Intubation trachéale

sorte d’avoir plus de temps pour procéder à l’intubation endo-trachéale. * L'induction : C’est-à-dire l’endormissement * Réalisée par voie veineuse ou par inhalation. * Contrôle des voies aériennes du patient suite à la diminution voire à l'arrêt de la ventilation du patient provoqué par l'induction. * Ventilation du patient lorsqu’il est en apnée afin de lui apporter de l’oxygène et procéder à une intubation oro-trachéale * L'entretien : * Réalisé en utilisant des agents gazeux

réactivité : - aspiration nasobuccopharyngée soigneuse - aspiration trachéobronchite si inhalation suspectée Si une détresse respiratoire (Silverman > 4) : - aspiration nasobuccopharyngée soigneuse et trachéobronchite avant toute ventilation manuelle - intubation endotrachéale - aspirations endotrachéales poursuivies si productives - transfert en réanimation néonatale sous VC / PEP = 5, intérêt du surfactant (Curosurf®) en cas de prématurité si aspiration non productive Prévenir l’hypothermie : - augmenter

du pharynx de part et d’autre de la sonde d’intubation) Intubation : Naso-trachéale : libère le champ opératoire et meilleure stabilité mais plus traumatisante (saignement, …) Buccale : risque de mobilisation ou d’extubation, gène l’opérateur Décision : accord chirurgien / anesthésiste en fonction des risques et des soins à effectuer Remarque : difficultés et risques de l’intubation : Dans le cas d’intubation difficile, faire une intubation sous fibroscopie Dire à l’anesthésiste de faire attention

courant • Vérifier la bonne mise en place et l’étanchéité : - des circuits inspiratoires et expiratoires, - de l’humidificateur préalablement rempli d’eau jusqu’au niveau nécessaire - du condenseur, - du raccord devant se fixer sur la sonde trachéale. • tester que la mise en route de l’appareil et l’ouverture des débitmètres entraînent bien des insufflations périodiques. • Mettre les alarmes de pression et de spirométrie. 3 – 1 Les paramètres affichés correspondent-ils à ce qui a été

pas dans la prise en charge des traumatismes trachéo-bronchiques : il peut être logique de commencer par la fibroscopie souple avant de proposer la bronchoscopie. · La prise en charge initiale associe dans le même temps un drainage thoracique, une intubation sous-lésionnelle et/ou sélective pour protéger le poumon sain d'un saignement controlatéral. · Le traitement conservateur n'est envisageable que pour les lésions longitudinales non compliquées de la membraneuse postérieure. · Toutes les autres formes

Dyspnée de repos avec orthopnée, crépitants bilatéraux à l’auscultation pulmonaire, recherche de signes de choc (hypotension artérielle = choc cardiogénique) oRP: oTraitement: Oxygénothérapie; MHC, ventilation non invasive, intubation oro-trachéale Diurétiques Dérivée nitré +/- amines vasopressives Ballon de contre pulsion intra aortique Traitement du facteur déclenchant  Nommez les 6 familles de traitement mis en oeuvre, expliquez la mise en oeuvre, précisez

cycles/min (limites 10 à 15 cycles/min). Je vérifie immédiatement que la VS AI est bien en place, les alarmes continuent de sonner, ce qui augmente plus mon stress et la peur que monsieur X ne puisse pas récupérer et nécessite alors une intubation oro-trachéale. La saturation en O2 reste encore basse, je finis par élever la FiO2 à 100%. La FC commence à baisser progressivement et la saturation à remonter. C’est à ce moment que ma tutrice de stage arrive dans la chambre. Je lui explique que monsieur

: Le but de cette prise en charge initiale est de maintenir une oxygénation des tissus correcte La séquence proposée pour la première heure est la suivante (3) : A - Airways : Liberté des voies Aériennes B - Breathing : Ventilation (masque ou intubation) C - Circulation D - Deshabillage du patient E - Examen Neurologique R - Réanimation initiale S - Surveillance de l’évolution immédiate T - Traitements définitifs Rachis cervical : Pas d’hyperextension du cou. L’immobilisation est réalisée

actes professionnels et à l’exercice de la profession d’infirmier. Indications Les effractions cutanées : injections, prélèvements sanguins, sutures, etc. Les poses de matériel intrusif (sonde gastrique, urinaire, intubation, tubage, aspiration nasale, naso-trachéale, etc.). Les ablations de matériel, d’adhésifs. Les actes de kinésithérapie. Les gestes pouvant générer de l’inconfort, voire de la douleur en raison de la pathologie de l’enfant : toilette, change, positionnement, etc

endo-trachéal, une barrière linguistique, un traumatisme ou un bandage oro-trachéal. Le score de 3 n’est appliqué que si le patient ne fait aucun mouvement autre qu’un réflexe de posture en réponse aux stimulations douloureuses. 3 0 1 2 Les réponses doivent être correctes, une réponse approximative n’a aucune valeur. Les patients aphasiques ou stuporeux qui ne comprennent pas les questions ont un score de 2. Les patients incapables de parler du fait d’une intubation endo-trachéale, d’un