Internaliste Externaliste

rapport à l’histoire socioculturelle générale de l’Islam. Il s’agit, comme dans toute histoire du droit, quand bien même il serait en l’occurrence question d’un système juridique à base éthico-religieuse, d’un champ où l’histoire dite internaliste et l’histoire dite externaliste sont difficilement dissociables. Au-delà de la répartition classique du fiqh en différentes écoles20, l’unité interne de chaque école est elle-même inlassablement mise à l’épreuve face à la diversité et à l’évolution des réalités

c'est-à-dire que l'élucidation de son sens soit confirmée dans l'empirie pour que l'accord intersubjectif, s'il a lieu, soit dit reposer sur une certaine objectivité, fût-elle seulement relationnelle et considérée du point de vue strictement « internaliste » défendu par H. Putnam. Certes, on pourrait objecter à cette idée de l'« idéalisation de la cohérence des croyances » que, du point de vue méthodologiquement intersubjectif, il n'y a guère de différence entre le régime de l'acceptabilité sans

thé, conversation sympathique, peut-être utile ds certains cas (psychothérapie de soutien) mais de surface. ≠ ñ La psychothérapie de profondeur : on descende ds les strates de l'histoire du patient ñ Psychothérapie internaliste (centrée sur vécu) ≠ psychothérapie externaliste (centrée sur nouveau modes de compts). → On ne peut pas faire les 2 en même temps, il faut différencier les 2 ds le tps : on ne peut pas en même tps demander au patient une introspection et une mise en mvt. N.B :

pouvoir. Pourquoi un Etat va-t-il produire de lui-même un droit qui limite son pouvoir ? Quel est le processus qui conduit l’Etat à limiter son pouvoir ? (car l’Etat est la puissance exprimée par le droit). En droit, l’explication est de type internaliste, elle repose sur la force du droit. C’est la force intrinsèque du droit qui va contraindre l’Etat selon les juristes. La force intrinsèque du droit est sa rationalité. Le droit est un système de production de normes et ces normes finissent par

entreprises à grande écelle paraissaient. L'interaction entre les développements sociaux, les changements dans les organisations et les premières théories organisationnelles se sentait de plus en plus. Nous l'avons décrite déjà d'un point de vue externaliste. Pendant la seconde Révolution Industrielle le nombre d'entreprises de grandes dimensions n'a cessé d'augmenter. On avait besoin de teams des managers qui pourraient mener ces entreprises. Aussi bien les managers que les conseillers publiaient

fait appel aux idées scientifiques afin de justifier leurs points de vue. Ce n'est pas étonnant que le rôle et l'influence de la science de l'organisation soient allés en augmentant dans les entreprises. On décrira ce processus d'une perspective internaliste dans la deuxième partie. PARTIE B : Les différents courants dans la science de l'organisation et du management La science de l'organisation et du management ne s'est pas développée de manière linéaire. Les ouvrages de Taylor et de Fayol ont

(effets recherchés) • Cohérence entre méthodes retenues • Comment maintenir / développer les comportements coopératifs ? • (ii) Changement par adaptation (ex-post) • Modèles « externalistes »  Typiquement : « ressource based models »  Environnement technologique  Environnement institutionnel • Modèles « internalistes » :  Par apprentissage (processus cognitifs)  Par auto-organisation  Modèles aléatoires (« garbage can model ») = on est dans des organisations complètes, équipes de décideurs

conception fixiste des espèces, et à l’idée d’un ordre de la nature. Ce rejet, qui est solidaire d’une conception prioritairement «externaliste» des rapports entre les individus, n’a rien d’une nécessité scientifique absolue, mais relève d’une circonscription arbitraire du champ des possibles théoriques. D’abord, parce que (point de vue synchronique) cette vision externaliste n’est pas la seule existante à l’époque. Elle n’est pas le seul paradigme possible pour une théorie scientifique au XIXème siècle

Tempus   Internalisme et externalisme La vision internaliste [Quoi ?] ne prend en compte que l’histoire des idées scientifiques, de découverte en découverte : les savants sont un monde à part, qui progresse indépendamment du reste. La science se nourrit d’elle-même. Il est ainsi possible de comprendre l’histoire des sciences sans se référer au contexte culturel. L’important, ce sont les étapes de progression de l’histoire scientifique. La vision externaliste rend au contraire la science dépendante de

étant qualifiée de « paradigme », au-delà de la réfutation. Le choix entre les paradigmes n'est pas fondé rationnellement d’autant que chaque paradigme permet de résoudre certains problèmes. A la vision plutôt internaliste de K. Popper, ces trois auteurs ajoutent l’idée d’une avancée externaliste des idées scientifiques où culture et société jouent aussi un rôle. Il est important aussi de souligner la notion de « régime de vérité » formulée par M. Foucault60 pour qui il s’agit de « ce qui détermine