabilité médullaire, demandent un contrôle personnel de la situation. Ces deux facteurs sont – ou non – présents et ne vont pas de pair. Examen du muscle L’examen du muscle s’effectue d’abord à vitesse lente jugeant de l’élasticité musculaire dans la fenêtre articulaire

mécaniques, thermiques et chimiques). Il existe cependant des connexions entre les deux systèmes. Le message nociceptif part de la périphérie au niveau de nocicepteurs, chemine le long des fibres nerveuses de petits calibres, puis pénètre à l’étage médullaire. Ensuite, il va monter le long de la moelle épinière et informer le tronc cérébral, l’hypothalamus et le thalamus, le système limbique et le cortex cérébral. Ceci va permettre une analyse de ce message pour en reconnaître ses composantes et pouvoir

effet périphérique et par inhibition des COX médullaires. Ils sont donc analgésiques et réduisent également l’hyperalgésie [11]. Les AINS réduisent la consommation post-opératoire de morphinique et diminuent l’intensité des douleurs au repos et à la mobilisation. Ils sont donc utilisés pour toutes les chirurgies sauf en cas de contre-indications liées aux antécédents médicaux du patient (problèmes gastro-duodénaux, tendance hémorragique, insuffisance rénale, …) et/ou à la chirurgie (hémorragie, instabilité

Hypercortisolisme (syndrome de Cushing) Lésions médullaires et neurologiques: spina bifida, sclérose en plaques, traumatisme Diabète sucré Séquelles chirurgicales (résection et incision prostatique, curage rétropéritonéal) Exstrophie vésicale Syndrome de Prune-Belly Malformations péniennes (hypospadias postérieur, épispadias) Dopage à la testostérone et stéroïdes anabolisants Intoxication éthylique chronique Tumeur pituitaire avec ou sans hyperprolactinémie Insuffisance pituitaire médicale, postchirurgicale

Adapted from Julius D, Basbaum A I 2001 Nature - Suite à lésions tissulaires, inflammation,… - Par libération locale de médiateurs - Sur terminaisons fibres afférentes (C and Aδ) - Activation nocicepteurs polymodaux - Puis amplification niveau médullaire - Transmission centrale corticale via relais thalamique4  Neurogène : atteinte des nerfs - Atteinte SNC ou SNP niveau somatosensoriel sans lien avec lésion tissulaire périphérique Causes inflammatoires, infectieuses, métabolique, etc… - Hyperexcitabilité

neuroendocrines Gastrinome VIPome Somatostatinome Mastocytose Syndrome carcinoïde Carcinome médullaire de la thyroïde Néoplasie carcinome du côlon Lymphome Adénome villeux La maladie d'Addison Épidémie de diarrhée sécrétoire Diarrhée sécrétoire idiopathique diarrhée gras syndromes de malabsorption Maladies muqueuses Le syndrome de l'intestin court Postresection la diarrhée Ischémie mésentérique Maldigestion Insuffisance pancréatique La carence en acide biliaire La diarrhée inflammatoire Maladie inflammatoire

Douleurs lombaires. Hématurie, pyurie. Infection urinaire. Troubles mictionnels. Émission de calculs. Émission de débris hydatiques (membranes blanchâtres). b. Signes généraux : Fièvre. Altération de l’état général. Hypertension artérielle. Insuffisance rénale. c. Examen physique : À l’inspection on recherche une voussure de la fosse lombaire et du flanc. À la palpation on recherche un contact lombaire, un ballottement rénal, une tuméfaction lombaire (en précisant ses caractéristiques à savoir

s'ouvrent (phase e-f) => le sang entre dans le ventricule. On peut calculer le débit cardiaque FC x VES = DC avec FC en batt/min et VES en litre et DC en L/min Si VES normal c'est-à-dire 70 mL alors 0,07 L alors DC = 75 X 0,07 soit 2.5 Insuffisances coronariennes : de l’angor à l’infarctus du myocarde (IDM) 2.5.1 Définitions de ces deux cardiomyopathies ischémiques Définition IDM : Rétrécissement du calibre des artères coronaires chronique, à l’origine d’une ischémie myocardique permanente