Intubation trachéale

Maladie chronique des bronches ou antécédents pulmonaires Chirurgie récente (thoracique, abdominale,..) Troubles de la conscience « fausses routes » Difficulté de déglutition CEPI - 2011 Facteurs de Risque (2) Position couchée prolongée Intubation et ventilation assistée, trachéotomie Durée de la ventilation Les reflux gastriques, vomissements Les traitements (corticoïdes, sédatifs..) CEPI - 2011 21 LES GERMES LES PLUS COURANTS RESPONSABLES DES INFECTIONS PULMONAIRES Les germes

température : reflet de problèmes infectieux. L’état cutané : bonne position de la sonde et du tuyau collecteur pour prévenir le risque d’escarre. Suite à un trouble de la conscience aux urgences, Mr X est rapidement intubé avec une sonde trachéale, intubation en urgence (IOT) pour éviter une inhalation bronchique.  L’intubation est un acte médical nécessitant une assistance infirmière (préparation de Mr X, du matériel : vérification de la sonde avant l’intubation par le contrôle de l’étanchéité

note : - une aréflexie tendineuse complète, - une mydriase bilatérale aréactive, - une atteinte de toutes les paires crâniennes, - une paralysie motrice quasi-totale avec atteinte des muscles respiratoires qui nécessite en urgence une intubation naso-trachéale associée à une ventilation contrôlée. L’hémodynamique est stable et dans les limites de la normales (TA 11/8, pouls à 120), - il n’existe pas de signes digestifs. L’hôpital de Saint-Laurent-du-Maroni ne disposant de service de réanimation

- Inapropriée 3 - Incompréhensible 2 - Aucune 1 Rôle du score de Glasgow (CGS) • Estimer la gravité du TC initial - TC grave : GCS ≤ 8 = coma, implique une prise en charge « lourde » : réanimation, intubation, sédation, mise en place d’une fibre de PIC, doppler … - TC non grave : GCS > 8 (9 à 15) • Surveillance du patient • Est utilisé dans toutes les situations d’agression cérébrale (AVC, infection, prise de médicaments...) Examen

est un bon exemple de la pratique de la médecine d’urgence, qui doit prendre en compte, dans un délai très bref, les trois points suivants : - l’évaluation de la gravité (arrêt respiratoire par exemple) - le traitement symptomatique immédiat (intubation ± ventilation mécanique par exemple) - le traitement étiologique immédiat (d’une hypoglycémie par exemple). Tout coma nécessite une hospitalisation immédiate via le SAMU. 3° La première minute de la prise en charge d’un patient comateux •

renforts si la situation ne l'exige pas. Il est habilité à faire des gestes, sur protocoles de soins d’urgence, datés et signés par le médecin responsable (comme la pose d'une voie veineuse périphérique, l'administration de médicaments, voire intubation trachéale en fonction de leur formation...) De plus, l’Article R6123-15 du CSP définit la prise en charge des patients par la structure mobile d'urgence et de réanimation (SMUR). Elle a pour mission la prise en charge du patient (médicale et de réanimation)

de bronchodilatateurs β-mimétiques peut être proposée de manière systématique dans le cadre de la prémédication. Ce traitement augmente la marge de sécurité et diminue les résistances bronchiques lors de la stimulation provoquée par l’intubation trachéale [52]. Bien que ce point n’ait été encore documenté que chez des sujets asthmatiques, il peut probablement être extrapolé à des patients souffrant de pathologies bronchiques fixées [88]. 2.3.3. Corticoïdes En cas de BPCO stable, le recours aux corticoïdes

Diagnostic Différentiel      Insuffisance cardiaque gauche BPCO : TVO peu ou pas réversible Obstruction mécanique intrinsèque ou compression extrinsèque au niveau des bronches (Corps étrangers, Tumeurs, adénopathies compressifs, sténoses trachéales, post-intubation, posttrachéotomie….) Pathologie des cordes vocales Dyspnées Psychogènes 6. Classification de la maladie : A la fin de la l'anamnèse, l'examen clinique et la mesure du DEP, le médecin devra classer la maladie selon le degré de sévérité

apie, …) Diabète  Obésité, dénutrition  Les facteurs de risque liés aux soins et aux interventions : Antécédent d’intervention chirurgicale  Exposition à un dispositif invasif (sondage urinair  e ou cathéter vasculaire) Intubation oro-trachéale ou trachéotomie  Endoscopie  Les facteurs de risque liés à l'agent infectieux : Virulence  Résistance aux antibiotiques 8.Dans quelles circonstances un établissement est-il contrôlé ? L es inspections comportent des

lunettes et masques • Lors de tout soin mouillant (toilette, …) • Quand les soins ou manipulations exposent à un risque de projection ou d’aérosolisation de sang ou de tout autre produit d’origine humaine • Aspiration trachéale, manipulation de matériel et linge souillé, intubation, endoscopie, actes opératoires,... 12 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 12 Les précautions « standard » 1. Hygiène des mains : avant et après le soin 2. Ports de gants au contact des