Interlocuteur

et il est possible de parler seul, avec quelqu’un, avec une chose, avec le miroir ou avec les esprits. 1. Confiance en soi 2. Confiance en ses capacités et valeurs personnelles 3. Etre conscient de son cadre de référence et de celui de son interlocuteur Cadre de référence = cadre dans lequel on vie tous les jours, notre cadre 4. Eviter de juger ou d’évaluer en bien ou en mal avant de comprendre Car cela créer des préjugés 5. Eviter de s’en tenir à la première impression et de classer des

obsession ou même une addiction qui « oblige » à chaque destinataire de sans cesse vérifier que l’on garde un lien avec autrui. Ce moyen de communication révèle alors chez la personne un sentiment d’ « amour », qu’elle est aimée et lié par l’autre interlocuteur qui souhaite toujours communiquer et en savoir plus sur elle. C’est ce que souligne Gilles Boogaerts dans son illustration ou il métaphorise l’utilisation du portable par un cordon rattaché au corps, qui symbolise le cordon ombilicale qui rattache

| | | |Enjeu informatif: Je dois communiquer à mon interlocuteur les procédures concernant l’erreur de son bulletin de paie. | |Enjeu identitaire: Je désire faire mes preuves, et représenter positivement la société.

Quand dire c’est faire ». Le titre de l’ouvrage énonce clairement l’hypothèse du départ ( c’est transmettre à autrui certaines information sur l’objet dont on parle ( acte locuteur), mais c’est aussi faire, c'est-à-dire tenter d’agir sur son interlocuteur, voire sur le monde environnant . Autrement dit, tout énoncé combine trois sortes d’actes : - Locutoire : (acte de dire quelque chose ( « je vous remercie » par exemple, cet acte n’est pas lié à la personne.). - Illocutoire :(acte effectué en disant

énonciative de Benveniste, où sont distingués deux types d’énonciation, l’énonciation historique, qui présente des événements semblant se raconter eux-mêmes, et l’énonciation discursive, grâce à laquelle au contraire le locuteur s’adresse à un interlocuteur actif dont il attend une réaction. Ces types d’énonciation sont en effet, selon Benveniste, ancrés dans les temps grammaticaux et constituent donc, comme tous les phénomènes de la polyphonie sémantique, des caractéristiques de la langue elle-même :

des deux acteurs s’exprime ce qui met en avant la dominance des propos de ce dernier qui se doivent d’être acceptés. Cela crée donc un espace d'inter locution favorable à faire entendre l’avis d’un personnage dont le but est d’interpeller son interlocuteur par le biais d’un discours plus ou moins violent. En effet, dès le début du texte, le locuteur s’adresse de façon directe en apostrophant à l'aide de questions rhétoriques ceux qu’il défini comme peuples « aveugles ». Cet adjectif qui dans ce

mais aussi, pour différencier les situations, locuteur à l'oral et auteur ou scripteur à l'écrit ; – l'autre, qu’on appelle génériquement le récepteur (ou encore le destinataire ou l’énonciataire) mais aussi, pour différencier les situations, interlocuteur (ou allocutaire) à l'oral ou lecteur à l'écrit. Pour aller à l'essentiel de ce qui nous occupe, nous laissons de côté, dans ce qui va suivre, les différents aspects du récepteur, car cela nous entraînerait trop loin. 2° Producteur vs narrateur

|10h et 11h. | | |Éléments de diagnostic sociologique |-Femme de 21ans, 1ère expérience dans la prise de RDV. |-Par sa voix, mon interlocuteur me semblerait être âgé entre | |acteurs : âge, sexe |-Entreprise de notoriété, qui véhicule une image |30 et 40ans. | |entreprise : image, valeurs… |dynamique

beau chemin'', ''il ne tiendrait qu'à moi'', ''il me plairait". Diderot, joue donc sur plusieurs registres: il est tour à tour créateur, et, intervenant. Le lecteur quant à lui, est contraint d'abandonner son rôle passif. Diderot en fait son interlocuteur privilégie: "Vous voyez, lecteur". Comme le procédé et la situation se répèteront souvent dans la suite du récit, le lecteur devient un acteur du roman. A la conversation de Jacques et se son maitre (conversion qui précède le passage étudie),

effet, le téléphone est un prolongement de la voix ; - pratiquer l’écoute active ; - reformuler le besoin exprimé par l’interlocuteur : il doit vous considérer comme un(e) allié(e) et non comme une(e) ennemi(e) ; - prendre en charge son interlocuteur : lui montrer qu’il a «frappé à la bonne porte » en annonçant votre fonction et en l’appelant par son nom, l’interlocuteur est ainsi reconnu (signe de reconnaissance de l’individu). 4. Les règles du langage téléphonique Comme nous l’avons