Interjection

imploration Faites-le venir) ; comique de caractère un malade sous la coupe des médecins incapable de prononcer une phrase entière et cohérente (Ce n'est pas moi / C'est lui / Mon frère) terrorisé par les menaces (modalités exclamatives et interjections Ah! Mon frère / Eh point du tout! Mon Dieu! / Ah miséricorde!) gradation des références , s'en remettre à Dieu = désespoir. ►comique de la scène : le spectateur rit du faux-malade et de son manque de lucidité b) Une servante complice semble

chiasme qui oppose les deux attitudes et renforce la culpabilité de Phèdre d) Culpabilité partagée par Oenone " détestable " (v14) , " perfide"(v17) 2) Désespoir d'un père : a) Surprise + douleur dans les nombreuses exclamations ( v6 , 37) , interjection "hélas" + champs lexical : " cruelle" , "action si noire" , "mon erreur" = accuse mais se sent aussi coupable b) Développement du registre pathétique : " nos pleurs " + désignation d'Hippolyte , fils retrouvé " mon malheureux fils " , " ce cher

accès d'éternité pour le vertueux mais Dom Juan refuse refuse cette idée de destin et donc de mort et de punition au sens religieux (point à traiter dans le tragique). A l'entêtement de Dom Juan, s'oppose la peur et la lâcheté de Sganarelle (interjection l.6 "Ah", l.8 "Au ciel", l.12 ...) Il est crédule (l.12/ 13 "rendez-vous à tant...") mais aussi cupide le traduisent les exclamations "Mes gages" l.25, 33. La dernière réplique ressemble à une oraison funèbre dans laquelle Sganarelle résume les

fasciné par elle. Elle est comparée à une ¨ Sirène ¨, une ¨ reine ¨, à une ¨ fée ¨. C'est avec le registre lyrique que Baudelaire exprime ses sentiment, son désir et son amour pour la beauté, comme le montre la ponctuation ¨ tu ¨ ( vers 1 ), les interjections ¨ Ô ¨ ( vers 22 ), l'énonciation ¨ … ¨ et le lexique de sentiment et du désir ¨ ton regard ¨ ( vers 2 ); ¨ la joie ¨ ( vers 11 ) et ¨ amoureusement ¨ ( vers 16 ). La beauté a aussi pour Baudelaire un pouvoir extraordinaire, magique, elle est

De la ligne 8 à 17, la lamentation et l’avarice sont mises en avant. Molière utilise les interjections « Hélas ! » (l.8) et « Euh ? » qui soulignent son désarroi face au vol dont il a été victime. L’emploi répété de pronom de la première personne « je » avec 6 occurrences (l.9,10,12,16) ainsi qu’avec les 16 occurrences des adjectifs possessifs : « me » (l.13), « ma » (l.10) et « mon »(l.8,9,10,13,16) reflète d’un travail sur soi-même, d’une analyse. Il utilise aussi des hyperboles comme « tout est

« ami » soit à une personne susceptible de comprendre et de rejoindre le mouvement. L’anaphore « ami » renforce cette idée de propager la résistance et d’être entendu par tous ceux qui veulent résister aux Allemands. Le chant interpelle par une interjection « ohé »toutes les catégories de la population française qu’elle soit rurale « paysans » ou industrielle « ouvriers ».Tous sont appelés à résister. Notons qu’à aucun moment on ne cite précisément l’ennemi contre lequel on doit lutter, sans doute

de coordination : Ex : mais, ou, et, donc, or, ni, car - la conjonction de subordination : Ex : comme, quoique, si, si bien que. 4-L'interjection : - l'onomatopée : elle imite des bruits ou des cris Ex : Boum ! Splash ! Wouf ! - les autres interjections : elles manifestent l’affectivité dans l’énonciation. Ex : Eh ! Aïe ! Oh ! Fiche n°2 : Les grandes fonctions Les fonctions par rapport au verbe Sujet Complément d'Objet : COD, COI et COS

aussi présent: l'ironie (antiphrase) ; l’humour (il présente la réalité de manière à en dégager les aspects plaisants, insolites et non sérieux comme l’apparence les présente). Ou comique qui naît du langage utilisé (bégaiements, répétitions, interjections). Comme exemple on a le langage de Sganarelle, les jurons populaires et Dom Juan qui imite le langage des dévots, le patois des paysans. Pour finir, on retrouve le comique de caractère qui démontre le caractère d’un personnage dont l’attitude

« les tueursà la balle et au couteau » et les « saboteurs ». Ces personnes sont appelés à se rassembler et les mots utilisés montrent que les auteurs encouragent et reconnaissent leurs actions et leur devouement à la patrie. Le tutoiement et les interjections employés permettent aussi d’appeler ceux qui pour l’instant ne milite pas à passer à l’action. Ce chant fait aussi référence à l’oppression nazie grace à des métaphores « le vol noirdes corbeaux », « les cris sourds du pays qu’on enchaine » ainsi

affectives : Solitude et détresse de l’enfant rescapé et abandonné. Conditions pitoyable (vaincu « tête humiliée ») Soumission, passivité Champs lexical du chagrin : larmes, pleurent, chagrins Pitié du narrateur : passage du récit au dialogue. Interjection, interrogation : sollicitude, consolation. Attitude protectrice et réconfortante (anaphore « veux-tu ») II. Images de la paix, du bonheur et de l’innocence Contrepoint du malheur Opposition passé/présent et présent/futur : - Un