Interjection

- Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) - Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie ou tristesse, bonheur ou mélancolie…) Pathétique - Interjection et apostrophes - Phrases exclamatives - Rythmes brisés - Lexique des émotions (souffrance, pitié, peur…) Emouvoir le destinataire, éveiller sa compassion. Polémique - Marques de la première personne  - Procédé de dévalorisation (métaphores dépréciatives

intuition de femme lui laissait deviner (II, 1 et 2). C’est cette accession au statut de héros qui autorise Ruy Blas à rabaisser son maître avec une ironie cruelle qui se manifeste dans le tutoiement mettant les deux hommes au même niveau, dans les interjections pleine de mépris « fi donc ! », dans l’insolence qui consiste à recommander à un « démon » d’aller « prier dieu » (v. 32) et à le faire mourir dans son lieu de prédilection, un cabinet obscur en lui refusant de mourir en duel comme un gentilhomme

d’Harpagon La folie d’Harpagon est ici très bien représentée : On la retrouve à travers son agitation : Certains indices révèlent ses déplacements : “où courir? où ne pas courir?”, “n’est-il point là, n’est-il point ici ?”. Des phrases nominales, des interjections, le rythme saccadé et l’accélération du rythme en témoignent également. On peut observer que la dépossession de son argent entraine la perte d’identité d’Harpagon : En effet, le monologue d’Harpagon n’en est pas réellement un, ce dernier étant

données par les dictionnaires, nous avons également consulté les entrées liées à la seule marque explicitement dite d’hésitation dans la langue courante actuelle, en français, à savoir le euh ou heu. heu ['ø] interj. (• XVe; onomat. ) Interjection qui marque l'embarras, le doute, et spécialement la difficulté à trouver ses mots. ⇒ euh. — N. m. inv. « Les mots ne venaient pas, il poussait des heu! heu! sans jamais pouvoir finir ses phrases » (Zola). Le Petit Robert électronique, 1996

, spectateurs, scène (chapelle, rosace), lumière(« rayonnement »), metteur en scène (maitre capenolles), apparition durant une fete. -Q = monstre (eth monstrum= se montrer) C. Entre peur et fascination -Peur : Cl peur (« peur, se cacher ») Interjection « oh, buah » ; « le vilain méchant » -Fascination : homme Cl de la fascination + applaudissements Hyperboles * Quasimodo est à la fois attirant et repoussant : Paradoxe II. Une écriture monstrueuse A. Inspiration mythologique et biblique

laissons-là l’amour » -    serment « j’ai juré » Mais légèreté par la désinvolture de Dorante : -      rire : « ah ! ah ! ah ! «   Pour un passage censé être lourd » -    les deux répliques se reprennent « venge t’en sur la mienne ! » -    interjection «  eh ! bien ! » -    reprise sur le thème de l’amour 2)    vivacité et comique -    répliques courtes, s’enchaînent vite -    questions / réponses -    apartés -    jeu de sens : diaphore  « quitter » donc un jeu sur la polysémie des mots

de l’amour « laissons-là l’amour » - serment « j’ai juré » Mais légèreté par la désinvolture de Dorante : - rire : « ah ! ah ! ah ! « pour un passage censé être lourd - les deux répliques se reprennent « venge t’en sur la mienne ! » - interjection « eh ! bien ! » - reprise sur le thème de l’amour 2) vivacité et comique - répliques courtes, s’enchaînent vite - questions / réponses - apartés - jeu de sens : diaphore « quitter » donc un jeu sur la polysémie des mots ce qui est

II) 1) Registre comique qui domine l’extrait   Accumulation de verbes d’action au présent de narration “on se sauve”, “on est poursuivi”, “ chacun  pense à soi “ qui parodie le registre épique.        Le valet utilise une hyperbole = le nombre de mots est prodigieux. Les interjections et modalités  exclamatives renforcent cette théâtralité du discours.    2) Rencontre rythmé; emploi des temps qui dynamisent le récit. répétition du verbe “démontré” 7x =  2nd partie = effet d’insistance. On ne sait pas à qui s’adresse le “monsieur à raison “ de 

même nature: mais,où,et,donc,or,ni,car. (ex:Il mange du pain et du fromage.) Les conjonctions de subordination: Elles servent à introdurie des propositions subordonnées. (ex:Il fait froid parce qu'il neige.Je pense que tu as raison.) Les interjections: Elles traduisent des émotions,des sentiments.(ex:Oh!Ouf!)

(pendant le dialogue ou le monologue). Il s'agit de la transposition directe des mots et de la pensée de quelqu'un. C'est pourquoi tout énoncé au discours direct préserve les "traces" de l'oral: points d'interrogation, d'exclamation, suspensions, interjections, vocatifs, etc. Les guillemets représentent cette fidélité au discours d'autrui. (Note : en français, les guillemets s'emploient au commencement et à la fin d'une séquence cohérente de communication et non pas à chaque énoncé). Discours indirect :