Internationalisation Séphora

EN FINLANDE… 600 500 400 300 200 100 Marionnauel Nociné — Dauglas Senhora Passion Beauty Beaté Success Eltis * Gitous les franchisés Eiytis repignent fens eigne Douglas AmandineFOLTZER MME 2SOMMAIREIntroductionPARTIE 1 : Sephora et son environnement en France. I- Étude du succès de Sephora.A. Présentation de SephoraB. Le mix

poursuite des investissements dans les marques de mode, • Une innovation continue et le succès des lignes phares chez Christian Dior, • Une sélectivité accrue de la distribution pour les Montres et Joaillerie, • L’excellente performance de DFS et Sephora partout dans le monde, • Une capacité d’autofinancement générée par l’activité de 3,3 milliards d’euros, • Un ratio d’endettement net sur capitaux propres qui s’établit à 19 % à fin juin 2013. -Au 30 juin 2014: les ventes consolidées s’élèvent à

3000 magasins à travers le monde. Pour atteindre de tels résultats en seulement une vingtaine d’années, le groupe LVMH, a mené en parallèle, une forte croissance dans quatre directions : diversification, pénétration accrue du marché du luxe, internationalisation et intégration vertical. En effet, le PDG du groupe, Bernard ARNAULT, a d’abord constitué le groupe grâce à un rapprochement de l’entreprise DIOR qu’il dirigeait auparavant, avec deux autres sociétés : Louis Vuitton et Moët Hennessy dont les

local 5) La distribution sélective 6) La communication corporate chez LVMH 7) Une stratégie d’écrémage qui tend vers une démocratisation ? PARTIE 3 : LA STRATÉGIE INTERNATIONALE DE DEUX MARQUES 1) Un succès, Dior 2) Un échec, Sephora CONCLUSION INTRODUCTION Dans une société où il existe de réelles disparités de richesse, le secteur du luxe semble toujours plus susciter d’engouement, du fait qu’il véhicule une valeur aspirationnelle de ses produits. On assiste en

et logique partenariale p14 1. Joint venture et l’Occitane p14 2. Développement vers le bio avec Kibio p14 3. Relation avec les fournisseurs  p15 C. Diversification p15 D. Internationalisation p16 III. L’orientation client p17 1. Des produits innovants  p17 2. Une distribution spécifique p17 3. Des produits adaptés p18 4. Une communication de proximité

plus de nouveaux magasins et nouveaux DFS Amélioration du tourisme Menaces : Guerre en irak Baisse d’activité économique Problèmes politiques Concurrence Forces : Croissance de Sephora à l’international Developpement marché des croisiere Agrandissement et developpement des DFS Objectifs Sephora atteinds Gain de productivité DFS Faiblesses : Obligation d’un contrôle de 51% des parts du distributeur pour pouvoir gérer le personnel de vente.

serait un grand concurrent (L’Oréal) qui est aussi un acteur majeur dans ce domaine. Le marché de l’offre et de la demande : Marché de l’offre : Concurrents directs Concurrents indirects Body shop, L’Oréal, Bourjois, Nivea, Marionnaud, Sephora, Nocibé, Clarins LVMH, CCB, Pierre Fabre Caractéristiques : Marché concurrentiel car augmentation de la demande Offre très concurrentiel notamment L’Oréal avec un chiffre d’affaires de 2,9millards € Concurrence de Body Shop à l’international

Une industrie concentrée Analyse de l’offre Les acteurs • Les principaux groupes du luxe • LVMH ( France) Effectif : environ 40 000  Marques : Louis Vuitton, Lacroix,  Dior, Céline, Fred, Kenzo, Loewe, Givenchy, Fendi, Tag Heur,  Chaumet, Moët et Chandon, Sephora. • Richemont ( Suisse) Effectif : environ 10 000 Marques : Cartier, Lancel, Piaget, Montblanc, Van Cleef & Arpels,  Chloé, Alfred Dunhill, Old England... • PPR (Pinault Printemps Redoute) Nouvel acteur du luxe grâce notamment à sa montée en puissance 

-Transports -Loisirs -Gastronomie -Vins/spiritueux -Beauté,sport,soins 10 Le luxe en bref... •  •  •  + de 150 MM E de CA? Une croissance LT de 5 à 10 % /an L’Asie: 1er marché mondial principale zone de croissance Croissance et mutations: - internationalisation de l’offre et de la demande - de la pme aux méga-groupes - de l ’artisanat à l ’industrie - élitisme et masse - globalisation - marque et distribution - financiarisation •  11 Le marché du luxe Total *: 146 MME Habillement Arts

Lorsque les perspectives de croissance se révèlent limitées sur le marché domestique, il est tentant d’essayer d’en repousser les frontières dans l’espace géographique. Les groupes de la grande distribution non alimentaire, même si leur internationalisation est beaucoup plus tardive que celles des grandes surfaces alimentaires, ne sont pas en reste. Ainsi le magazine LSA dénombre à la fin de l’année 1999 quelques 1028 points de vente spécialisés exploités à l’étranger portant l’enseigne des