Interjection

de Racine. LE REGISTRE PATHETIQUE Il cherche à émouvoir le lecteur ou le spectateur par des situations ou des discours marqués par la passion, la souffrance... Le spectacle et le lexique des émotions (douleur, pitié), les rythmes brisés, les interjections sont des signes du pathétique. LE REGISTRE DRAMATIQUE Il caractérise une action tendue, des événements violents qui se succèdent sans relâche. La multiplication des coups de théâtre et le rythme saccadé marquent la dramatisation. LE REGISTRE

qu'un homme est plus qu'un autre ». Il. Blâme des gens de la noblesse a) Antithèse seigneurs/serviteurs b) Ton polémique (termes dévalorisants + accumulations: «de pauvres gens que vous avez toujours offensés, maltraités, accablés, ...», interjections marquant la colère ... ) et ironique (« beaux exemples », « Messieurs les honnêtes gens du monde ») très efficace pour ce réquisitoire c) Défauts condamnés: Recherche exclusive de la richesse matérielle; l'orgueil, mépris et humiliation des faibles

conséquences que ce geste impliquera, se sacrifie dans l’espoir de sauver sa ville. Lorenzo est un héros romantique philanthrope. Enfin, on note que Lorenzo s’exprime par de nombreuses phrases exclamatives nominales, et utilise à quatre reprises les interjections « Ô !» ou « Ah ! ». C’est une manière poétique et romanesque de s’exprimer, qui complète la dimension romantique de la scène. CONCLUSION Cette scène pourrait être la dernière de la pièce. En effet, elle représente le meurtre attendu

subjectivité comme moteur de l'envie. ✖ Après la description du contexte de l'expérience, on passe à nouveau à l'utilisation du DIL pour se rapprocher du ressenti de l'élève ( voir utilisation de la ponctuation et modalisation du paragraphe 3 – interjection, phrases exclamatives ). Voir aussi utilisation du « on » cette fois-ci à valeur non ironique mais pour rendre amusante et objective ( donc généralisable... ) la description d'un apprentissage ludique de la part d'Emile. Voir multiplicité des verbes

il traduit la stupéfaction et l’état désemparé de Rodrigue, cette marque de subjectivité suggère les sentiments du locuteur. Egalement, la présence d’interjections peut être associée au registre lyrique : ‘Ô(v8), Ô(v18)’ A l’aide de ces interjections, Rodrigue pousse un cri de désespoir, cela renforce l’expression des sentiments qu’il veut nous faire partager. Enfin la disposition du texte, sous forme de...

précisions à ces "misérables" qu'il a rencontrés et en restitue le dialogue au mot près par le biais du discours direct : "j'ai insisté : vous ne les ouvrez donc jamais ? - Jamais monsieur !". Son indignation éclate à chaque ligne, et les nombreuses interjections et phrases exclamatives sont là pour nous le montrer, nous rappelant qu'il s'agit bien d'un discours prononcé avec un ton particulier : "Hé mon Dieu !", "Ah !", "Eh bien"... Il emploie également le pronom "nous" qui semble créer deux "camps" bien

les crimes commis par son frère. Durant les paroles rapportées par Dymas le champ lexical de l'horreur est mis à profit avec les mots suivants : -sang (l.1966) -pleurs (l.1967) -crimes, malheurs (l.1968) -peste (l.1970) Dymas utilise une interjection qui est «Hélas !» cela sert à exprimer un sentiment. Les rimes suivies sont utilisées tout au long de cette extrait. 2- Un coup de théâtre Œdipe alors qu'il était roi, se rendit aveugle. Dymas utilisa le procédé de l'antiphrase lors du passage

le logorrhée de Sg (discours et pensée non contrôlés) -par la chute finale « il se laisse tomber » tout cela dévalorise son discours , Sg ridiculisé (comique) II/ La conception de Dom Juan 1) Une conception implicite des réponses limitées, interjections , « oui ,oui » , « ah , ah , ah » =il se moque , il condamne la foi de Sg , formule elliptiques (il ne dit pas tout) 2) Une expression l°82 Il répond par une vérité mathématiques,=sens réel ;rationalisme(=la raison) III/ Le rapport entre Dom

mélancolique : cherche un passé qui n’existe plus, il n’y a plus d’accés. Trois figures féminines appartiennent à son passé : Louis (l 30), Catherine (l 4), Jeannette (l 33). (l 35) : la campagne, bucolique. Traduit dans un registre lyrique : métaphore, interjection. Un personnage désenchanté : vis-à-vis du genre humain. Ironie (l 13, 14) métaphores ironiques contre les Républicains. (l 12) : Shakespeare. Dénonce l’incapacité d’agir.

dénonciation de la guerre La première phrase de l'extrait commence par un paradoxe et marque l'étonnement de l'auteur. Cette phrase marque le thème de ce texte : la guerre. Après cette première phrase, on a un paragraphe commençant par une interjection qui marque de l'indignation et du dépit de la part de l'auteur. On remarque aussi le pessimisme d'un préambule sur la férocité de la nature humaine. Il adopte un ton maraliste. L'auteur utilise l'adjectif « nous » qui décrit une généralité. A la