Intimité Pudeur

et est-ce que quand je l’ai fait j’ai quand même respecter son intimité. Comment je pourrais faire la prochaine fois. Pourquoi je l’ai fait comme ça et pas autrement ? Ex : Pourquoi toute les fois que les patients qui arrive dans le service on les fait mettre en chemise de nuit alors qu’ils viennent pour un mal de gorge ? est-ce qu’on respecte l’intimité , la pudeur de l’autre (elle a fait des recherches sur l’intimité, sur la pudeur, pourquoi on faisait comme ça ? pourquoi on fait déshabiller

J.H. IFSI RUN 2012 *Titre du livre (sous-titres) : La face cachée des soins, Soins au corps, intimité et pratique soignante Auteure : Jocalyn Lawler Editeur : Seli Arslan Edition française : Marie Françoise Collière, 2002 Date d’édition : 1991 Nombre de pages : 288 *L’auteure : Jocalyn Lawler Elle est née le 31 Juillet 1949 à Hay Nouvelle Galles du Sud en Australie et ancienne infirmière, sa carrière débutant

restent cachés, le contact physique des zones génitales étant presque exclusivement réservé au contexte sexuel » (citation de la page 132). La toilette est un soin du quotidien, qu’il est habituel de faire seul. Le respect de l’intimité et de la pudeur est donc très important. La technique doit être adaptée à chaque situation. Il y a une prise en compte du patient et de ses capacités. La toilette doit donc associer technique et gestes routiniers. L’infirmière doit aussi contrôler ses émotions afin

chemise de nuit, pour ne pas avoir à le faire pendant le soin. Pour retirer celle ci, il faut savoir que pour les personnes atteintes d'hémiplégie, nous devons toujours commencer à dévêtir le côté paralysé, pour plus de facilité. Afin de préserver la pudeur de Madame B, nous déposons une serviette sur une poitrine et commençons le soin en nettoyant en premier lieu son visage. Cette toilette se pratique avec ou sans savon suivant les préférences du patient, de l'intérieur vers l'extérieur des yeux puis

afin d’être plus à l’aise lors de la réalisation du soin. J’ai alors commencé par aider le patient à enlever la chemise de nuit qu’il porter en la laissant sur son torse, j’ai également laissé les draps jusqu'à sa taille pour respecter sa pudeur, intimité et préserver sa température corporelle. Avant de mettre du savon sur le gant j’ai d’abord procéder au nettoyage des yeux, puis avec le gant savonné j’ai nettoyé le visage et le cou en terminant par le rinçage et le séchage de ces derniers. Puis

dans la salle de bain comme ici. Pour ce soin, ma première démarche était de frapper à la porte de Madame L pour montrer mon respect envers elle afin d’entrer en signalant ma présence. Je refermais la porte derrière moi dans le but de respecter sa pudeur, car lors de ce soin, l’intimité du résident est dévoilée. Je lui demandais, ensuite, si elle avait passé une bonne nuit et la prévenais du soin que j’allais lui prodiguer. J’évaluais ce qu’elle savait faire elle-même et je préparais le matériel.

livre de 235 pages, intitulé « Julie ou l’aventure de la juste distance, une soignante en formation », imprimé au Pays-Bas. II- Type de document Ce livre est un roman tiré d’une histoire vraie. III- Mots clés Distance, soins, intimité, contact, pudeur, relationnel, malade, attachement, écoute, relation. IV- Information sur l’auteur et/ou contexte de l’œuvre M. PRAYEZ Pascal exerce les métiers de psychologue clinicien et formateur en milieu hospitalier. Au début de sa carrière il

attention particulière au niveau de formation du personnel d’accueil. La loi de janvier 02 rénovant l’action sociale et médico-sociale complète ses missions. Les valeurs professionnelles de l’EHPAD sont définies dans le projet de soins : respect, intimité, dignité, liberté, sécurité, compétence professionnelle et sens des responsabilités. Le respect a été défini par le groupe de travail portant sur la bientraitance. Le respect est une forme de politesse, il est lié à l’éducation reçue et il se manifeste

article VII : « la personne hospitalisée est traité avec égards (…) Le respect de l’intimité de la personne doit être préservé lors des soins (…) à tout moment de son séjour hospitalier ». Ainsi, en tant que soignant, je me dois de respecter cette intimité de la patiente. Dans le cas de madame K. l'intimité est de mise, car en toquant avant d'entrer dans sa chambre, je respecte son espace privé, et je recueille aussi son consentement. Je me lave les mains a la solution hydro-alcoolique, afin d’éviter

je constate que Madame Lanoux veut rester seule. Je me pose la question de la pudeur ? En effet, elle est âgée de 25 ans, est l’hétéro-sondage touche son intimité. Selon le Dictionnaire des concepts en sciences infirmières, la pudeur c’est « désigner une force interne qui conduit le sujet à vouloir détourner un regard qui se porterait sur son corps, ou ce qui chercherait à pénétrer les cercles de son intimité » « la pudeur est un sentiment de gêne qu’une personne peut ressentir à l’idée de montrer