Interlocuteur

ordre * Rendre compte d’un travail * Demander une information * ..... 2. Les règles de la communication écrite L’écrire efficacement Les règles à respecter : * Prendre en compte le contexte de la communication : interlocuteur, message, circonstances,... pour adapter le canal, la forme, le moment * Rassembler toutes les informations nécessaires à la conception du message * Adopter un plan clair pour être lu et compris * Privilégier un style simple et dynamique

question en en posant une autre. Il ne faut pas entrer dans son jeu, plus une personne pose des questions à la place de répondre plus elle a peur de la réalité et la fuit. On trouve aussi le fait que la personne se sente en rivalité contre son interlocuteur, cela empêche les échanges car il ne s’agit plus de discuter mais de savoir qui aura raison ou qui va gagner. La solution est de passer de l’art de convaincre à celui de résoudre des problèmes. Il y a aussi le cas d’une personne qui joue un rôle

pachyderme!” (127-128), ayant un caractère cinglant, souligne le tragique et en même temps le comique de la situation. La parole cherche ici (comme cela arrive souvent au théâtre) à bouleverser la situation. Le personnage cherche à dominer son interlocuteur ou à le séduire Parfois les phrases acquièrent la signification d’un quiproquo. Ainsi dans les répliques: Botard.- Comment est-ce possible, dans un pays civilisé... D a i s y, à Botard. - D’accord. Cependant, existe-t-il ou non?

Quand vous vous serez familiaris avec la mthode danalyse littraire en franais 101, vous apprendrez, dans le deuxime cours de la squence, exprimer clairement et logiquement votre pense dans une dissertation explicative de faon convaincre votre interlocuteur de la vracit dune thse. Enfin, dans le troisime cours, vous pourrez dvelopper votre propre prise de position sur des uvres littraires, et ce, dans une dissertation critique. Vous pouvez consulter le tableau de progression des apprentissages qui

l’étymon loquor/loqui qui a donné naissance à des termes plus anciens et davantage utilisés dans le langage ordinaire que la première (parallèlement à des termes plus techniques, contemporains de la première série) : élocution, locution, locuteur, interlocuteur, locuté, délocuté, allocuté, allocutaire, locutoire, illocutoire, perlocutoire, sans compter des termes tels que éloquence, allocution, ventriloque, soliloque2 etc. La co-existence de séries peu différenciées et hétérogènes, tant dans les usages

niveaux de compétence langagière, veuillez consulter les guides pédagogiques pour le primaire et l'élémentaire. F3 1.2 La langue, instrument de communication 2 Par définition, la communication est un processus dynamique mettant en présence un interlocuteur (sujet écoutant) et un locuteur (sujet parlant) partageant*, par le biais d'un code commun, un message sous la forme d'un discours signifiant, dans un contexte particulier et ayant une intention précise. (voir Annexe I pp.i-iv pour des définitions

« bientôt la conversation reprit ». 2. Argumentatif : le locuteur (« Lui ») aborde la question du bonheur. Il remet en cause la conception universelle (« Vous croyez que le même bonheur est fait pour tous. Quelle étrange vision ! ») et morale de son interlocuteur (« vous décorez cette bizarrerie du nom de vertu ; vous l’appelez philosophie. Mais la vertu, la philosophie sont-elles faites pour tout le monde ? ») et propose deux contre-arguments : les hommes ne peuvent être tous sages et philosophes, et une

ordinateur,…) qui servent à convoyer le message à travers le Tps et l’espace. 8. Le feed-back : Il renseigne sur la manière dont le message a été reçu (et ce n’est pas la réponse au message !). La quête du ~ démontre l’î que l’on porte à son interlocuteur et au sujet traité. Permet d’éviter les malentendus. Ex. reformuler le message. C’est une information secondaire (le message est l’information primaire). C’est une métacommunication. 9. Les bruits : = tout phénomène qui se produit à l’occasion

L’énonciation peut être définie avec Benveniste, cm la mise en fonctionnement de la langue par un acte individuel d’utilisation (txt 6). On oppose l’énonciation à l’énoncé (cm la production au produit). A partir des 80’s, 2 gd courants se disputent le champ énonciatif. Le « courant énonciatif » part de l’analyse de certaines unités de la langue cm les déictiques qui ont 1 statut clairement énonciatif. Ctt analyse s’éttend progressivement à d’autres unités, puis à l’énoncé entier. Notion de catégories

Polyphonie il y a plusieurs voix qui parlent simultanément énoncé: qui est venu? --> présupposé (acte illocutoire) que quelqu'un est venu. Pierre a dit "je viens" --> discours rapporté direct, "je" n'est pas "je", l'énonciateur n'est pas le locuteur. Dédoublement peut aussi produire un écho imitatif: A: J'ai mal. B: J'ai mal; ne pense pas que tu vas m'attendrir comme ça. Ou bien discours imaginaire: si quelqu'un me disait "je pars" je lui répondrais... Attention: on ne sait pas si c'était les