Intensité Factorielle

de l’entreprise, ce phénomène est totalement exclu dans le modèle HOS. Or la présence d’éco d’échelle va influencer les conditions de la spécialisation. Et peut générer des gains à l’échange qui ne reposeront pas sur les différences de dotations factorielles sachant qu’il existe 2 types d’économie d’échelle (externes et internes). Les économies d’échelles externes aux entreprises ne dépendent pas des quantités de facteurs utilisées alors que les économies d’échelle interne dépendent des quantités de

faible, toutes choses égales par ailleurs. C’est une caractéristique générale de la technologie de production → « Loi des rendements factoriels décroissants » : il y a toujours un moment où la PmL ou la PmK tendra à décroître. Elle n’exclut pas ponctuellement qu’il puisse y avoir des niveaux de production pour lesquels il pourrait y avoir des rendements factoriels croissants ou constants. Le tableau permet de rassembler l’ensemble des combinaisons de facteurs de production qui permettent de produire

de pauvreté (euros de 2006/mois) | 732 | 745 | 776 | 812 | 818 | 818 | 816 | 830 | 865 | 880 | Niveau de vie médian des personnes pauvres (euros de 2006/mois) | 598 | 617 | 643 | 680 | 685 | 673 | 669 | 680 | 704 | 720 | Intensité de la pauvreté ( %) | 18,3 | 17,2 | 17,1 | 16,2 | 16,3 | 17,7 | 18,0 | 18,2 | 18,6 | 18,2 | Ces indicateurs synthétiques mettent en évidence : des inégalités françaises relativement faibles (par rapport a une comparaison internationale)

l’industrie au sein de l’ensemble des secteurs économiques : les industries énergétiques et de process ont une forte intensité capitalistique, mais ne sont pas en cela très différentes de certains services utilisant d’importants équipements (postes, télécommunications, services culturels…) ; les industries de main d’œuvre (textile, habillement, bâtiment…) ont, elles, une faible intensité capitalistique mais ne diffèrent pas, sur cet aspect, des services aux particuliers ou de l’enseignement. De même

habitudes d'utilisation des produits - les attitudes à l'égard de la catégorie de produit, - les caractéristiques socio-démographiques et psycho graphiques. b-la phase d'analyse : Les données seront soumises à une analyse factorielle qui permet de réduire les variables redondantes et mettre en évidence les dimensions sous-jacentes puis d'une analyse typologique qui permettra de découvrir les différents segments. Ceux-ci seront aussi homogènes que possible et en même temps très

notamment en géographie – on utilise le test du Chi2 dans la même logique que celle appliquée au calcul du coefficient de corrélation linéaire pour des variables quantitatives : existe-t-il une liaison entre deux variables, si oui quelle est son intensité ? Avec des données qualitatives (tranche d’âge, mode de déplacement, CSP…) il est nécessaire de reformuler les hypothèses initiales. D’un point de vue mathématique, il existe une situation théorique d’indépendance de deux variables qualitatives (notons

CHAPITRE 3 : MOTIVATION DU LIBRE CHOIX : I) Niveau d’activation : * Cette conception théorique de la motivation a comme particularité de ne pas reconnaître de direction au comportement (comme le drive) et de se concentrer uniquement sur son intensité. Elle repose sur deux grands principes : * Niveau d’excitation  * Le comportement * si le niveau d’activation est trop faible = comportement manque d’intensité et motivation faible. * Si le niveau d’activation est trop fort = la

déjà existantes * la menace des nouveaux entrants * le pouvoir de négociation des clients * le pouvoir de négociation des fournisseurs * la menace des produits de substitution * Concurrents dans le secteur d'activité - Intensité de la concurrence La concurrence dans un secteur sera très forte si les acteurs sont nombreux, puissants ou agressifs. La rivalité sera exacerbée si : * le secteur est en déclin; * les frais fixes sont élevés; * il y a d'importantes

et parfaite mobilit� des facteurs de production Par ailleurs, Ricardo � l'�poque ne fournit aucune explication quant'au diff�rentiel de productivit� entre les deux pays. 3 La th�orie des dotations des facteurs de production/dotation factorielle Hecscher Ohlin Samuelson Un si�cle et demi plus tard HOS ont d�montr� que la cause fondamentale des diff�rences de couts relatifs existants entre les pays se trouve dans les facteurs de production et ils l'enoncent de la fa�on suivante.

MATH 401 : Statistiques descriptives et probabilitésTPs : Initiation aux statistiques appliquées à la biologie1/ R, c’est quoi ? · un langage de programmation informatique => nécessite d’apprendre une nouvelle “langue” ; · développé notamment pour l’analyse statistique et graphique ; · mais beaucoup plus, car enrichi par tous : 6470 packages (au 01/04/2015) ; · un logiciel libre