Internationalisme

(de Harry Potter), Jean Claude Van Damme, des Jackie Chan, Jet Li et même cette fameuse légende asiatique qu’était Bruce Lee, de regrettée mémoire. Ils ont tous dû quitter leurs terres natales pour intégrer le monde « très sélect » (encore un internationalisme anglais) de Hollywood, et se conformer aux standards en vigueur dans cette « planète de stars ». Dans le domaine musical, et bien les exemples sont légions dans cette ère globalo-libérale. Et dans cette logique, nous pouvons dire, à la lecture

Choay F., Penser la non ville et non campagne, Corboz A. « L’urbanisme au XXe siècle, esquisse d’un profil », Faces, 24, 1992, pp. 53-55. Glass R., Clichés of Urban Doom and Others Essays, Blackwell, Londres, 1989. Gubler J., Nationalisme et internationalisme dans l’architecture moderne de la Suisse, L’Age d’Homme, Lausanne, 1975. Hall P., Gracey H., Drewett R., Thoams R., The countainment of urban England, vol 2, Georges Allen/Unwin Ltd, 1973. 1 Hall P., Ward C., Sociable Cities : The Legacy

avant leur arrivée au pouvoir par le Congrès et le PCC. - dès les années 1920, communistes et congressistes voient le monde comme une « société oligarchique » à laquelle ils comptent substituer un nouvel ordre plus égalitaire et fraternel (« internationalisme prolétarien » chez Mao et à « interdépendance universelle » chez Nehru). - si Mao ne conçoit pas pour son pays une place ou un rôle particulier dans ce nouvel ordre en 1949, Nehru a déjà développé, et sans référence à une idéologie extérieure

n’existe que vu à distance, vu des USA par exemple. En réalité, les traditions nationales sont extraordinairement variées d’un pays de l’Europe à l’autre, et pour le son, c’est encore plus vrai que pour l’image. Autant il existe un relatif internationalisme dans la façon de traiter l’image, ce qui permet à des chefs-opérateurs européens (l’allemand Robby Müller, le français Philippe Rousselot, l’italien Vittorio Storaro) de travailler aux Etats-Unis avec des équipes locales (en s’adaptant à leurs

d’une charte (une sorte de « constitution » multilatérale), relevait d’une vision libérale des affaires planétaires[3]. L’objectif de Woodrow Wilson après la Première Guerre mondiale était de construire un ordre mondial stable fondé sur un internationalisme libéral-capitaliste qui se situerait au centre de l’éventail idéologique global, à l’abri de la double menace de la droite réactionnaire et de la gauche révolutionnaire. À l’époque, la vision planétaire émergente et concurrente était celle de

Tout ceci relève de l’homogénéité de la société. LES DIFFERENCES Elles sont d’abord idéologiques qui sont d’ailleurs les plus évidentes. - Le totalitarisme de droite se réfère à une unité communautaire alors que celui de gauche se veut internationalisme. On peut parler d’une pathologie de l’universel et une pathologie du national. Cette différence renvoie à deux autres différences : guerre et démocratie. - Ensuite, la guerre va faire l’objet d’une apologie par celui dit fascisme car la guerre

democratie parlementaire et plus particulièrement l'époque du front populaire 1936-1938 . Les allusions pour éclairer le doc : Paresse ==> référence aux Congés payés et à la semaine de 40 heures , encouragement à la paresse . Rouge – Internationalisme ==> référence aux rôles des communistes dans la résistance aux ligues et dans la création du front populaire . Etoile de David – Juiverie ==> référence à Leon Blum , manifestation de l'antisémitisme du Regime de Vichy . Antimilitarisme ==>

mouvants: d'ancien communard, homme politiques. Jean Jaurès est la personnalité de ce groupe. Il défend un socialisme humaniste qui n'est pas comme les autres révolutionnaire. Il doit être possible d'associer collectivisme et liberté, patriotisme et internationalisme, matérialisme et idéalisme. Dans les 90's, le socialisme va progresser, la conquête de municipalité comme Marseille ou Carmaux. Il y a une progression des socialistes. Glissement de vote des radicaux vers le vote socialiste. Cela amène les

l’internationalisme des militants altermondialistes. C’est parmi les plus socialisés à l’Europe et à l’international que se recrutent à la fois les élites et les simples militants du mouvement. Or, et c’est sans doute un enseignement décisif, cet internationalisme n’est pas le fait de marginaux ou d’outsiders qui trouveraient dans l’international un univers de substitution leur permettant de compenser un déficit de position ou de ressource dans leur société nationale. Il est au contraire le fruit d’un

avoir agi en solitaire pour « supprimer un ennemi de son pays ». Depuis de longs mois, voire des années, la presse nationaliste et les représentants des Ligues « patriotes » s’étaient déchaînés contre les déclarations pacifistes de Jaurès, son internationalisme, et le désignaient comme l’homme à abattre. - Le gouvernement qui se réunit dans la nuit craint d’abord des réactions violentes dans les grandes villes. Cependant, la direction du Parti socialiste fait savoir qu’elle n’appellera pas à des manifestations