Intubation trachéale

mobilité de l'articulation temporo-maxillaire et de la colonne vertébrale cervicale. Une limitation peut laisser présager une intubation difficile. * La distance entre le cartilage thyroïde et le menton qui doit être de 3 travers de doigts quand la tête est en position neutre. Cette distance peut être de 2 travers de doigts au moins chez un individu qui laissera présager une intubation difficile. * la longueur du cou * la positon de la tranchée -> médiane -> ? déviée et sa mobilité. * la turgescence des

changements de position ii. La toux de la coqueluche est faite de quintes prolongées, très pénibles, avec reprise respiratoire bruyante (le ﾫ chant du coq ﾻ). Les toux qui lui ressemblent sont dites coqueluchoïdes iii. La toux des maladies laryngo-trachéales est souvent faite de quintes sèches et de timbre rauque iv. La toux chronique de la dilatation des bronches est ancienne (remonte souvent à l’enfance) et productive (purulente) v. La toux sèche chronique du cancer bronchique survenue depuis

d’asthme ● Elle doit faire discuter d’autres causes de dyspnée aiguë, en règle facile à éliminer sur les arguments cliniques, radiologiques et électriques : OAP, embolie pulmonaire, pneumothorax, pneumopathie aiguë, tumeur endobronchique, compression trachéale. ● Quatre diagnostics peuvent poser problème : – le corps étranger inhalé : valeur d’un syndrome de pénétration, du terrain (enfant, éthylique) ; diagnostic et traitement reposent sur les examens endoscopiques ; – le « pseudo-asthme » cardiaque

bronchospasme. Ø PRESENTATION : ampoule de 1mg/1ml 5mg/5ml. Ø VOIE D’ADMINISTRATION : Pur en IV (bolus puis SE) En intra trachéal NE JAMAIS DILUER DANS DES SOLUTES ALCALINS OU DANS DU G5. UTILISER LE SERUM PHYSIO. Ø ROLE PROPRE IDE : Surveillance pouls, ta, moniteur cardiaque. v DOBUTREX (dobutamine) Ø MODE D’ACTION : Amine vaso active très puissante.Effet

endodontiques avant l’acte chirurgical afin d’éviter en post-opératoire des thérapeutiques canalaires sur des dents avec apex ouverts plongeant dans la lumière de la cavité osseuse. L’acte opératoire se déroule sous anesthésie générale avec intubation naso-trachéale et packing pharyngé. La décision de recourir à l’anesthésie générale est motivé par l’éventuelle difficulté pour procéder à l’avulsion de la dent, le risque de fracture mandibulaire et l’état psychique de la patiente. Après infiltration

patiente se dégrade au niveau neurologique : troubles de conscience importants : somnolence importante qui s’aggrave jusqu’au coma ronflant, sans réponse aux ordres simples (ROS). Le score de Glasgow descend à 6. Que va-t-on devoir faire ? Intubation oro-trachéale car glasgow < 7 Quelles sont les actions, puis les surveillances spécifiques nécessaires ? Matériel :  Sonde d’intubation (voir avec médecin pour la taille)  Laryngoscope avec lame MAC (± airtrac, ± mandrin d’Eschman)  Manomètre

quoi poser une sonde urinaire Préparer: les solutés de remplissage les cathéters, artériels et veineux Cours IFSI CONDUITE A TENIR 3. Contrôle des voies aériennes 53  Oxygénothérapie nasale ou MHC Si nécessité intubation, appel réanimateur  Nécessité d’intubation oro-trachéale si:    Dyspnée importante Troubles de conscience  Préparer :  Matériel d’intubation : sonde d’intubation et laryngoscope  Drogues anesthésiques Cours IFSI CONDUITE A TENIR 4. Réanimation liquidienne 54

coma: conduite à tenir -Côté le Glasgow -Prendre les constantes vitales (pouls, tension artérielle, température) et faire une glycémie capillaire. Définir les circonstances du trouble de conscience. -Protéger les voies aériennes supérieur (PLS ou intubation orothrachéale) si contexte traumatique protéger le rachis. -Poser une voie veineuse périphérique avec du sérum salé à 0,9%. -Oxygénothérapie à 6L/min si patient non intubé. En conclusion Dans l'approche du patient en situation d'urgence,

soluté cristalloïdele traitement de l’HTA est basé sur des agents hypotenseurs utilisables par voie IVObjectifs: PAD entre 90 et 105 mm Hg et une PAM entre 105 et 125 mm Hg,le traitement de l’éclampsie et la prévention de la récidivel’intubation trachéale s’impose en cas de détresse respiratoire et/ou de troubles de la conscienceMesures thérapeutiques comportent :Installation en décubitus latéral gauche, avec un apport d’oxygène par sonde nasale ou masque facialAbord veineux périphérique de qualité

Hypothermie : -par injection de gaz sec 2- Respiratoires : Mécanique ventilatoire : -déplacement du diaphragme : diminution de la CRF et de la compliance, augmentation des pressions d’insufflation, baisse de la PaO2 et augmentation de la PaCO2 -intubation bronchique sélective  Pneumothorax : -dissection péritonéale par le CO2 insufflé -cyanose, baisse de la SpO2, augmentation des pressions d’insufflation inhalation bronchique -association reflux gastro-œsophagien et augmentation de la pression