Interjection

retrouvons des particularités au registre de la polémie : polémique. On y voit donc un vocabulaire péjoratif du XVII siècle comme «  friponne », « coquine », « impertinente », mais aussi des insultes : « peste ! » « Tudieu ! » C’est renforcé par les interjections exclamatives comme le  « Ah ! » Par la suite, Arnolphe découvre une nouvelle Agnès, une nouvelle facette qui n’avais jamais aperçus et qui malheureusement ressemble a ce qu’il déteste comme il le précise dans l’acte I. Arnolphe étant

l'affectivité (émotions et sentiments) – utilisation fréquente de la première personne (expression du « moi »)et de la deuxième personne pour inviter le destinataire à partager la force des émotions ressenties – ponctuation expressive (exclamations, interjections, interrogations, ...) – figures d'insistance suggérant la force des émotions : anaphores, hyperboles, gradations, ... – musicalité de la syntaxe : cadence des vers, ampleur des phrases, ... On rencontre ce registre à plusieurs époques et dans

Agnès revendique le fait d’aimer Horace. Que fait Arnolphe pour s’imposer ? Et que fait Agnès pour lui résister ? Arnolphe traite, insulte Agnès pour se faire respecter et pour la rabaisser : « la vilaine », « peste », « une précieuse ». Des interjections sont utilisées pour montrer qu’il est révolté, énervé : « peste ! », « ah ! ». On peut constater qu’il se compare à un roi : « ma puissance », « mon pouvoir », il se croit permis de tout et d’après lui, elle doit lui obéir car il l’a élevé donc

Les différents tons Lyrique : fait ressentir les sentiments du narrateur, caractérisé par un lexique affectif sentimental, un texte souvent a la 1ère personne, une ponctuation très présente, des interjections, un rythme particulier, des comparaisons des métaphores pour imager les sentiments et l’anaphore pour un sentiment obsessionnel, les sujets traités souvent sont l’amour, la mort, l’enfance. Pathétique : il suscite l pitié chez le lecteur, la compassion, le bouleversement car le héros soufre

mood, like this sentence. indirect object a grammatical object representing the secondary goal of the action of its verb. For example, "me" is the indirect object of the sentence "He gave me an example of indirect objects". interjection Drat! What is an interjection? Oh yeah, it's an ejaculatory utterance usually lacking grammatical connection. intransitive verb a verb that does not act on an object. For example, "lobby" is intransitive in the sentence "I lobby for intransitive verbs".

de « Il est coupable. » • Les connecteurs argumentatifs, exemples : en réalité, de plus, mais, cependant. Ex : L’état augmente les impôts, pour augmenter la dette publique, en réalité il faudrait plutôt... B) Les marqueurs affectifs • Les interjections, exemple : zut, hélas. • Tous les procédés de mise en valeur, péjoratifs ou mélioratifs. Tous les suffixes qui traduisent un sentiment. Suffixe en –ette (poulette), des appellatifs (poussin). Liste exhaustive. C) Les marqueurs axiologiques •

renversement de situation, présence de personnages dissimulés, répétition d’une situation, trompeur trompé, décalage entre ce que sait le personnage et ce que savent les spectateurs… - Le comique de mots : jeux de mots, jurons, répétitions, interjections, citations ou langues inventées, accents, argot… - Le comique de caractère : repose sur le tempérament ou le caractère des personnages et surtout leurs défauts (avarice, misogynie, orgueil, naïveté…)

| | |Conjonctions de subordination |Elles relient deux propositions de nature différente. |que, quand, lorsque, alors que, etc. | |Interjections |Exclamations exprimant un sentiment ou un ordre. |ouf ! chut ! ah ! | |Onomatopées |Mots qui reproduisent un bruit.

registres : Pathétique : Presence de chanps lexical « Horreur, pleurer, accablé de lassitude » souffrance de manon, prêt a mourir, et de Des grieux, triste a cause du décès + tragique : champs lexical du destin : « destinée, impossible, fatal » : Interjection : « Oh dieu » : Il a beau prié, la mort de manon est une fatalité. Mort tragique , MAIS grace au destin et la fatalité la tragédie est atténué. II) Une mort symbolique a) Une rédemption L’auteur la condamne a cause de ces nombreux péchés

.................................................................................................................................................................................................................... Il s'utilise aussi après les interjections : Oh ! ▪ Les points de suspension sont toujours au nombre de .............. . Ils marquent une interruption provoquée par l'émotion, la surprise, l'hésitation, la rêverie ou signalent qu'une énumération n'est pas complète. Ex : ...........