Intensité capitalistique

main d’oeuvre (certaines productions agricoles comme le riz, ou le cacao, ou certaines productions manufacturières peu automatisées, etc.), tandis que les pays mieux dotés en capital ont intérêt à se spécialiser dans les productions à forte intensité capitalistique (sidérurgie, machine-outil, automobile, etc.). Dans ce modèle, il est possible de démontrer que l’on va assister à une égalisation des coûts des facteurs à l’échelle mondiale, même si on fait l’hypothèse d’une immobilité des capitaux. Les

est d’autant plus forte que les barrières à l’entrée sont faibles. Barrières à l’entrée : - Avantages absolus en terme de coût. - Accès aux matières premières - Politique gouvernementale - Economie d’échelle et la courbe des coûts - Intensité capitalistique (montant nécessaire pour créer le 1er produit) - Réputation - Coût de changement (couts liés au changement Iphone/Android, Airbus/Boeing) - Accès à la distribution - Différenciation des produits Même si les barrières à l’entrée sont

spécialistes comme fournissant des « produits alimentaires d’accompagnement », et appartenant au secteur des industries de deuxième transformation. Si cette filière est marquée par une forte intensité capitalistique, elle dégage aussi des marges brutes d’exploitation très positives. Cette forte intensité capitalistique est due en grande partie au processus d’embouteillage, étape clé de la chaîne de valeur de la filière. L’embouteillage est en outre le seul point commun aux différentes sous filières présentées

des fondateurs de la théorie du dualisme, configuration d'une économie nationale où un secteur moderne côtoie un secteur traditionnel. Le secteur moderne est tourné vers les échanges internationaux et il est à forte intensité capitalistique. Le secteur traditionnel, à forte intensité de main-d'œuvre, regroupe des activités artisanales vouées à la satisfaction des besoins primaires de la population, à dominante agricole. D’où une économie désarticulée si les deux secteurs n'ont pas de relation et

fortement (contexte de plein-emploi) et que les investissements doivent être de plus en plus importants. -de l’évolution de la demande (à plus fort pouvoir d’achat donc plus diversifiée) -de l’introduction de la robotique  hausse de l’intensité capitalistique  nécessité d’utiliser au mieux les machines installées. Chacun de ces points, suppose que le salarié soit impliqué dans ce qu’il fait  évolution de son rôle et de l’organisation du travail  évolution vers le post-fordisme. Dès lors, le système

recherche. Courbes de certains indicateurs sont tracés à partir de donnés publiés par l’OCDE en 1997 pour la période 1981-1996. Les pays sont comparés par leur : Dépenses en R&D Part du personnel de recherche dans la population active Intensité en recherche (dépense de la R&D en % du PIB) Part du gouvernement dans le financement de la R&D On peut constater que les pays avec le plus grand effort d’investissement dans R&D par rapport du PIB sont Suède, Japon, Corée, USA,

brevets. Disposer d’une supériorité technologique absolue est sans doute le meilleur atout qu’une entreprise puisse avoir dans les guerres des standards technologiques et industrielles qui déterminent désormais l’évolution des marchés à haute intensité capitalistique. Toutes les entreprises que j’ai citées tout à l’heure ont été, à un moment donné de leur histoire, dans la situation privilégiée d’un pionnier qui, grâce à sa capacité d’innovation et de restructuration, a pu se réserver aujourd’hui les

de leurs produits propres et ont généralement un statut de start-up. Spécialisées dans les technologies de recherche, elles apportent souvent leurs compétences aux grands groupes pharmaceutiques. Les grands du secteur, qui sont des entreprises capitalistiques cotées à forte profitabilité (souvent au-dessus de 10%). Ces sociétés ont une activité propre de R&d très importante (environ 18% de leur CA). Les PME, qui n'ont pas les moyens de financement la R&d nécessaire en amont d'une molécule innovante

l’horizon 2012 T32 T33 T34 T35 T36 T37 T38 T39 T40 T41 T42 T43 T44 T45 T46 T47 T48 T49 T50 T51 T52 T53 T54 T55 T56 T57 T58 T59 T60 T61 2. Principaux axes de développement des opérateurs T24 T25 T26 T27 T28 T29 Une forte intensité concurrentielle sur les marchés du bébé Les principales stratégies d’expansion mises en œuvre sur les marchés du bébé L'évolution du parc de magasins des principaux opérateurs (2007-2010) Les stratégies d’acteurs en matière d’extension du réseau

l’effet prix / matières premières sur la période, le chiffre d’affaires n’a progressé que de 46 % contre un doublement pour les immobilisations nettes. Des ratios chiffre d’affaires / actif économique de l’ordre de 0,8 montrent une forte intensité capitalistique, double par exemple de celle de l’économie indienne. Les investissements représentent en moyenne 2,5 fois la dotation aux amortissements ce qui témoigne d’un effort d’investissement dont l’importance doit être appréciée en se rappelant que